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    Kié la petite peste
    Note moyenne
    3,7
    18 titres de presse
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • Chronic'art.com
    • L'Express
    • Le Figaroscope
    • Libération
    • MCinéma.com
    • Ouest France
    • Première
    • Score
    • Studio Magazine
    • TéléCinéObs
    • Ciné Live
    • L'Humanité
    • Positif
    • Télérama
    • Zurban
    • Cahiers du Cinéma

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    18 critiques presse

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    Takahata (...) se distingue par son habileté à susciter des personnages qui acquièrent une complexité attachante. Yakuza au grand coeur, instituteur tyrannique, adolescent vantard dansent autour du personnage principal une farandole dans laquelle on discerne le portrait d'une vie de quartier peinte avec chaleur, animée dans un style burlesque et précis : une vraie comédie réaliste.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Inrockuptibles

    par Vincent Ostria

    Une rareté: un dessin animé réaliste, une nippo-comédie triviale et désopilante due au plus psychologue des cinéastes d'animation.

    Chronic'art.com

    par Guillaume Loison

    le film annonce (...) le fameux climat mortifère du Tombeau des lucioles, chef-d'oeuvre tragique et autre chronique enfantine. Vraiment, plus aucun doute à avoir : la délicate virtuosité du portraitiste Takahata vaut bien les rêveries fabuleuses de Miyazaki.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    L'Express

    par Stéphane Brisset

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    Le Figaroscope

    par Marie-Noëlle TRANCHANT

    Portrait mélancolique et cocasse d'une énergique " petite peste " obligée d'assumer des responsabilités d'adulte alors qu'elle ne rêve que d'être une enfant entre ses deux parents.

    Libération

    par Michel ROUDEVITCH

    C'est l'engouement du public hexagonal pour la "japanimation" qui nous vaut cet aimable rendez-vous avec Kié la petite Peste d'Isao Takahata, sorti en 1981 dans son pays. Ce vieux complice de Miazaki, cofondateur des studios Ghibli, a d'autres adaptations de mangas cultes à son actif. Tel Mon voisin, les Yamada, relatant sur un mode plus elliptique mais avec autant de verve les vies, manies et menus plaisirs de petits-bourgeois nippons.

    MCinéma.com

    par Hugo de Saint Phalle

    (...) on retrouve ici la patte tendre et attachante de Takahata, et son amour pour ses personnages. On comprend mieux ainsi comment quelques années après, le réalisateur a donné naissance à MES VOISINS LES YAMADAS. Les quelques minutes en trop et le déroulement parfois heurté de l'histoire n'y changent rien, KIE LA PETITE PESTE est un moment de pur bonheur.

    Ouest France

    par La rédaction

    L'animation japonaise, ça n'est pas seulement Hayao Miyazaki. Il y a aussi son complice Isao Takahata. Avant Le tombeau des lucioles et Mes voisins les Yamada, il a signé il y a vingt-cinq ans cette savoureuse chronique. Espièglerie, tendresse et humanité. A découvrir.

    Première

    par Gérard Delorme

    Le ton optimiste, agrémenté de touches de fantaisie roborative (...), ne cache pas une réalité qui implique famille décomposée et petite criminalité. (...) en France, on a si rarement l'occasion de voir ce registre traité en animation qu'on risque de passer à côté. Ceux qui ont apprécié Mes voisins les Yamada comprendront. Ils se réjouiront aussi de savoir qu'il reste encore beaucoup à découvrir chez cet auteur encore méconnu.

    Score

    par V. McKey

    (...) vision légère et absurde du quotidien d'une famille et surtout un humour en demi-teinte qui allège une histoire au premier abord pleine de pathos. Vingt ans plus tard, l'animation a un peu vieilli, pas ce regard tendre qui rend le film attachant, même si (...) il est un peu longuet.

    La critique complète est disponible sur le site Score

    Studio Magazine

    par Thomas Baurez

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    TéléCinéObs

    par Elodie Lepage

    ce cinéaste a du talent à revendre. Récit à la fois drôle et réfléchi sur l'évolution de la famille dans le Japon des années 1980, ce film en est la preuve éclatante.

    Ciné Live

    par Marc Toullec

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Un monde interlope et bon enfant à la fois, où yakusa et poivrots font bon ménage. Sans oublier les chats, qui sont des matous portés sur la baston. Trivial et savoureux.

    Positif

    par Catherine Axelrad

    (...) aucune évolution des personnages, qui retombent chacun, après une bref escapade, dans leur caractérisation habituelle. (...) long métrage, intéressant par l'image qu'il présente d'un personnage enfantin atypique, dans un milieu populaire rarement évoqué en dessin animé.

    La critique complète est disponible sur le site Positif

    Télérama

    par Cécile Mury

    (...) les distributeurs offrent des oeuvres jusqu'alors inédites en France. Celle-ci date de 1981, et ça se voit : les dessins faussement naïfs sont un peu vieillots, criards, l'animation est plutôt lymphatique. Reste le sujet, piquant, drôle et gonflé, sur les démêlés d'une fillette avec des adultes tous plus timbrés les uns que les autres, et l'intérêt historique que ne manqueront pas d'y trouver tous les amoureux d'Isao Takahata.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Zurban

    par Olivier Pélisson

    Souffrant de quelques longueurs et d'une boîte à rythme ringarde à souhait, ces aventures drolatiques laissent tout de même regarder avec un oeil ravi.

    Cahiers du Cinéma

    par Vincent Malausa

    Explosion : comme une mèche, le fil du récit ne tarde pas à s'allumer, à faire crépiter les séquences en autant de tableaux pour feu d'artifice. Rétention : animation et graphisme sont réduits à leur strict minimum, traits atrophiés, convulsifs, vibrations et soubresauts ne déchirant que rarement la fixité de décors pastels et surannés.

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