Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Fluctuat.net
par Manuel Merlet
Cette oeuvre délicate, discrète, fuit la démonstration et l'excès comme d'autres la vanité du mouvement ou le bruit de la renommée. [...] le cinéaste parvient à saisir in extremis la fragilité d'une union. En ces derniers instants de pellicule, il capture l'ineffable. On sent que cela ne fut facile ni pour lui ni pour le spectateur. Mais le partage de cet instant vaut largement l'effort déployé.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Obs
par Jérôme Garcin
Contrairement au roman, porté par la poésie de l'imaginaire, le film bouleversant de Jean-Pierre Denis, noyé dans la brume savoyarde, est sans cesse rattrapé par la réalité. Mais les deux expriment avec la même rage ce don absolu de soi qu'un homme sans illusions peut faire pour sauver une petite vie que la vie a oubliée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Olivier De Bruyn
Jean-Pierre Denis (...) reste fidèle à sort art de l'épure, de la suggestion. (...) A la fois conte, récit initiatique et fiction charnelle, La Petite chartreuse ne bavarde pas. Par la seule force de sa mise en scène, aussi sensible dans les montagnes enneigées que dans les couloirs glaçants de l'hôpital, le cinéaste enregistre l'essentiel d'une vie qui vibre et palpite.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Frédéric Strauss
Les comédiens ont su donner une réalité sensible à des personnages d'une densité presque littéraire et qui sont effectivement issus d'un roman, qu'on doit à Pierre Péju. Marie-Josée Croze est d'une grande justesse dans un rôle difficile de mère défaillante, et la petite Bertille Noël-Bruneau ne cesse d'étonner par l'intensité de sa présence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Marianne Spozio
Difficile de déterminer ce qui contribue le plus à la réussite de cette Petite chartreuse. Son histoire ? Ses acteurs ? Son style ? Comme pour tous les films aboutis, il s'agit d'une conjonction de tous ces éléments, qui les rend, au final, indissociables. (...) Pas un mot de trop, pas une scène qui s'éternise. Le style de Jean-Pierre Denis, épuré, va directement à l'humain dans ce qu'il a de plus authentique.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise MAUPIN
Jean-Pierre Denis travaille dans l'épure, le non-dit, raconte son histoire, étrange et magnifique en fixant les gestes et captant les regards. Un travail sans esbroufe, qui privilégie l'émotion, sans jamais tomber dans le pathos et qui confirme le talent d'Olivier Gourmet, exceptionnel dans ce rôle d'homme blessé saisi par la grâce d'une fillette.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(...) qu'est-ce qui fait échapper ce conte tragique, gorgé de bons sentiments, au mélodrame larmoyant et à l'esthétique de téléfilm ? Le jeu des comédiens, d'abord, tout en retenue, discrétion (...) Un parti pris d'épure qu'il faut mettre sur le compte d'une mise en scène sobre, d'un dialogue peu bavard, de l'apport de Michel Portal à la bande-son, d'une caméra proche des personnes (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par La rédaction
(...) le réalisateur a l'intelligence de ne pas porter de jugement sur ses personnages. (...) Cette partie aurait sans doute mérité d'être un peu plus claire, le réalisateur fonctionnant trop par sous-entendus. L'ensemble de la distribution est à saluer. Un film âpre, attachant mais exigeant.
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
Les comportements gardent leur mystère dans ce film de Jean-Pierre Denis aussi touchant que la petite Bertille Noël-Bruneau.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
[...] quelque chose résiste au programme larmoyant du film. Une manière de montrer chaque plan comme s'il était seule, quelque chose de frontal et de brut dans les instants qu'assemble le film [...]. Jean-Pierre Denis qu'on a connu plus à son aise avec des sujets moins consensuels[...] concasse de son mieux tout ce qui semble vouloir expliquer, justifier, enchaîner les gestes, les regards et les sentiments.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Sujet d'emblée lacrymogène, auquel il ne manque pas un bouton de guêtre. Faites jaillir vos larmichettes ! Les à-côtés du récit sont plus convaincants.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une histoire de rédemption un peu convenue, sauvée par l'interprétation et le décor montagnard.
Ouest France
par La rédaction
C'est le retour à l'affiche de Jean-Pierre Denis, un cinéaste qui depuis son Histoire d'Adrien en 1987 jusqu'aux Blessures assassines il y a cinq ans trace discrètement le sillon d'une oeuvre personnelle ancrée dans une belle authenticité humaine. Il a trouvé dans un roman de Pierre Péju matière à un récit en puzzle qui, avant de s'engouffrer peu à peu dans un final attendu, distille parcimonieusement les éléments d'un portrait vif et subtil.
Score
par Bob Alcazar
Le bouquin interrogeait dans les yeux le pouvoir de la littéraire et le coeur de cet homme plongé dans les livres pour échapper à des terreurs d'enfant. le film, lui, n'est qu'un film, assujetti à un pauvre regard DV. Il était d'évidence périlleux de mettre des images sur ces mots.
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Gilles Verdiani
Le cinéaste cherche un compromis entre le conte et le fait-divers, comme son personnage principal cherche un passage dans la montagne. Il n'est pas certain qu'il y soit parvenu.
Zurban
par Claire Vassé
Tout n'est pas convaincant (...), ainsi que certaines scènes, un peu trop illustratives. Mais qui quand Jean-Pierre Denis filme l'inpalpable qui relie les gens (...), nous plongeons dans ce que le cinéma peut nous donner de plsu pur.
Fluctuat.net
Cette oeuvre délicate, discrète, fuit la démonstration et l'excès comme d'autres la vanité du mouvement ou le bruit de la renommée. [...] le cinéaste parvient à saisir in extremis la fragilité d'une union. En ces derniers instants de pellicule, il capture l'ineffable. On sent que cela ne fut facile ni pour lui ni pour le spectateur. Mais le partage de cet instant vaut largement l'effort déployé.
L'Obs
Contrairement au roman, porté par la poésie de l'imaginaire, le film bouleversant de Jean-Pierre Denis, noyé dans la brume savoyarde, est sans cesse rattrapé par la réalité. Mais les deux expriment avec la même rage ce don absolu de soi qu'un homme sans illusions peut faire pour sauver une petite vie que la vie a oubliée.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
Jean-Pierre Denis (...) reste fidèle à sort art de l'épure, de la suggestion. (...) A la fois conte, récit initiatique et fiction charnelle, La Petite chartreuse ne bavarde pas. Par la seule force de sa mise en scène, aussi sensible dans les montagnes enneigées que dans les couloirs glaçants de l'hôpital, le cinéaste enregistre l'essentiel d'une vie qui vibre et palpite.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Les comédiens ont su donner une réalité sensible à des personnages d'une densité presque littéraire et qui sont effectivement issus d'un roman, qu'on doit à Pierre Péju. Marie-Josée Croze est d'une grande justesse dans un rôle difficile de mère défaillante, et la petite Bertille Noël-Bruneau ne cesse d'étonner par l'intensité de sa présence.
aVoir-aLire.com
Difficile de déterminer ce qui contribue le plus à la réussite de cette Petite chartreuse. Son histoire ? Ses acteurs ? Son style ? Comme pour tous les films aboutis, il s'agit d'une conjonction de tous ces éléments, qui les rend, au final, indissociables. (...) Pas un mot de trop, pas une scène qui s'éternise. Le style de Jean-Pierre Denis, épuré, va directement à l'humain dans ce qu'il a de plus authentique.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Jean-Pierre Denis travaille dans l'épure, le non-dit, raconte son histoire, étrange et magnifique en fixant les gestes et captant les regards. Un travail sans esbroufe, qui privilégie l'émotion, sans jamais tomber dans le pathos et qui confirme le talent d'Olivier Gourmet, exceptionnel dans ce rôle d'homme blessé saisi par la grâce d'une fillette.
Le Monde
(...) qu'est-ce qui fait échapper ce conte tragique, gorgé de bons sentiments, au mélodrame larmoyant et à l'esthétique de téléfilm ? Le jeu des comédiens, d'abord, tout en retenue, discrétion (...) Un parti pris d'épure qu'il faut mettre sur le compte d'une mise en scène sobre, d'un dialogue peu bavard, de l'apport de Michel Portal à la bande-son, d'une caméra proche des personnes (...)
MCinéma.com
(...) le réalisateur a l'intelligence de ne pas porter de jugement sur ses personnages. (...) Cette partie aurait sans doute mérité d'être un peu plus claire, le réalisateur fonctionnant trop par sous-entendus. L'ensemble de la distribution est à saluer. Un film âpre, attachant mais exigeant.
Télé 7 Jours
Les comportements gardent leur mystère dans ce film de Jean-Pierre Denis aussi touchant que la petite Bertille Noël-Bruneau.
Cahiers du Cinéma
[...] quelque chose résiste au programme larmoyant du film. Une manière de montrer chaque plan comme s'il était seule, quelque chose de frontal et de brut dans les instants qu'assemble le film [...]. Jean-Pierre Denis qu'on a connu plus à son aise avec des sujets moins consensuels[...] concasse de son mieux tout ce qui semble vouloir expliquer, justifier, enchaîner les gestes, les regards et les sentiments.
L'Humanité
Sujet d'emblée lacrymogène, auquel il ne manque pas un bouton de guêtre. Faites jaillir vos larmichettes ! Les à-côtés du récit sont plus convaincants.
Les Inrockuptibles
Une histoire de rédemption un peu convenue, sauvée par l'interprétation et le décor montagnard.
Ouest France
C'est le retour à l'affiche de Jean-Pierre Denis, un cinéaste qui depuis son Histoire d'Adrien en 1987 jusqu'aux Blessures assassines il y a cinq ans trace discrètement le sillon d'une oeuvre personnelle ancrée dans une belle authenticité humaine. Il a trouvé dans un roman de Pierre Péju matière à un récit en puzzle qui, avant de s'engouffrer peu à peu dans un final attendu, distille parcimonieusement les éléments d'un portrait vif et subtil.
Score
Le bouquin interrogeait dans les yeux le pouvoir de la littéraire et le coeur de cet homme plongé dans les livres pour échapper à des terreurs d'enfant. le film, lui, n'est qu'un film, assujetti à un pauvre regard DV. Il était d'évidence périlleux de mettre des images sur ces mots.
TéléCinéObs
Le cinéaste cherche un compromis entre le conte et le fait-divers, comme son personnage principal cherche un passage dans la montagne. Il n'est pas certain qu'il y soit parvenu.
Zurban
Tout n'est pas convaincant (...), ainsi que certaines scènes, un peu trop illustratives. Mais qui quand Jean-Pierre Denis filme l'inpalpable qui relie les gens (...), nous plongeons dans ce que le cinéma peut nous donner de plsu pur.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr