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    Les Textiles
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    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 210 abonnés 7 238 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 mai 2020
    Si, avant même de voir ce film, vous aviez des préjugés concernant le milieu du naturisme, évitez à tout prix de le voir.

    Le film dresse le portrait d’un couple de parisien dont la vie est rythmée par la routine (métro, boulot, dodo). On sent clairement que leur couple bat de l’aile. Ils tombent sur l’annonce d’une résidence secondaire située du "l'île du Ventus" (un clin d'oeil évident à la célèbre "île du Levant") et y jette leur dévolu. Mais c’était sans savoir que cette dernière est une île… naturiste !

    Franck Landron et son scénariste Gilles Cahoreau n’y sont pas allés de mains mortes avec les clichés nauséabonds sur le naturisme. Ils y sont même allés à la truelle, comme des sagouins, dépeignant non pas une île naturiste, mais un ersatz du Cap d'Agde (où règne le libertinage).

    Alors que le naturisme prône des valeurs (de tolérance et respecter des individualités par exemple), ici le film nous dépeint un tout autre univers, où le voyeurisme est roi, où « les gens baisent dans les dunes » (dixit le film), ce n’est pas le naturisme qui y est montré dans ce film, mais le libertinage pur et simple.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    alouet29
    alouet29

    67 abonnés 1 514 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 juillet 2015
    Il y a une excellente interprétation de Barbara Schulz. Pour le reste, c'est à éviter : faussement intello, faussement bobo, vision tronquée du naturisme, mélange des genres,
    VOSTTL
    VOSTTL

    67 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 août 2015
    Voilà un film curieux. "Textiles" choisit de suivre un camp de naturistes à travers les yeux de Sophie (Barbara Schulz). C’est une bonne idée. Elle est certainement le porte-parole de beaucoup de gens qui découvriraient à leur insu tous ces corps déshabillés. En effet Sophie ne s’attendait pas à passer des vacances d’été dans un camp de naturistes, elle et son mari croyaient avoir acheté un appartement d’été dans un endroit banal. Voilà pourquoi j’emploie le mot « insu ». Corps nus qui fait des courses au supérette, qui s’adonnent à des activités sportives, qui se baladent dans les allées aussi naturellement que les « textiles », c’est-à-dire ce que sont tous les gens de cette planète : habillés ! Ce qui est intéressant, c’est de suivre le point de vue de Sophie. Non seulement, je comprends qu’elle soit choquée, parce qu’elle ignorait totalement où se situait son appartement, mais elle l’est d’autant plus qu’elle est accompagnée de ses deux petits enfants (entre 7 et 9 ans, je crois). Sophie serait-elle un peu vieux jeu ? Ou vieille France ? Sans aucun doute. Pour elle la nudité relève de l’intimité. Elle doit rester cachée. Pour elle, les corps qui lui sont exposés sont laids et moches, c’est ce qu’elle finit par dire à sa voisine Juliette, laquelle, évidemment s’invite chez Sophie nue, laquelle adhère à la philosophie des naturistes, laquelle le réalisateur en fait forcément une femme ouverte, sans mauvais jeu de mot. Oui, il faut être ouvert d’esprit pour vivre nu pour accepter la nudité d’autrui. L’esprit est connecté au corps. Et vice versa. Juliette est le contre point de Sophie, et là encore le réalisateur donne à Sophie un contre argument à ses idées préconçues et à ses préjugés. Lors d’une conversation, on apprend par Juliette que Sophie ne se balade pas nue dans son intimité, ne regarde pas son corps, ou alors de façon mécanique comme toute personne qui se déshabille, ou est sous sa douche, elle ne s’attarde pas à apprécier sa nudité, et on apprend aussi que Sophie fait l’amour non seulement très rarement mais la lumière éteinte. Ce n’est pas être que vieux jeu, Sophie n’a pas de rapport avec son corps nu. Elle est en effet fermée. Comme elle fermera les volets de son appartement pour se protéger de la nudité qui gambade à l’extérieur. Juliette sera celle qui lui permettra d’ouvrir les volets de sa conscience qui au fond d’elle-même s’impatientent de s’ouvrir. Il lui fallait cette confrontation directe, coup de poing avec le camp de naturistes et la fréquentation de Juliette pour qu’elle accepte d’ouvrir son esprit. Et comme la plupart des gens qui ignorent cette démarche, Sophie relie la nudité à la sexualité, laquelle, comme je le disais plus haut semble conventionnelle, mécanique. Les naturistes vous diront que les curieux sont bannis des camps, que ceux qui photographient et filment sont très mal vus. Cependant, Juliette parle de coin où des hommes se rassemblent. Il ne faut pas être hypocrite. Oui, la nudité combinée à la chaleur peuvent conduire à la sexualité. On le sait tous, il y a des couples qui ne se gênent pas pour s’aimer au grand jour. Sophie abandonne l’appartement quand son mari revient la rejoindre. Après avoir déposé les enfants chez les grands-parents, Sophie revient au camp et voit son mari, nu, agglutiné comme d’autres à regarder un couple qui se caresse. Sophie, sans pour autant se déshabiller, va adopter une démarche érotique en se baignant dans la mer ; des hommes vont la suivre dont son mari qui ne sait pas encore qui est cette femme qui se jette à l’eau. Quand elle en ressort, ses formes sont dévoilées. On peut penser que Sophie finit par s’ouvrir l’esprit mais on voit bien que la sexualité est reliée à l’environnement. Quand le couple se caressait, parmi les curieux qui observaient, certains s’adonnaient à la masturbation. Sophie a eu le temps de gamberger sur les propos de Juliette, sur ce camp, quand elle a déposé ses enfants. Enfin, les naturistes ne voient pas les corps. Ils ne portent aucun jugement. C’est le contraire de Sophie puisqu’elle dit que tous ces corps sont laids et moches. Et alors ? ce qu’il y a de bien avec les naturistes, c’est qu’ils assument leur corps, ils assument les ingratitudes de l’âge. Pourquoi une femme ou un homme devrait abandonner l’idée d’être nu en société à cause de son âge ? Pourquoi abandonner ce principe de vie qui vous a accompagné tout au long de votre existence ? La nudité a cet avantage : elle ne donne aucune indication sur l’identité sociale. Un homme nu ne dit pas s’il est ouvrier ou docteur. Le film aurait pu être une comédie grasse, ou aurait pu proposer une fin prévisible : Sophie nue dans le camp et se sentant libérée, le sourire au lèvres. C'est plus subtile que ça. A travers la conduite de Sophie, les plans un peu trop serrés sur son visage révèlent avec parcimonie le cheminement de ses tourments. Le réalisateur n’a pas dissocié le naturisme de la sexualité. Il a évité l’hypocrisie. On peut simplement reprocher la qualité des plans, de l’image même qui donne à ce film un goût désagréable de téléfilm. Oui, un film curieux, à la fois superficiel et délicatement bien amené dans sa réflexion. En tout cas, le film a le mérite de nous proposer le minois de Barbara Shulz très rare dans les salles obscures.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 23 mai 2012
    Si vous voulez rire ce n'est pas vraiment le film à regarder il n'y a rien de vraiment drole, on assiste plutôt à un "essai sociologique". Le film part platement puis devient un peu étrange là ou on s'attend à du gros gags, on a bien du mal à comprendre ou le réalisateur veut en venir. Au final les naturistes n'apparaissent pas spécialement sympathique et les acteurs font ce qu'ils peuvent.
    stillpop
    stillpop

    76 abonnés 1 444 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 juillet 2011
    Avant toute chose, on ne le répètera jamais assez, la beauté du cinéma, c'est la qualité de l'image. Il y a suffisamment de premiers films fait sans DV et avec des steadicam cinéma pour savoir que c'est possible. Ici le sujet presque documentaire imposait peut-être une équipe minimale, mais alors, on aurait apprécié une mise au
    point sans défauts et un grain agréable comme dans "Inguélézi". Là, les visages sont souvent flous, et les couleurs sont limites ternes tandis que le grain vidéo est toujours présent.
    Bref, le plaisir est un peu gâché, on se demande si l'on est au cinéma ou devant son poste de télévision.
    Ensuite, il faut bien reconnaître que le sujet est documenté, que le scénario est finalement complexe. Cela exposé, il s'agit quand même d'une caricature d'un certain style de naturisme.
    Le problème, c'est que certains choix de script sont un peu simplistes. Le suivi de Barbara est correct quoiqu'un peu timide, vu la situation dans laquelle elle se trouve, mais celui de Brasseur est laconique, et finalement, peu crédible. Tout comme la fin d'ailleurs, à part l'effet cinématographique.
    Pour le reste, pas de musique, pas de grandes scènes, c'est une exploration semi-documentaire de l'appréhension des non-naturistes face à l'extrême.
    Mais les sentiments du couple qui font la trame du film sont trop confus et insuffisamment démontrés pour que le sujet soit exaltant.
    Reste le jeu de Barbara, toujours correct, et une invitation aux bords de mer, habillés ou non.
    Mention spéciale au générique, original, frais, et très sympathique pour l'équipe de tournage.
    Nicolas H
    Nicolas H

    9 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 avril 2011
    Mouais,mouais...Petite comédie au scénario minimaliste qui peine à faire sourire!!!
    Tout le sujet du film repose sur une seule question:B.Schulz finira-t-elle nue? Et...Et aussi mignonne soit-elle,quand une histoire se limite à un dilemme existentiel qui ne nous concerne pas,on se lasse vite de ses altermoiements.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    926 abonnés 4 845 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 juillet 2015
    J'ai beaucoup aimé la partie médiane qui expose des théories intéressantes et fait des constats sur la nudité sexuelle ou non sexuelle sous le rapport de la discussion entre les jeunes femmes: l'ouverture sur un mode de perception des choses, par exemple une inversion de la vison de la nudité: ces sont les gens habillés qui "agressent" les gens nus dans une communauté naturiste, ou bien la vison d'un corps que l'on met nu pour soi-même mais aussi pour autrui: une façon d'être desinhibé, d'exposer sa vulnérabilité. Il y a aussi le côté libertinage qui n'a pas spécialement sa place même si je comprends que l'auteur ait voulu évoquer aussi ce que la nudité peut amener. La nudité est aussi le désir mais le naturisme c'est la nudité non sexuelle. Mais le début et la fin sont assez médiocres et ennuyeux. Le revirement de la fin avec le problème de communicabilité du couple et l'homme qui se découvre en vérité voyeur, c'est assez pathétique.
    Franck L
    Franck L

    40 abonnés 1 171 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 octobre 2009
    Au début, le film est intéressant et ressemble à une comédie. Cela correspondait bien au synopsis et à la bande annonce. Par contre, la seconde partie du film décrit plutôt sur les penchants sexuels des naturistes qui ne correspondent pas du tout aux idées qu'on s'en fait. Au final, je n'ai pas aimé, l'ensemble n'étant pas du tout une comédie...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 janvier 2010
    un film pas drôle. Le début était moyen mais la fin est bâclée.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 septembre 2008
    Bonjour à vous! j'écris cette critique pour ce qui n'ont pas encore vu le film et ce qui l'on vu et qui on eu meme ecris une critique. Je pense personnellement que ce film est ininteressant, vulgaire et limite en tout point. Pour ma part je n'aimais deja pas le naturisme familliale mais la encore moins et jamais je n'accepterais que mon fils se trimbale nue dans un magazin et encore moin devant sa soeur. Le pervers regrouper dans un film je ne pense pas que le realisateur de ce film mérite un étoile. Toutefois chacun est libre de faire ce qui lui plait mais je suis dégouté par ce film. Chacun persois les choses d'un point de vue libre à vous de voir.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 mai 2008
    Pas mal mais sans plus, la faute à certaines longueurs qui vous font décrocher, et la fin n'est pas très claire à mon goût. Le thème est intéressant sinon.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 novembre 2007
    Un film qui nous plonge dans l'univers naturiste, on peux regretter cependant les publicités masquées pour des marques d'eau , de téléphone et d'agence immobilière.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 juin 2007
    Bon petit film français bien réaliste sur le naturiseme. On se sent vraiment dans la peau de Barbara Schulz, ce film est agréable à voir, on passe un bon moment. C'est vraiment bien!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 mai 2007
    Rien que le titre aurait dû vous prévenir : "Les TeXtiles". Avec un grand X. Le naturisme (ou le nudisme) pour les textiles, c'est classé "X".

    Je pratique la nudité intégrale depuis plus de sept ans, sans posséder la "carte du Club Mickey". Pourtant je suis assez d'accord avec eux sur les idées générales. Le naturisme, ce n'est pas le sexe. Je me sens bien lorsque je suis "vêtu d'espace" (comme disent les sages de l'Inde).
    Je fréquente des plages ou des centres de relaxation où les dictateurs textiles ne sont pas admis. Quoi de plus normal ? Vous m'imagineriez, moi, à poil sur une plage textile ? C'est le commissariat à coup sûr.
    Du reste, la chose ne me viendrait même pas à l'idée. En fait, je suis très pudique. Je ne me dénude que dans l'intimité, ou en compagnie de gens qui partagent ma philosophie. Là, aucune pudeur, mais rien d'un exhibitionniste pour autant.

    De plus en plus, des textiles arrogants envahissent les plages où normalement ils ne sont qu'admis et s'en érigent les maîtres.
    Je n'ai pas grande sympathie pour l'héroïne du film, qui n'a pour seule excuse que d'être la victime d'un quiproquo. Bref, un film assez négatif, avec un scénariste en panne d'imagination.
    Sylvain P
    Sylvain P

    302 abonnés 1 334 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2007
    Merveilleuse Barbara Schulz dans une comédie fraîche comme la rosée où les situations gênantes se succèdent (je parle en bon textile que je suis).
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