Derniers Avis sur Le Club des empereurs

Un professeur d'histoire antique accepte de venir dans un prestigieux ètablissement [...] "The Emperor's Club" (2002) est honorable, bien interprètè, même s'il a tendance à lorgner un peu trop du côtè de "Dead Poets Society" (1989). La plupart des thèmes du film de Michael Hoffman sont là, à savoir que le quotidien du professeur est de toujours espèrer que ce qu'il a appris à un èlève pourra faire changer son caractère et ainsi son destin! Tel un Jules Cèsar, Kevin Kline, mû par un amour infini de l'enseignement, ne recule devant rien pour le faire vivre! Et la devise de son personnage est que pour chaque homme, son caractère, c'est son destin ! Alors suivez votre chemin, avant Louis Masoudi, Martin Blythe et Sedgewick Bell, de grands hommes comme Aristote, Platon et Cicèron l'ont empruntè! On soulignera pour finir les dèbuts des jeunes Emile Hirsch, Paul Dano et Jesse Eisenberg dont on prend plaisir à suivre les aventures scolaires...

Ce film est un chef d'oeuvre !! Nettement au dessus du cercle des poètes disparus selon moi ! Moins de fantaisie, plus de sentiments et une moralité qui fait réfléchir ! Kevin Kline est prodigieux et c'est vraiment dommage que ce soit un acteur qu'on ne voit pas un peu plus ! Je trouve qu'il a un talent fou ! Moi j'ai adhéré de A & Z et cela restera un très bon souvenir ! Pauvre Martin !

GÉNÉRAL : Dans une prep school, la relation d’un professeur avec ses étudiants.

ASPECTS POSITIFS : Relation entre le professeur, son savoir, son besoin d’enseigner et ses élèves.

ASPECTS NÉGATIFS : Film simpliste, prévisible et manque de profondeur. spoiler: Image faible projetée par le professeur qui n’arrive pas à faire passer ses théories à la pratique, tant dans sa vie professionnelle que personnelle.


PISTES DE RÉFLEXION : spoiler: Mettre la barre verticale sur le a- : en pratique, on ne peut pas juste faire la justice pure et dure; il faut aussi se fier à notre instinct et notre logique pour que nos gestes aient les meilleures répercussions. Dire la vérité à Martin au sujet de sa 3e position qu’il aurait dû avoir : parfois, il faut penser plus loin que de se soulager la conscience; il faut aussi penser à l’effet de nos paroles sur les autres. Heureusement, dans la situation présentée, Martin est rendu l’homme qui a le plus d’allure et semble avoir bien réagi à la nouvelle, car il confiera l’éducation de son fils au professeur. Tony qui n’est pas capable de prendre soin de sa femme ou plutôt le professeur qui n’a pas la force de faire ce qu’il doit faire plus tôt. Mais en réalité, on remarque que le professeur ne peut se contenter d’être avec la femme qu’il aime pour s’épanouir. Ici, c’est à travers l’enseignement qu’il se réalise. Tout en étant déçu que le professeur ait manqué son coup avec Cédric, on est assez content quand il lui parle dans les toilettes et que le petit garçon de Cédric sort des toilettes. À la fin, il serait facile d’être impressionné par l’image extérieure de Cédric qui se présente bien, a de la répartie, une femme et des enfants. Et d’un autre côté, on pourrait trouver que l’image de Martin présente quelqu’un d’ennuyant. Et c’est là qu’on se rend compte combien il faut faire attention à nos appréhensions qui se forment souvent sur l’image extérieure. Louis, influençable et un peu benêt, a souvent de l’allure jusqu’au temps où il se surestime. On le constate lors des concours Jules César. Son manque d’estime intérieur le fait échouer lorsqu’il montre une image trop sûre de lui. Par ailleurs, le fait que Martin n’ait pas été dans les trois premiers lui ôte de la pression et lui permet peut-être de devenir l’homme sain et bien dans sa peau.

Contrairement à ce qu'on pourrait croire, The Emperor's Club n'est pas une réalisation ressemblante à Dead Poets Society, bien au contraire. Ici nous montrons l'échec d'un professeur sur l'éducation d'un jeune fils de bonne famille et bien que le film soit entrainant, il perd beaucoup de sa saveur sur la deuxième partie. Les jeunes acteurs sont top, la réalisation est bonne mais le scénario est inégal. Vu par curiosité !

Un film qui laisse un sentiment étrange: l'intégrité morale et la réussite sont deux notions contradictoires. Dans nos sociétés modernes, pas franchement brillantes dans leurs conceptions et leurs applications, la première semblerait s'effacer au profit de la seconde, qui de ce fait, mène à l'individualisme. trop manichéen disent certains. Peut-être. Il n'empêche que les réalités du présent ne semblent pas leur donner raison. Film à voir/découvrir pour les questions qu'il amène à se poser...

Attention ! Rien à voir avec "Le cercle des poètes disparus", ce n'est pas le même thème, la même cible. Ici, nous sommes dans une leçon de moralité, le fameux "pouvoir se regarder dans un miroir". Une leçon adroitement donnée, c'est ce qui fait le charme et l'on ne tombe pas dans la mièvrerie habituelle ou la happy end finale coutumière. La fin est plutôt surprenante, que l'on attend pas et bien orchestrée. De très bonnes interprétations et un scénario (tiré d'un roman) assez (trop ?) linéaire. Un certain manque de souffle et quelques longueurs pénalisent le film. Un film tout de même à découvrir. 3/5 !!!

Un peu désuet comme sujet à l'heure actuelle, ou trop d'actualité c'est selon.
Kline a enfin un rôle à sa hauteur, une chute intéressante, un film un peu long, parfois superficiel à force de
démonstration, mais dans l'ensemble quelque chose de correct.
Seule la musique trop appuyée, hollywoodienne, est pesante.

Film sympathique empreint de bons sentiments. Les caractères sont intéressants et la réalisation très bonne. C'est une réflexion sur l'histoire et la morale...

Très bon film de moralité et de savoir vivre... j'ai beaucoup aimé... Une fin qui nous donne une belle leçon de vie grâce aux frasques dramatiques du personnage principal joué par Emile Hirsch. Bon film

Très similaire à Dead poet society (cercle des poètes disparus), on est obligé de comparer les deux. Un professeur cherchant a discipliner de jeunes esprits, l'éducation pour faire de petits garçons des hommes brillants. Malheuresement la qualité de ce film m'oblige a prendre parti pour dead poet society. Le club des empereurs est un bon film mais Kevin Klein n'arrive pas à la hauteur de Robin William. La profondeur est également à mettre en cause. L'histoire n'est centré autour qu'autour d'un seul élève. Même si les derniers instants du film sont très émouvant, les scènes finales auraient eu plus d'impact si l'histoire s'étaient plus recentré sur d'autres personnages. C'est un acteur sympathique mais il n'est pas assez convaincant ici. Le film contient trop de longueurs et certains garçon. Un film agréable qui se laisse regarder mais qu'une seule fois.

Ce film est du grand art.Le professeur a un plaisir fou a apprendre a ses eleves,mais quand un eleve, fils de senateur triche. il est decu et bouleverse.Et meme 25 ans plus tard. Tres bon film de moralite et de savoir vivre. a faire visionner a ses enfants.Car c est a travers des films comme ca , qu on peux passer un message d education et de respect.

Bon scénario avec de très bons acteurs. Au début, je ne pensais pas aimer ce film mais finalement cette histoire est vraiment intéressante. Et on ne s'ennuie pas. A voir!

Un beau film. Assez loin du Cercle des Poètes Disparus. Très agréable à regarder, instructifs, émouvant, une belle musique de James Newton Howard, une belle histoire. Bref : c'est très très sympa et ça vaut le coup de le voir.

Le club des empereurs est un film très calme, sans action, sans effets spéciaux mais qui bénéficie d'un jeu d'acteurs remarquable et d'une excellente moralité, ce qui est rare de nos jours.
Pour moi, Kevin Kline nous présente son meilleur rôle.

Un film sympathique qui m'a remémoré mes souvenirs d'hypokhâgne et m'a rappelé que l'enseignement supérieur français ne vise pas l'excellence.
Mais le club des empereurs, de facture très classique à la réalisation et au scénario ne décolle jamais vraiment. On retiendra la grandeur du métier de professeur...