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    Les Bouchers verts
    Note moyenne
    3,3
    20 titres de presse
    • Ciné Live
    • L'Express
    • Le Figaroscope
    • Ouest France
    • Positif
    • Rolling Stone
    • Studio Magazine
    • Télé 7 Jours
    • TéléCinéObs
    • Brazil
    • Cinéastes
    • Le Figaro
    • Libération
    • MCinéma.com
    • Première
    • Télérama
    • Zurban
    • L'Humanité
    • Le Monde
    • aVoir-aLire.com

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    20 critiques presse

    Ciné Live

    par Christophe Chadefaud

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    L'Express

    par Christophe Carrière

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    Le Figaroscope

    par Marie-Noëlle TRANCHANT

    La fable a de quoi rebuter, mais le cinéaste la conduit avec une étrange sûreté, entre cynisme et innocence, entre dérision et bizarre tendresse. Un conte polaire où les petits poucets deviennent des ogres avant de retrouver le chemin de la maison.

    Ouest France

    par La rédaction

    On y rencontre des personnages attachants que composent joliment des acteurs plongés avec un total sérieux dans leur composition. Ils donnent sa vraie touche d'humanité à un conte truculent qui décline une revigorante vision de l'existence. Bien loin des pièges sanguinolents et cruels qui pouvaient sommeiller dans le frigo de ces bouchers sentimentaux.

    Positif

    par Adrien Gombeaud

    "Les Bouchers verts" comporte quelques moments et répliques très drôles, mais ne se veut pas la comédie délirante promise [...]. Le cinéaste a préféré l'étrange au comique, un rythme tempéré à une cascade de gags.[...] Jensen a su construire un univers cohérent. Il en résulte une petite oeuvre tordue, attachante, singulière et poétique.

    La critique complète est disponible sur le site Positif

    Rolling Stone

    par Christophe Chadefaud

    Assaisonné d'une bonne rasade d'humour noir, ce Delicatessen danois à la plastique glacée et avantageuse évite même les dangers d'une escalade dans le carnage gratuit. Une bonne surprise comme on en voit peu.

    Studio Magazine

    par Thomas Baurez

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    Télé 7 Jours

    par Gérard Lenne

    Assassins par inadvertance puis par habitude, nos bouchers forment un duo croquignolet, mais la description d'un pittoresque bourg danois nous amuse également, le cinéaste Anders Thomas cultivant un humournoir pince-sans-rire.

    TéléCinéObs

    par Jean-Philippe Guerand

    Sous l'humour noir affleure une comédie humaine très juste où la raison du plus fou finit par l'emporter.

    Brazil

    par Alex Masson

    Andres Thomas Jensen malaxe des éléments de la plupart des films danois qu'il a écrit jusque-là (...) pour un résultat un peu indécis. Mais curieusement plus par un scénario finalement très convenu, nettoyant toutes ses audaces derrière lui. Les personnages, entre fêlures et incertitudes, mettent en vitrine une galerie de losers attachants, nettement mieux ciselés.

    Cinéastes

    par Marie-Pauline Mollaret

    Cherchant à tout prix à s'inscrire dans la veine du politiquement incorrect et de l'humour grinçant, le film en fait parfois des tonnes, se perdant un peu en chemin. Mais malgré ces maladresses de ton, et en dépit d'une fin trop conventionnelle, on en reprendrait bien une tranche pour les jours de disette.

    La critique complète est disponible sur le site Cinéastes

    Le Figaro

    par La rédaction

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Libération

    par BAYON

    une tambouille cinématographique à la Georges Franju, tenant de Delicatessen et des comédies noires anglaises à la Petits Meurtres entre amis. (...) le scénario de la chose, froidement gore, jusqu'au dérangement mental, dose en fait avec justesse le bizarre répugnant, le psychiatrique, le grand guignol poétique, l'anecdote, la fable et le réalisme social ­ de proximité.

    MCinéma.com

    par Aurélien Allin

    loin de la pochade sans conséquence, Jensen parvient à analyser avec justesse la course hystérique à la célébrité et à la reconnaissance qui a lieu dans nos sociétés modernes, donnant à ses personnages une dimension pathétique émouvante. Malheureusement, son scénario finit par être répétitif, et souffre ainsi de quelques longueurs qui amenuisent son impact.

    Première

    par Gérard Delorme

    Contre toute attente, le film arrive à s'écarter de la comédie macabre pour se concentrer avec une étonnante bienveillance sur des personnages vigoureusement interprétés. Il y a assez de style chez cet auteur danois pour donner envie de guetter ses prochains films.

    Télérama

    par Frédéric Strauss

    Un régal pour les amateurs de mauvais goût. Pour les autres, cette comédie noire, mijotée au Danemark et distribuée en France par Luc Besson, a des relents de stupidité criminelle.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Zurban

    par Charlotte Lipinska

    Jensen signe un film inclassable, croisement de comédie macabre et de drame psychologique. Rigoureuse, la mise en scène privilégie les personnages sans souligner l'absurdité des situations.

    L'Humanité

    par La rédaction

    La pesanteur et l'hébétude des personnages sont érigées en arguments comiques, ce que n'arrangent ni des rebondissements scénaristiques plus ineptes les uns que les autres, ni la maniaquerie appuyée des décors.

    Le Monde

    par Jean-François Rauger

    Les Bouchers verts reposent sur une seule idée macabre, plutôt plaisemment menée. L'humour noir cotoie la satire, et une forme grinçante de jeu sur des conventions psychologiques convenues et caricaturées. Mais faire tenir, durant une heure trente, un argument de court métrage se révèle laborieux.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    aVoir-aLire.com

    par Romain Le Vern

    Malgré deux ou trois passages tordants (...), Les bouchers verts reste un pétard mouillé, sans mise en scène, qui se fantasme sans doute quelque part entre Delicatessen et Mary à tout prix.

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