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    She Hate Me
    Note moyenne
    2,8
    18 titres de presse
    • Africultures.com
    • Studio Magazine
    • Zurban
    • L'Express
    • Le Point
    • MCinéma.com
    • Positif
    • Première
    • Studio Magazine
    • TéléCinéObs
    • Télérama
    • aVoir-aLire.com
    • Aden
    • Cahiers du Cinéma
    • Ciné Live
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • Rolling Stone

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    18 critiques presse

    Africultures.com

    par Olivier Barlet

    Spike Lee n'a pas son pareil pour fabriquer des outsiders modernes à coups de références éthiques et cinématographiques. Tout cela sent la glue sentimentale mais la mayonnaise prend à force de décalages, d'inscription dans le vécu africain-américain, de musique et d'esbroufe. (...) Cela dure plus de deux heures et on ne s'ennuie jamais. Au contraire, on est sans arrêt bluffé par l'habilité de Lee et son audace. Si son message peut paraître un peu décalé et superficiel à des Européens, She hate me reste un excellent divertissement et un vrai plaisir de cinéma.

    La critique complète est disponible sur le site Africultures.com

    Studio Magazine

    par Patrick Fabre

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    Zurban

    par Véronique Le Bris

    Passé la pesanteur des thèmes, la spontanéité des acteurs et l'audace du sujet l'emportent. Mais Spike Lee n'évitera sûrement pas l'incompréhension: trop de sujets partiellement abordés, une fin réductrice et une intrigue difficile.

    L'Express

    par Christophe Carrière

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    Le Point

    par François-Guillaume Lorrain

    Voir la critique sur www.lepoint.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    MCinéma.com

    par Aurélien Allin

    En voulant dénoncer la perte de repères éthiques et la prédominance de l'argent sur les valeurs morales, Lee ne parvient pourtant pas à convaincre tout à fait. Car le pan financier de son film est vite abandonné, puis ressorti arbitrairement vers la fin, comme un vulgaire gadget. Dès lors, la consistance du héros pâtit de cette ambivalence narrative peu maîtrisée.

    Positif

    par Pierre Eisenreich

    Le cinéaste propose une étude des moeurs et de la recomposition des familles, dont l'analyse demeure parallèle à la dénonciation des patrons voyous. C'est le principal défaut d'un scénario qui n'a pas réussi à tracer un véritable fil conducteur (...). Ce manque d'unité se retrouve également dans la forme, où alternent les séquences les moins heureuses (...) et un vrai talent rythmique.

    Première

    par Chritsophe Narbonne

    Quoiqu'on pense du film, de son récit décousu ou de ses malheureux choix artistiques, Spike Lee demeure un auteur intéressant. Sa direction d'acteurs est impeccable. Personne ne met en scène comme lui la tension érotique, torride et cérébrale à la fois. Enfin, son point de vue, moral et engagé, sur la société américaine surprend toujours par son aplomb et son acuité.

    Studio Magazine

    par Sophie Benamon

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    TéléCinéObs

    par Bijan Anquetil

    Spike Lee jongle entre thriller politique et comédie de moeurs avec un bonheur inégal.

    Télérama

    par François Gorin

    Lee et son scénariste (...) trouvent le joint entre l'étalon embrouillé (...) et le chevalier blanc du grand capital. (...) Chez quel autre cinéaste pourrait-on voir John Turturro, en Brando d'occasion, imiter sa tirade préférée du Parrain ?

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    aVoir-aLire.com

    par Rania Hoballah

    Si Spike Lee est sans conteste un cinéaste talentueux, ses films sont quant à eux malheureusement très inégaux. Après sa remarquable 25e heure, on espérait que Spike Lee avait enfin amorcé le virage de la maturité. Quelle déception ! Si le réalisateur de Malcolm X a toujours la rage, son combat ressemble cette fois-ci plus à un pot-pourri qu'à une véritable prise de position.

    Aden

    par Philippe Piazzo

    Nous sommes dans un film de Spike Lee... Il faut que ça rappe, que ça traîne un peu dans la haine, que l'homme dévoile ses bassesses, et la femme son cul. Chez Spike Lee, la question du pouvoir est aussi sexuelle. (...) Comédie de moeurs ? Comédie politique ? Tentative d'autoportrait ? Ce nouvel héros de la communauté noire selon Spike Lee est un homme intègre, indomptable, avec un coeur en or et un sexe en argent massif. Macho ? Pensez donc...

    La critique complète est disponible sur le site Aden

    Cahiers du Cinéma

    par François Bégaudeau

    Il n'est plus l'heure de se demander si Spike Lee est mal en point, mais de dresser un diagnostic précis. She Hate Me a le seul mérite de permettre l'identification de son dysfonctionnement, qui est celui de l'auteur même, et qu'on résumera d'une formule basique: le patient Lee est obsédé. (...) Si l'on était resté bloqué en 1986, on dirait que c'est du clip. Mais justement, Lee est resté bloqué en 1986. Et laisse la malaisante impression qu'il n'y est plus, qu'il se survit sans désir, qu'il aligne des plans sans conviction comme un canard décapité continue à marcher.

    Ciné Live

    par Véronique Trouillet

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    On s'était d'abord dit qu'il vaudrait mieux, pour parler du quinzième long métrage de fiction de Spike Lee, expédier d'abord les défauts du film : la demi-douzaine de fils narratifs qui s'emmêlent plus qu'ils ne se tissent, l'outrance des propos qui se mêlent en une cacophonie indéchiffrable, les ruptures stylistiques qui font passer le fil, d'un plan à l'autre, du thriller contemporain au porno soft. Et puis on se rend compte qu'il ne sert à rien de chercher dans le désordre de She Hate Me, un éventuel bon fond qu'il faut se rendre à sa nature de film raté.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Inrockuptibles

    par Jean-Baptiste Morain

    Ca commence bien, ça finit mâle: le nouveau Spike Lee se perd dans ses propres ambiguïtés.

    Rolling Stone

    par La rédaction

    Est-ce le joint de trop ? Le nouveau Spike Lee est un salmigondis indigeste et ennuyeux (...). A éviter.

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