Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Melinard
Un tableau bouleversant et sans concession d'un carrefour européen à travers les destins individuels de personnages déboussolés (...) Le cinéaste cultive une certaine empathie avec ces antihéros, s'emploie à les rendre attachants.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Mis à part son orientatin géographique, résolument tournée vers l'Est, on ne retrouvera ici que queqlues traces de ce qui fait aujourd'hui le renouveau du cinéma allemand : la distance, le goût de la métaphore. Au loin les lumières s'inspire délibérément du cinéma américain contemporain, utilisant une narration à plusieurs fils, un montage sec, des situations paroxystiques, parfois à la limite du mélodrame.
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Sans tomber dans le pesant démonstratif social, le jeune cinéaste allemand filme avec tact et sans pathos déplacé le quotidien vacillant de ces recalés de notre société dite moderne.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
Le sujet est passionnant mais la mise en scène misanthrope devient rapidement lourde.
Libération
par Antoine de Baecque
Au loin, les lumières n'est pas un mauvais film. Schmid fait le boulot, croisant les destins de réfugiés et de passeurs autour de ce portail vers l'Occident (...). Il y a juste l'impression, parfois, que tout dans ce film est un peu trop contrôlé, trop joué, trop bouclé (...). Si bien qu'on regarde ce film, souvent impressionné, intéressé, mais qu'on ne s'y attache pas.
Première
par Olivier Lemaire
C'est d'initiation qu'il s'agit dans ce film-procès où l'accusation est lancée avec force et intelligence contre le genre humain.
Télérama
par Frédéric Strauss
Faute d'une approche vraiment originale, le film se laisse rattraper par une noirceur systématique, et son message semble convenu, en dépit de toutes ses bonnes raisons d'être.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
Un tableau bouleversant et sans concession d'un carrefour européen à travers les destins individuels de personnages déboussolés (...) Le cinéaste cultive une certaine empathie avec ces antihéros, s'emploie à les rendre attachants.
Le Monde
Mis à part son orientatin géographique, résolument tournée vers l'Est, on ne retrouvera ici que queqlues traces de ce qui fait aujourd'hui le renouveau du cinéma allemand : la distance, le goût de la métaphore. Au loin les lumières s'inspire délibérément du cinéma américain contemporain, utilisant une narration à plusieurs fils, un montage sec, des situations paroxystiques, parfois à la limite du mélodrame.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Sans tomber dans le pesant démonstratif social, le jeune cinéaste allemand filme avec tact et sans pathos déplacé le quotidien vacillant de ces recalés de notre société dite moderne.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
Le sujet est passionnant mais la mise en scène misanthrope devient rapidement lourde.
Libération
Au loin, les lumières n'est pas un mauvais film. Schmid fait le boulot, croisant les destins de réfugiés et de passeurs autour de ce portail vers l'Occident (...). Il y a juste l'impression, parfois, que tout dans ce film est un peu trop contrôlé, trop joué, trop bouclé (...). Si bien qu'on regarde ce film, souvent impressionné, intéressé, mais qu'on ne s'y attache pas.
Première
C'est d'initiation qu'il s'agit dans ce film-procès où l'accusation est lancée avec force et intelligence contre le genre humain.
Télérama
Faute d'une approche vraiment originale, le film se laisse rattraper par une noirceur systématique, et son message semble convenu, en dépit de toutes ses bonnes raisons d'être.