Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
Le cinéaste peint pendant quatre heures avec une grande délicatesse, dissimulant sa caméra dans chaque recoin, derrière les vitres (influencé par Edward Hopper), pour observer « ce vivre mal » avec douceur, seul moyen peut-être de nous faire aimer ces personnages si difficiles à aimer.
L'Humanité
par Aurélia de Spirt
La troublante Anabela Moreira, la volage Cleia Almeida, la profonde Madalena Almeida et la terrible Leonor Silveira : quatre femmes de caractère qui portent ces deux films au plus haut.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Personne ne semble heureux, et l’ambiance lourde transforme ces deux films en un étrange essai cinématographique sur la condition humaine. Le rythme est lent mais fascinant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
L’ensemble intrigue par sa spatialisation louvoyante et vénéneuse, ses cadrages sophistiqués, ses élégants jeux de distances et d’échelle. Mais la mécanique est froide et l’esthétique vitrifiée. Joao Canijo, réalisateur portugais de 65 ans, touille ici un vieux fond de psychodrame, qui confine à la télénovela de luxe.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Si les deux films s’étirent de manière éprouvante, c’est parce qu’ils répètent inlassablement à quel point on peut regarder les gens qu’on aime avec le plus infini des chagrins.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Un exercice de style à la cérébralité assumée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Passant et repassant par les mêmes moments au même endroit, mais selon des points de vue différents, l’ensemble en devient parfois monocorde, corseté par sa virtuosité même. Dommage, car le premier des trois chapitres de Viver mal impressionne (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
« Un projet original et apriori séduisant, mais malheureusement miné par un regard quasiment misanthrope. (…) Une froideur amplifiée par un formalisme arty qui étale systématiquement la virtuosité de l’auteur.
Critikat.com
par Robin Vaz
Réunir pour mieux isoler : si l’idée semble peu originale et renvoie presque à un topos du film d’hôtel, on peut surtout regretter qu’elle irrigue une mise en scène appuyée et systématique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
La chair est triste et les complexes œdipiens bourgeonnent dans "Viver mal", premier volet d’un diptyque centré sur un hôtel déclassé, distillant un ennui guindé, à peine rehaussé par le beau portrait intranquille d’un bâtiment maudit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
Le diptyque du Portugais João Canijo, visuellement splendide, n’a en revanche rien d’autre à affirmer que la détestation de ses rôles féminins.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La Septième Obsession
Le cinéaste peint pendant quatre heures avec une grande délicatesse, dissimulant sa caméra dans chaque recoin, derrière les vitres (influencé par Edward Hopper), pour observer « ce vivre mal » avec douceur, seul moyen peut-être de nous faire aimer ces personnages si difficiles à aimer.
L'Humanité
La troublante Anabela Moreira, la volage Cleia Almeida, la profonde Madalena Almeida et la terrible Leonor Silveira : quatre femmes de caractère qui portent ces deux films au plus haut.
L'Obs
Personne ne semble heureux, et l’ambiance lourde transforme ces deux films en un étrange essai cinématographique sur la condition humaine. Le rythme est lent mais fascinant.
Le Monde
L’ensemble intrigue par sa spatialisation louvoyante et vénéneuse, ses cadrages sophistiqués, ses élégants jeux de distances et d’échelle. Mais la mécanique est froide et l’esthétique vitrifiée. Joao Canijo, réalisateur portugais de 65 ans, touille ici un vieux fond de psychodrame, qui confine à la télénovela de luxe.
Les Inrockuptibles
Si les deux films s’étirent de manière éprouvante, c’est parce qu’ils répètent inlassablement à quel point on peut regarder les gens qu’on aime avec le plus infini des chagrins.
Première
Un exercice de style à la cérébralité assumée.
Télérama
Passant et repassant par les mêmes moments au même endroit, mais selon des points de vue différents, l’ensemble en devient parfois monocorde, corseté par sa virtuosité même. Dommage, car le premier des trois chapitres de Viver mal impressionne (...).
Cahiers du Cinéma
« Un projet original et apriori séduisant, mais malheureusement miné par un regard quasiment misanthrope. (…) Une froideur amplifiée par un formalisme arty qui étale systématiquement la virtuosité de l’auteur.
Critikat.com
Réunir pour mieux isoler : si l’idée semble peu originale et renvoie presque à un topos du film d’hôtel, on peut surtout regretter qu’elle irrigue une mise en scène appuyée et systématique.
Les Fiches du Cinéma
La chair est triste et les complexes œdipiens bourgeonnent dans "Viver mal", premier volet d’un diptyque centré sur un hôtel déclassé, distillant un ennui guindé, à peine rehaussé par le beau portrait intranquille d’un bâtiment maudit.
Libération
Le diptyque du Portugais João Canijo, visuellement splendide, n’a en revanche rien d’autre à affirmer que la détestation de ses rôles féminins.