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    Dias de campo
    Note moyenne
    3,7
    17 titres de presse
    • Les Inrockuptibles
    • Cahiers du Cinéma
    • L'Humanité
    • Le Figaro
    • Le Monde
    • Le Point
    • Libération
    • Positif
    • Télérama
    • aVoir-aLire.com
    • Chronic'art.com
    • MCinéma.com
    • Ouest France
    • Première
    • Studio Magazine
    • TéléCinéObs
    • Zurban

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    17 critiques presse

    Les Inrockuptibles

    par Jean-Baptiste Morain

    Avec son premier film chilien depuis plus de trente ans, le prodigue Raoul Ruiz nous offre, sans avoir l'air d'y toucher, l'un des plus beaux rubans de rêve de l'année.

    Cahiers du Cinéma

    par Jean-Philippe Tessé

    Ruiz déploie (...) une calme furie, débauche de mouvements de caméras aussi raffinés qu'à la limite parfois de la préciosité. (...) De l'étrangeté, du fantastique, du souvenir, il tire une écriture penchant vers les rides élégantes et le recul d'une intrépide sagesse.

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Un film intime, où le cinéaste reste fidèle à ses marottes : mises en abyme et distorsions spatio-temporelles. (...) Une variation irracontable sur la création littéraire et sur la filiation. Ruiz est un des rares à coucher sur la pellicule le processus des rêves.

    Le Figaro

    par La rédaction

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    Le Monde

    par Jean-Luc Douin

    Pour pudique qu'elle soit, la manière qu'a choisie Ruiz pour battre la campagne à la poursuite de ces hommes de nulle part serre le coeur.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Le Point

    par La rédaction

    Voir la critique sur www.lepoint.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Libération

    par Philippe AZOURY

    Film du retour en catimini, ces "journées en campagne" se présentent comme une transposition de certaines nouvelles de Federico Gana. A l'écran, c'est une autre paire de manches : une suite de dialogues délirants entre un homme âgé (...) et celui (...) qu'il fut trente ans auparavant. Il n'est donc pas interdit d'y lire entre les lignes un autoportrait du cinéaste en nostalgie.

    Positif

    par Yannick Lemarié

    A une époque de certitudes où il est de bon de tout classer (...), Ruiz s'amuse à brouiller les frontières entre l'ancien et le moderne, le ciel et la terre, les vivants et les morts, le réel et l'imaginaire.

    Télérama

    par Jacques Morice

    Une méditation nostalgique de Raoul Ruiz sur le pays natal et les années enfuies. Emouvant.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    aVoir-aLire.com

    par Catherine Le Ferrand

    Variations impressionnistes dans un monde clos qui ondule au fil de la mémoire. Un objet rare.

    Chronic'art.com

    par Guillaume Loison

    Ruiz tisse un canevas engourdissant et hypnotique, où les plans et images s'effacent inexorablement, rappelant la déliquescence stylistique d'un Paul Schrader. Dias de campo souffre d'en rester à la surface, du moins de ne la perforer qu'occasionnellement, toujours dans un non-style.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    MCinéma.com

    par Camille Brun

    s'il y a bien de belles scènes, d'émouvants moments dans DIAS DE CAMPO, il y a surtout une histoire à laquelle on ne s'intéresse jamais vraiment. Des dialogues kilométriques et soporifiques... Bref, une impression tenace de perdre son temps devant ce lent et long métrage ennuyeux. Maintenant que Raoul Ruiz a retrouvé ses marques au Chili, espérons qu'il en fera rapidement le décor d'un film tordu et attachant dont il a le secret.

    Ouest France

    par La rédaction

    Un récit qui marque le retour de Raoul Ruiz au pays. Mais entre France et Chili, la manière de l'auteur de L'oeil qui ment, des Généalogies d'un crime ou du Temps retrouvé ne change pas. On bavarde, on bavarde, on bavarde dans une narration qui perd son fil conducteur. La dérision, la poésie, le fantastique, oui, mais dans un processus déstructuré qui laisse peu de clés pour entrer dans cet univers.

    Première

    par Olivier de Bruyn

    Surréalisme et inventions formelles abondent dans cette histoire hantée par les gouttières errantes, les revenants et les oeufs sur le plat. Du Raul pour jus...

    Studio Magazine

    par Thomas Baurez

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    TéléCinéObs

    par Xavier Leherpeur

    Un fois de plus, l'univers foisonnant de Ruiz sert de point de départ à une réflexion sur la vie, la mort et la création. Une fable fantastique, où le surnaturel est filmé comme un dérèglement de notre réalité. Intrigant mais un peu bavard.

    Zurban

    par Claire Vassé

    (...) une atmosphère assez envoûtante et une lumière dont la blancheur finit de voiler les cartes du réel pour mieux nous faire plonger dans la sensation.

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