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Note moyenne
2,9
23 titres de presse
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Elle
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Metro
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Positif
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Télé 7 Jours
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aVoir-aLire.com
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20 Minutes
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Chronic'art.com
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Ciné Live
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Le Figaroscope
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Le Journal du Dimanche
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Le Parisien
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Les Inrockuptibles
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Ouest France
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Studio Magazine
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TéléCinéObs
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Télérama
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Brazil
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La Croix
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Le Monde
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Libération
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MCinéma.com
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Première
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Cahiers du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Elle
Comique bon enfant, réalité sociale, tendance vers l'onirisme.
Metro
(...) Malgré quelques défauts, Cliente est un film touchant qui a le mérite de se démarquer de toutes les productions françaises du moment.
Positif
Tout n'est pas réussi. Les relations de l'héroïne avec sa soeur (...) sont drôles et touchantes. (...) un film qui s'abrite derrière ses allures de comédie pour évoquer la solitude et la souffrance d'aimer.
Télé 7 Jours
Si sa chronique brasse trop de thèmes à la fois, on n'en demeure pas moins pris par le jeu des acteurs (...). Grâce à ce trio et à leurs partenaires, on est et demeure "client" et sous le charme de cette comédie plus douce-amère que réellement drôle.
aVoir-aLire.com
Meilleur film de Josiane Balasko depuis longtemps, Cliente traite avec intelligence un sujet délicat, transcandé par l'interprétation exceptionnelle de Nathalie Baye.
20 Minutes
(...) Histoire crédible de déchirement, entre sentiments et besoins d'argent. On regrettera juste qu'une intrigue parallèle inutile (...) plombe un film passionnant (...)
Chronic'art.com
On connaît trop l'horreur de la comédie de moeurs de chez nous (le puits sans fond des " sujets de société " picorés chez Delarue & co.), pour ne pas saluer un minimum le petit tour de force de Cliente, qui s'avère plutôt regardable.
Ciné Live
Voir le site cinelive.com
Le Figaroscope
(...) une comédie de moeurs truculente et sensible (...)
Le Journal du Dimanche
(...) une histoire qui sent moins le soufre que prévu, mais qui s'ouvre aussi sur une foule de seconds rôles, donnant un côté fouillis, éclaté et néanmoins bien vivant à ce film parfois drôle et souvent désenchanté.
Le Parisien
La crudité de certaines répliques cache en fait un film plutôt prude, donnant l'impression de caresser le grand public dans le sens du poil.
Les Inrockuptibles
Un sujet singulier, traité à demi, mais avec de vraies réussites par endroits.
Ouest France
(...) mise en place parfois soulignée et souvent téléphonée (...) D'un sujet qui respirait le glauque, le sulfureux, le trouble, [Balasko] fait un divertissement moins lourd qu'amusé.
Studio Magazine
voir sur le site www.studiomagazine.fr
TéléCinéObs
Se gardant de tout jugement moral, la réalisatrice dessine des personnages attachants dont aucun n'a la gueule de l'emploi. En dépit de voix off qui viennent quelque peu aplatir le mystère de cet étrange triangle amoureux, ce joli film est aussi l'instantané d'une époque où la solitude est grande et où l'argent régit tout.
Télérama
Les faire parler tout à tour en voix off (les personnages), façon journal intime, n'apporte en revanche que redondances et lourdeurs, plaquant des significations banales sur des scènes qui se tiendraient très bien toutes seules.
Brazil
Manque de rythme, dialogues plats, (...), musique ridicule et inadéquate (...), acteurs sous-employés.
La Croix
(...) des effets un peu lourds, des mots d'auteur plutôt faciles et une mise en scène sans imagination.
Le Monde
Balasko fait preuve d'originalité et de courage en s'attaquant à cette peinture de moeurs (...)Stylistiquement, on ne peut pas dire que la qualité de l'image soit sa préoccupation majeure. (...) L'interprétation reste son atout.
Libération
Une poignée de répliques censément rigolotes (...), le numéro de gouailleuse de la Josiane, une pincée de sensiblerie et bonsoir tout le monde.
MCinéma.com
(...) entre chronique de moeurs douce-amère d'une relation impossible et peinture acerbe du milieu familial (...) la réalisatrice semble ne plus trop savoir à quel sujet principal se consacrer.
Première
Josiane Balasko (...) n'ose pas aller au bout de son sujet (...) Malgré ça, elle montre un réel talent à aborder ce sujet tabou (...)
Cahiers du Cinéma
A force de bonnes intentions ou de compromis, Cliente évacue tout sulfureux et adopte l'hétérogénéité fade d'un catalogue de ventes par correspondance.