Une bonne suite à l'auberge espagnole, dans la lignée du premier. Et c'est d'ailleurs avec plaisir que l'on retrouve les protagonistes du premier et que l'on note leurs évolutions.
Suite toujours aussi agréable, même style de réalisation que dans le premier volet. Les personnages sont encore plus développés, l'intrigue est plus axé sur les amours diverses et variés du personnage joué par Duris (de ce côté là on pense a certains films de Fellini ou Allen). Plusieurs scènes qui sont très inspirées.
Ce second volet est beaucoup plus sentimentale que le premier. Toujours perdu dans sa vie, Xavier alias Romain Duris nous montre une histoire dans les sens mais qui s'emboite bien au final. Un petit peu sur les tons de clichés parfois, mais c'est voulu, le film montre néanmoins le talent de Klapisch qui déchoit rarement avec ses films.
Séduis par le premier du début à la fin, je ne peux que recommander cette suite, Duris est très bon comme toujours, Cécile De France magnifique, dans la lignée de "L'Auberge espagnole" meme si il ne l'égale pas vraiment, à voir tout de meme !
La suite de "L'Auberge espagnole' tient ses promesses en terme d'humour et de bons sentiments. Je déteste en général ce genre de films tout beau tout mignon, où un pathos affligeant noie le reste du film qui bien souvent n'est pas si raté que ça (sauf pour le récent "Les petits mouchoirs", sorte de simili-Klapisch, le talent en moins). Eh bien dans le cas présent, on retrouve avec amusement quelques personnages déjà vus dans le précédent opus, Xavier en tête (Romain Duris, beau gosse qui peine à articuler, livre quand même une bonne prestation). On s'amuse et se détend bien. Comme je l'ai déjà dit pour "l'Auberge espagnole", il faudrait être une machine dénuée de sentiment pour ne pas aimer regarder des films comme ça. C'est vraiment là le point fort de Klapisch : réussir à nous attendrir, à nous faire rire à partir de la vie banale et insignifiante qu'un queutard moyen à la vie raté, qui pourrait être assimilé à la grande majorité de ses spectateurs, le tout sans tomber dans les facilités du genre. On perd quand même la patte si insouciante qui avait fait mon bonheur dans le premier épisode pour se concentrer sur un aspect un peu plus sérieux et abordé de façon plus grave des relations sentimentales. Un peu dommage compte tenu du talent de Klapisch... On passe quand même un très bon moment avec un humour toujours aussi léger et qui fait mouche à chaque fois (le joueur de pipeau, quelle trouvaille !).
Une suite satisfaisante. Dans les Poupées russes, Klapisch dévoile un peu plus ses personnages et deviennent plus attachant que dans l’Auberge espagnole. Néanmoins la longueur du film ne joue pas en sa faveur. Dommage.
J'avais bien aimé "L'Auberge espagnole" et je n'ai pas détesté cette suite qui a un avantage en plus (ou un desavantage en moins plutôt!) : Judith Godi...euh...Godrèche ne fait pas cette fois partie du casting (ouaaaaaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiissssssssss!!!). L'ensemble est très sympathique. Il y a beaucoup d'imagination pour certaines séquences, en particulier celle où le personnage d'Audrey Tautou raconte à son fils ses difficultés. Parfois, il y en a d'autres qui tirent un peu en longueur hélàs. Romain Duris, bien qu'il devrait quelquefois ar-ti-cu-ler un peu plus, mène très bien le tout et il est entouré d'un casting sans-faute. Avec "Les Poupées russes", Cédric Klapisch a réalisé un film très frais et assez divertissant.
Je suis pas un grand fan de l'Auberge Espagnole (je trouve ça pas mal quand même) donc je n'en attendais rien de spécial. Et bien j'ai un peu le même avis que pour l'Auberge Espagnole : sympa sans plus. On a un peu l'impression que c'est bordélique son film parfois, il part sur des pistes et ne les explore qu'à moitié, on dirait qu'il veut mettre plein de trucs mais qu'au final il n'a pas tant de choses que ça à dire. C'est dommage car la fraicheur du film serait peut être plus efficace si le film était plus concis et moins éparpillé.
Vu pour la première fois, le Lundi 14 Mars 2011 à 20h40 sur France 4. Voilà, c'est fait, j'ai vu la suite des aventures de Xavier! Après un court séjour " en Barcelona", je le retrouve avec grand plaisir à Paris. Les premières secondes du film, informent le spectateur sur la nature de celui-ci après cinq petites années - et oui il a déjà 30 ans! - Qu'en est-il de sa vie? Résultat? Il n'a pas changé d'une ride: toujours égal à lui-même: plein de doutes sur sa vie et notamment amoureuse... Et oui, c'est ça être un écrivain (célibataire)... Ca court à droite à gauche pour trouver des maisons d'éditions, des contrats, ça écrit entre les trajets, ça modifie les phrases, et ça va même jusqu'aux toilettes d'un TGV pour écrire... C'est pour vous dire! Xavier va donc remettre en question sa perception de l'amour, en passant d'une fille à une autre, en enchaînant les conquêtes, les tromperies, ... Pour au final faire un constat de ses expériences. Bien sûr, pour faire tout ça, Xavier, va aller d'itinéraires en itinéraires: Paris, Londres, St Petersbourg, Moscou, et aura le temps, bien entendu, de revoir tous ses bons vieux copains et copines rencontrés à Barcelone dans le précédent opus... Bon je ne vous en dis pas plus! En résumé, toujours un régal les films de Cédric Klapisch. Ils traitent bien les petits tracas quotidiens. Dommage qu'il n'y est pas de 3... Mais bon c'est peut être mieux comme ça... (édit: un 3 est en préparation!)
Une bonne suite. Sans plus. Le film est un peu long pour ce que c'est. Les acteurs sont en général assez justes et la bande son et, comme sur la préquelle, excellente. Le film se regarde très bien, on passe un bon moment.