Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Aden
Ce va-et-vient, forcément poignant, rappelle que tout est balancement, et donc création ; qu'il s'agit de donner la vie dans un va-et-vient des corps, et que l'immobilité pèse dans la balance en favorisant son contraire.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Olivier Joyard
Chaque plan contient plusieurs forces et plusieurs vents, le singulier le plus extrême et le multiple le plus ouvert, la promesse de l'éternité et l'imminiscence de la fin.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
On n'imaginait pas plus beau et plus majestueux départ, mais Va et vient n'est pas tout à fait fini. Il reste non pas à conclure -car rien n'est terminé- mais à revenir, une dernière fois, là où tout commence.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Va et vient n'est pas du tout un film testamentaire (...). C'est un film-potlatch, un brasier lent et intense où, sans concession ni repentir, le Diogène lisboète fait rayonner l'essentiel, seulement l'essentiel, des armes de son combat avec le désespoir du monde.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Louis Guichard
Les ultimes facéties d'un misanthrope lisboète, alias João César Monteiro. Divinement inconvenant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
(...) Le film est long, trop long (...). Mais je ne crois pas que ce soit faire insulte à la mémoire de Monteiro que d'affirmer que Va et vient y perd en tension et en intensité, et que de prétendre que ce dernier film n'est pas son plus réussi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) Avec cet hidalgo portugais, l'érotisme flirte toujours avec des considérations philosophiques, dans un cérémonial typiquement lusitanien, l'humour en plus.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par Didier Peron
(...) Le va-et-vient du titre prend dans la dernière partie du film une dimension qui ne recouvre plus le seul champ des promenades contemplatives d'un homme à l'agonie mais celui d'une cérémonie barbare d'éventration du cinéaste qui finit comiquement à l'hôpital. Son oeil de baleine empalée par la Mort, révulsé depuis la tombe, nous toisera longtemps, dans le plan du générique final (...) .
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
C'est vrai que ces moments de vie parfois interminables dans leur banalité peuvent faire fuir. Mais Monteiro a ceci d'unique qu'il capte une certaine vérité de l'existence, la sienne, fusse-t-elle de fiction, avec une réelle légèreté, à l'image de sa démarche dansée.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Bernard Achour
De la littérature? Peut-être. De la radio? On s'en rapproche. Du cinéma? Pas sûr.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Mathieu Dupont
Un film absurde et bavard, qui désarçonne par la longueur de ses plans. Le testament tournant au monologue, avec ici et là de brillants aphorismes, il faut vraiment aimer le personnage pour garder l'oeil ouvert.
Aden
Ce va-et-vient, forcément poignant, rappelle que tout est balancement, et donc création ; qu'il s'agit de donner la vie dans un va-et-vient des corps, et que l'immobilité pèse dans la balance en favorisant son contraire.
Cahiers du Cinéma
Chaque plan contient plusieurs forces et plusieurs vents, le singulier le plus extrême et le multiple le plus ouvert, la promesse de l'éternité et l'imminiscence de la fin.
Chronic'art.com
On n'imaginait pas plus beau et plus majestueux départ, mais Va et vient n'est pas tout à fait fini. Il reste non pas à conclure -car rien n'est terminé- mais à revenir, une dernière fois, là où tout commence.
Le Monde
Va et vient n'est pas du tout un film testamentaire (...). C'est un film-potlatch, un brasier lent et intense où, sans concession ni repentir, le Diogène lisboète fait rayonner l'essentiel, seulement l'essentiel, des armes de son combat avec le désespoir du monde.
Télérama
Les ultimes facéties d'un misanthrope lisboète, alias João César Monteiro. Divinement inconvenant.
L'Obs
(...) Le film est long, trop long (...). Mais je ne crois pas que ce soit faire insulte à la mémoire de Monteiro que d'affirmer que Va et vient y perd en tension et en intensité, et que de prétendre que ce dernier film n'est pas son plus réussi.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...) Avec cet hidalgo portugais, l'érotisme flirte toujours avec des considérations philosophiques, dans un cérémonial typiquement lusitanien, l'humour en plus.
Libération
(...) Le va-et-vient du titre prend dans la dernière partie du film une dimension qui ne recouvre plus le seul champ des promenades contemplatives d'un homme à l'agonie mais celui d'une cérémonie barbare d'éventration du cinéaste qui finit comiquement à l'hôpital. Son oeil de baleine empalée par la Mort, révulsé depuis la tombe, nous toisera longtemps, dans le plan du générique final (...) .
MCinéma.com
C'est vrai que ces moments de vie parfois interminables dans leur banalité peuvent faire fuir. Mais Monteiro a ceci d'unique qu'il capte une certaine vérité de l'existence, la sienne, fusse-t-elle de fiction, avec une réelle légèreté, à l'image de sa démarche dansée.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
De la littérature? Peut-être. De la radio? On s'en rapproche. Du cinéma? Pas sûr.
Zurban
Un film absurde et bavard, qui désarçonne par la longueur de ses plans. Le testament tournant au monologue, avec ici et là de brillants aphorismes, il faut vraiment aimer le personnage pour garder l'oeil ouvert.