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    Le domaine perdu
    Note moyenne
    3,0
    20 titres de presse
    • Le Figaro
    • Le Figaroscope
    • Le Point
    • Ouest France
    • Positif
    • Le Monde
    • Libération
    • MCinéma.com
    • Première
    • Score
    • Studio Magazine
    • TéléCinéObs
    • Télérama
    • Zurban
    • aVoir-aLire.com
    • Cahiers du Cinéma
    • Chronic'art.com
    • Ciné Live
    • L'Express
    • Les Inrockuptibles

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    20 critiques presse

    Le Figaro

    par Brigitte Baudin

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Figaroscope

    par Brigitte Baudin

    Comme à son habitude, Raoul Ruiz navigue au compas entre réalité et onirisme, romanesque et humour baroque (...) Un film mosaïque qui joue avec le temps et l'espace. Pour notre plus grand plaisir.

    Le Point

    par Olivier De Bruyn

    Voir la critique sur www.lepoint.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Ouest France

    par La rédaction

    Le titre est emprunté à un roman d'Alain-Fournier. Nouvelle référence littéraire pour Raoul Ruiz dont on sait combien il aime jouer avec le temps, le souvenir et la mémoire. Et la littérature globalement. Il se prête ici encore à son jeu de prédilection qui bouscule les codes de la logique et de la cohérence dans le déroulé du récit. Les générations se croisent dans ce grand chamboulement du temps. C'est la marque particulière de l'auteur, ses admirateurs y cèderont, conduits par l'interprétation de Grégoire Colin, François Cluzet et Marianne Denicourt notamment.

    La critique complète est disponible sur le site Ouest France

    Positif

    par Guy Scarpetta

    Il faut s'y faire : Raoul Ruiz continue, il s'obstine, il accumule les films à un rythme ahurissant, aux antipodes de ce qui se débite industriellement sous le nom de cinéma. Complètement à contre-courant, c'est-à-dire libre, souverain.

    La critique complète est disponible sur le site Positif

    Le Monde

    par Jean-Luc Douin

    L'adhésion que l'on peut ressentir à l'égard de ce film où Raoul Ruiz, comme toujours, fait preuve d'une virtuosité filmique et d'un indéniable sens esthétique, dépend sans doute du degré de connivence avec ces livres, mythiques pour certains. [...] Il leur faudra toutefois accepter le jeu d'un Grégoire Colin qui, poussé à jouer un mécréant sceptique, finit par donner l'impression d'être ailleurs, loin de ces horizons troublés mais enchantés.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Libération

    par Philippe Azoury

    (...) passé le charme de l'envolée artificielle vers des cieux nostalgiques (ou prophétiques), le spectateur peut légitimement passer à côté de ces trois histoires qui ne communiquent que parce que le film en a décidé ainsi (...) le rythme n'est pas exactement au rendez-vous, et tout a tendance à s'estomper dans un sourd lointain.

    MCinéma.com

    par Philippe Scrine

    (...) L'interprétation n'est pas en cause, François Cluzet et Grégoire Colin se sont parfaitement glissés dans la peau de leur personnage. Le malaise provient de la construction éclatée du Domaine perdu. Le cinéaste joue avec trois histoires et avec trois dimensions temporelles : passé, présent et avenir, au risque de nuire à la compréhension du film, le spectateur est alors perdu dans des domaines qui lui échappent.

    Première

    par Olivier de Bruyn

    Ruiz signe un film nourri d'idées somptueuses et de séquences bancales. Inégal ? Oui. Stimulant ? Oui aussi...

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Score

    par Pete Wakefield

    Raoul Ruiz n'est jamais aussi séduisant que quand il se laisse aller à ses fantaisies.

    La critique complète est disponible sur le site Score

    Studio Magazine

    par Thoma Baurez

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    TéléCinéObs

    par Elodie Lepage

    (...) comme souvent avec le cinéaste chilien, il faut accepter de s'égarer dans ce récit initiatique, baigné d'onirisme et de mélancolie, pour que le charme opère.

    La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs

    Télérama

    par François Gorin

    On le (Raoul Ruiz) suivrait volontiers dans son labyrinthe spatio-temporel et borgésien, n'était l'impression de voir se chercher, et ne jamais se trouver, deux films : un classique récit d'amitié, et un traité plus théorique de la circulation des âmes à travers l'histoire et les histoires.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Zurban

    par Claire Vassé

    Certes plus laborieux que le fascinant et ludique Généalogies d'un crime, ce film reste passionnant dans sa manière de raconter comment les héros de notre enfance subsistent à jamais au fond de nous.

    aVoir-aLire.com

    par Catherine Le Ferrand

    Comme toujours chez Raul Ruiz, il faut accepter de s'égarer, se laisser entraîner sur des chemins familiers qu'un détour va faire basculer dans l'étrange. Il faut accepter de perdre ses certitudes, savoir que le temps n'est pas une ligne droite, que l'espace est mouvant, que la mémoire est traîtresse.

    Cahiers du Cinéma

    par Jean-Philippe Tessé

    (...) Ruiz filme ce labyrinthe vieillot sans entrain et comme on boit le thé, le petit doigt en l'air. Récit flappi, film jauni qu'il fait sauter sur ses genoux. Rien de noveau rien de grave, l'oncle chilien tournera cinquante flms pour effacer celui-là.

    Chronic'art.com

    par Jean-Philippe Téssé

    Livre d'images jauni, mise en scène aux rondeurs vieillottes, Le Domaine perdu endort et s'endort sur le moelleux coussin de son histoire, voyage mou parmi les ruines du siècle. [...] Quelque chose ne prend pas dans le film, que trahit le dénouement quasi-lelouchien (pardon, Raoul) où l'on retrouve Grégoire Colin et François Cluzet grimés en centenaire. Malice flappie de l'auteur ? Cette fois oui. Ce n'est que somnolence passagère, c'est sûr.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    Ciné Live

    par Xavier Leherpeur

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    La critique complète est disponible sur le site Ciné Live

    L'Express

    par Laurence Liban

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    Les Inrockuptibles

    par Amélie Dubois

    Ce retour aux sources, marqué par l'univers fantastique du Grand Meaulnes, concerne autant, sinon plus, l'imaginaire que le réel. Dommage que Ruiz, ici dans sa veine faiblarde, le fasse vivre aussi platement, nous rappelant le mauvais souvenir de son adaptation de Proust, "clichéeuse" et illustrative.

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