Mon compte
    J'aime travailler
    Note moyenne
    3,5
    10 titres de presse
    • Ciné Live
    • Libération
    • Paris Match
    • Première
    • Zurban
    • Le Figaro
    • Le Monde
    • Studio Magazine
    • TéléCinéObs
    • Télérama

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    10 critiques presse

    Ciné Live

    par Arnold

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    Libération

    par Olivier Séguret

    (...) drôle d'amalgame de réalisme social et de fantastique melvilien (...) J'aime travailler a les allures d'une petite pierre blanche : la brique élémentaire d'un cinéma d'actualité politique immédiate, qui devrait trouver mille prétextes pour essaimer à l'échelle du continent.

    Paris Match

    par Alain Spira

    Traité sur le mode de la réalité-fiction, ce film n'est pas sans rappeler, en plus sombre, la descente aux enfers d'Amélie Nothomb dans "Stupeurs et tremblements". Mais le propos de Francesca Comencini est davantage social et porte sur le harcélement du travail.

    Première

    par Christophe Narbonne

    Une dénonciation aussi édifiante qu'amère sur la dure vie entreprise.

    Zurban

    par Olivier Pélisson

    Une surprise revigorante venue d'Italie.

    Le Figaro

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    Le Monde

    par Florence Colombani

    Noble colère et belle matière cinématographique. [...] Dommage que l'indignation de la cinéaste pèse tant sur le film, dictant cette structure binaire un brin simpliste : acte I, la descente aux enfers ; acte II, la révolte.

    Studio Magazine

    par Thomas Baurez

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    TéléCinéObs

    par Gilles Verdiani

    Inspirée de dizaines de témoignages, l'histoire est simple, racontée avec précision, interprétée avec une douceur d'agneau sacrificiel par Nicholetta Braschi [...] Certes dans ce film les patrons sans scrupules n'ont pas le droit à la parole. Mais faut-il le regretter ?

    Télérama

    par Aurélien Ferenczi

    Le scénario donne toutefois trop peu de clés : on ignore d'où vient la neurasthénie de cette femme qui s'est quasiment retirée du monde pour surinvestir - à tort - une vie professionnelle sans avenir.[...] Cet hymne militant à affronter le monde - plutôt qu'à se laisser détruire sans résistance - finit par émouvoir.

    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top