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    Temporada de patos
    Note moyenne
    3,6
    16 titres de presse
    • Le Monde
    • Télérama
    • Ciné Live
    • L'Humanité
    • Les Inrockuptibles
    • MCinéma.com
    • Positif
    • Télé 7 Jours
    • Cahiers du Cinéma
    • L'Express
    • Libération
    • Ouest France
    • Première
    • Score
    • Zurban
    • aVoir-aLire.com

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    16 critiques presse

    Le Monde

    par Florence Colombani

    En une journée faite de gâteaux ratés, de fous rires et de confidences, ce sont toutes la fragilité et la mélancolie de l'adolescence qui apparaissent, ses élans amoureux mal maîtrisés, sa profonde et irrémédiable solitude. Comme une comédie italienne des années 1960, Temporada de Patos mélange les genres, et sonne constamment juste : le rythme est celui de la comédie, l'esthétique celle du drame intimiste.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Télérama

    par Pierre Murat

    C'est un film inventif et drôle, dont l'apparente tranquillité cache une férocité suave. [...] Ce petit film a le charme d'une esquisse. La gravité y rôde, par moments, comme par inadvertance, même si le réalisateur a choisi de privilégier l'humour décalé. On y sent, aussi, comme en aparté, la cruauté sous l'apparence. Les secrets sous l'état des choses.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Ciné Live

    par Sandra Benedetti

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    La critique complète est disponible sur le site Ciné Live

    L'Humanité

    par Michael Melinard

    À partir d'un scénario classique, dans lequel le cinéaste revient, avec humour et un sens du détail étonnant, sur les affres de l'adolescence, l'éveil du désir et la peur de l'inconnu, Fernando Eimbcke signe un film élégant et attachant.

    Les Inrockuptibles

    par Jean-Baptiste Morain

    Chaque scène commence par une ouverture au noir et se termine par un fondu au noir. Pendant le noir absolu, très court, le spectateur a le temps de se demander ; "Qu'est-ce qu'il vont bien pouvoir encore inventer ?"- question qui s'adresse autant aux personnages qu'à l'auteur. Car ce film minimaliste, quasi-huis clos, fait preuve d'une inventivité comique qui repose sur l'absurde, l'accumulation, la lenteur, la fixité du cadre, l'ellipse, le non-dit, l'"understatement".

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    MCinéma.com

    par Olivier Pélisson

    Respectant les règles de la dramaturgie classique, unité de lieu, de temps et d'action, le réalisateur happe petit à petit le spectateur dans son film, moins prenant au début. Les situations s'enchaînent pour devenir de plus en plus barjes et drôles.

    Positif

    par Vincent Thabourey

    Sans jamais être très subversif, ce premier long métrage de Fernando Eimbcke dépasse heureusement le simple exercice de style pour aborder avec humour et pudeur le monde trouble de l'adolescence.

    La critique complète est disponible sur le site Positif

    Télé 7 Jours

    par Gérard Lenne

    La comédie vaut par la drôlerie insidieuse de la situation, ses apartés cocasses, ses caractères bien dessinés.

    Cahiers du Cinéma

    par Nicolas Azalbert

    Le seul excès que s'autorise Eimbecke, c'est du côté du mielleux qu'il faut aller le chercher[...] Plantés comme des figurines sur un gâteau de mariés [...] les corps des acteurs sont pensés et agencés non par un principe de mise en scène, mais par ce qui s'apparente à de l'art décoratif. [...] Tout cela dans le seul but de faire fondre le spectateur comme du beurre devant la candeur de l'enfance en gros plan.

    L'Express

    par Eric Libiot

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    Libération

    par Philippe Azoury

    Traversé de poésie, de solitude, emmené par un sens du cadre évident, mais sans cesse prisonnier de ses numéros vendus d'avance, où voisins et autres amis de la famille retiennent toute échappée belle pour le contraindre à ne plus ressembler qu'à une série de sketches à chute, quand il ne sombre pas totalement dans le film de genre grossier.

    Ouest France

    par La rédaction

    Un premier film hors-normes. En noir et blanc, un récit hors du temps qui navigue entre spleen et fantasmes. Avec humour et poésie.

    Première

    par Alexis Trosset

    La gravité est à portée de main, les blessures à vif, mais Fernado Eimbecke ne fait que les suggérer, préférant rester dans la légèreté euphorisante et lorgner vers l'absurde. Ce que souligne le noir et le blanc délavé et la mise en scène anxiogène de ce premier film

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Score

    par V. Mckey

    Temporada de Patos trouve [dans le noir et blanc] une jolie fraîcheur capable de faire oublier les trois pièces de l'appartement où il se déroule intégralement. Pas une révélation fulgurante mais un premier film au dessus du lot.

    La critique complète est disponible sur le site Score

    Zurban

    par Charlotte Lipinska

    C'est en plans fixes et en noir et blanc que Fernando Eimbecke filme l'oisiveté nonchalente qui part en vrille. La banalité des situations glisse vers l'absurde. Un sens aigu de l'ellipse, et la durée des séquences étirées au maximum, y sont pour beaucoup. Tout comme les acteurs, merveilleux ados que plus rien n'étonne. Si ce n'est la confusion des sentiments.

    aVoir-aLire.com

    par Romain Le Vern

    On a parfois la désagréable impression de voir du sous-Jarmusch made in Mexique. L'accumulation de fondus au noir et les fausses ellipses dans le dernier tiers agressent le récit plus qu'elles ne le servent. Le film tient son charme de la fraîcheur des interprètes et non d'un scénario qui ressemble à un patchwork de situations peu ou moyennement originales. Le résultat est intéressant, à défaut d'être convaincant.

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