Closer, entre adultes consentants : Critique presse
Closer, entre adultes consentants
Note moyenne
3,7
23 titres de presse
Ciné Live
Elle
L'Obs
Le Figaroscope
Ouest France
Excessif
L'Express
Le Figaro
Le Parisien
Libération
Paris Match
Première
Télérama
aVoir-aLire.com
France Soir
Le Monde
Le Point
MCinéma.com
TéléCinéObs
Zurban
Brazil
Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
par Elisabeth Quin
Pas un poil de graisse dans Closer, entre adultes consentants. Des dialogues d'une méchanceté glacée qui se délecte d'elle-même. De l'intensité sans baisse de régime.
L'Obs
par Michel Grisolia
Plutôt malin, Closer, dans l'art de revisiter le térritoire des liaisons dangereuses en les découpant en tranches de luxe. Et en atomisant la chronologie : la construction rend par sa virtuosité tout écrivain vert de jalousie. [...] Avec [Nichols] l'ellipse est un cercle vicieux.
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Entre adultes consentants est l'adaptation d'une pièce de théâtre dont on aurait évacué les défauts et gardé les qualités. Le film se borne à narrer les rencontres et les ruptures du quatuor, ce qui lui donne ainsi une tension maximale. Les dialogues sont éblouissants et tout le talent du cinéaste est d'avoir su les enchâsser dans une mise en scène impeccable avec ce qu'il faut d'ellipses et d'enchaînements astucieux.
Ouest France
par La Rédaction
Le scénario est riche de dialogues brillants, que nourrit la large panoplie des sentiments. Entre le désir et la manipulation, le charme et la manoeuvre, le romantisme et le mélodrame, la mise en scène de Mike Nichols charpente habilement un récit dont la chronologie longue de quatre saisons déroule avec fluidité ses retournements. (...) Une comédie brillante et intelligente.
Excessif
Cérébral et excitant, jubilatoire et chaud, drôle et triste, "Entre adultes consentants" est un petit film indépendant qui donne à voir (et surtout à réfléchir) sur les difficultés du couple, la séduction, la tentation. Attention les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Alain Grasset
Servi par un casting haut de gamme, ce marivaudage sexy aux dialogues crus est aussi un suspense sentimental bien ficelé.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Agnès Catherine Poirier
Si ce genre de chassés-croisés est légion, Patrick Marber, auteur de Closer, se révèle maître du vaudeville cruel (...) Et le film de Mike Nichols conserve la sophistication et la complexité des sentiments amoureux, retrouvant une forme de fluidité digne de Qui a peur de Virginia Woolf, le Lauréat ou Le plaisir qu'on dit charnel, ses films les plus inspirés.
Paris Match
par Christine Haas
Le scénario comico-dramatique de Patrick Marber (...) est piqué de dialogues caustiques. Et plonge au coeur des passions sans tabous, pour capter la complexité des relations modernes. Habilement, le cinéaste en débusque l'intimité romantique et dangereuse. Son film est tordu dans un pur esprit anglais, mais direct et excitant à l'américaine.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
Un classique chassé-croisé amoureux dont la qualité repose sur une écriture carrée dans tous les sens du terme.(...) Tout comédien rêve de recevoir un jour un script de cette envergure.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Les comédiens choisis par Mike Nichols sont splendides. (...) Certains seront agacés, bien sûr, par ce marivaudage sexuel, où les personnages font preuve d'un nombrilisme permanent. Mais, en accentuant les clichés et les stéréotypes de ces liaisons dangereuses modernes, Mike Nichols a réussi ce qu'il a toujours su faire : saisir l'air du temps. (...) Avec des personnages aussi épouvantés de passer à côté de leur vie que de la vivre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
C'est un cercle limité qui a cependant la délicieuse idée de ne jamais lasser. Des regards chaudement échangés, des situations follement romantiques, des chocs émotionnels, des coeurs qui battent. Mais - et c'est là que la seconde surprise surgit -, Entre adultes consentants est aussi et surtout un film chaud, sensuel, érotique (...) qui réjouit les sens. Quelque chose comme un film qui donne à voir et à réfléchir.
France Soir
par Richard Gianorio
Entre adultes consentants parle crûment de sexe mais ne montre rien. C'est bavard, alambiqué, chic, c'est surtout le prétexte à d'excellents numéros d'acteurs.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Sans nier le caractère théâtral de son matériau, (Mike Nichols) l'organise avec fluidité, tirant le meilleur parti des physionomies avenantes de ses interprètes et des décors dans lesquels ils se meuvent. Mais on sent bien que quelqu'un, Marber ou Nichols, retient ses coups. Qu'il ne s'agit pas ici de pousser le drame jusqu'à faire apparaître le vide existentiel, ou même - tout bêtement - le vide entre les existences.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
D'un tel casting et d'un réalisateur renommé, on attendait beaucoup mieux.
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guérand
On se lasse (...) assez vite de ce marivaudage mécanique qui tourne parfois à vide. (...) Dommage que Mike Nichols filme aussi paresseusement ces joutes verbales parfois brillantes.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Yasmine Youssi
Malgré un réalisateur surdoué et un casting de choix, l'histoire tombe à plat, plombée par des situations éculées et des dialogues inutilement crus. Reste les comédiens. (...) Insuffisant pour conjurer l'ennui !
Brazil
par Alex Masson
Nichols observe le marivaudage façon années 2000, entre confusion des sentiments, pertes de repères. Sans avoir perdu du pénible vernis d'un certain snobisme qui rend ce chassé-croisé entre deux couples assez détestable. (...) Ca se voudrait clinique, c'est définitivement artificiel. (...) Un film qui promet beaucoup, mais s'avère stérile. S'il n'y avait Portman et Owen, on pourrait appeler ça du racolage.
Chronic'art.com
par Alex Masson
Cette histoire de ménage à quatre aux positions variables édicte une nouvelle charte des sentiments : éprouver du désir c'est mal. Sortir des sentiers battus, c'est mal. (...) Nichols a sûrement connu le Flower power et la libération sexuelle à la fin des années 60. Il n'était pas obligé de nous asséner, avec ce prêche pour une paroisse encombrante, sa pénitence.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Alexandre Chabert
(...) en multipliant les ellipses pour aller à l'essentiel -scènes de séduction et de disputes-, Mike Nichols omet de traiter en profondeur du désir au sein du couple, thème indissociable de l'adultère, et ne s'attarde finalement que sur l'acte sexuel extraconjugal consommé et ses conséquences.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Pas un poil de graisse dans Closer, entre adultes consentants. Des dialogues d'une méchanceté glacée qui se délecte d'elle-même. De l'intensité sans baisse de régime.
L'Obs
Plutôt malin, Closer, dans l'art de revisiter le térritoire des liaisons dangereuses en les découpant en tranches de luxe. Et en atomisant la chronologie : la construction rend par sa virtuosité tout écrivain vert de jalousie. [...] Avec [Nichols] l'ellipse est un cercle vicieux.
Le Figaroscope
Entre adultes consentants est l'adaptation d'une pièce de théâtre dont on aurait évacué les défauts et gardé les qualités. Le film se borne à narrer les rencontres et les ruptures du quatuor, ce qui lui donne ainsi une tension maximale. Les dialogues sont éblouissants et tout le talent du cinéaste est d'avoir su les enchâsser dans une mise en scène impeccable avec ce qu'il faut d'ellipses et d'enchaînements astucieux.
Ouest France
Le scénario est riche de dialogues brillants, que nourrit la large panoplie des sentiments. Entre le désir et la manipulation, le charme et la manoeuvre, le romantisme et le mélodrame, la mise en scène de Mike Nichols charpente habilement un récit dont la chronologie longue de quatre saisons déroule avec fluidité ses retournements. (...) Une comédie brillante et intelligente.
Excessif
Cérébral et excitant, jubilatoire et chaud, drôle et triste, "Entre adultes consentants" est un petit film indépendant qui donne à voir (et surtout à réfléchir) sur les difficultés du couple, la séduction, la tentation. Attention les yeux.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
Servi par un casting haut de gamme, ce marivaudage sexy aux dialogues crus est aussi un suspense sentimental bien ficelé.
Libération
Si ce genre de chassés-croisés est légion, Patrick Marber, auteur de Closer, se révèle maître du vaudeville cruel (...) Et le film de Mike Nichols conserve la sophistication et la complexité des sentiments amoureux, retrouvant une forme de fluidité digne de Qui a peur de Virginia Woolf, le Lauréat ou Le plaisir qu'on dit charnel, ses films les plus inspirés.
Paris Match
Le scénario comico-dramatique de Patrick Marber (...) est piqué de dialogues caustiques. Et plonge au coeur des passions sans tabous, pour capter la complexité des relations modernes. Habilement, le cinéaste en débusque l'intimité romantique et dangereuse. Son film est tordu dans un pur esprit anglais, mais direct et excitant à l'américaine.
Première
Un classique chassé-croisé amoureux dont la qualité repose sur une écriture carrée dans tous les sens du terme.(...) Tout comédien rêve de recevoir un jour un script de cette envergure.
Télérama
Les comédiens choisis par Mike Nichols sont splendides. (...) Certains seront agacés, bien sûr, par ce marivaudage sexuel, où les personnages font preuve d'un nombrilisme permanent. Mais, en accentuant les clichés et les stéréotypes de ces liaisons dangereuses modernes, Mike Nichols a réussi ce qu'il a toujours su faire : saisir l'air du temps. (...) Avec des personnages aussi épouvantés de passer à côté de leur vie que de la vivre.
aVoir-aLire.com
C'est un cercle limité qui a cependant la délicieuse idée de ne jamais lasser. Des regards chaudement échangés, des situations follement romantiques, des chocs émotionnels, des coeurs qui battent. Mais - et c'est là que la seconde surprise surgit -, Entre adultes consentants est aussi et surtout un film chaud, sensuel, érotique (...) qui réjouit les sens. Quelque chose comme un film qui donne à voir et à réfléchir.
France Soir
Entre adultes consentants parle crûment de sexe mais ne montre rien. C'est bavard, alambiqué, chic, c'est surtout le prétexte à d'excellents numéros d'acteurs.
Le Monde
Sans nier le caractère théâtral de son matériau, (Mike Nichols) l'organise avec fluidité, tirant le meilleur parti des physionomies avenantes de ses interprètes et des décors dans lesquels ils se meuvent. Mais on sent bien que quelqu'un, Marber ou Nichols, retient ses coups. Qu'il ne s'agit pas ici de pousser le drame jusqu'à faire apparaître le vide existentiel, ou même - tout bêtement - le vide entre les existences.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
D'un tel casting et d'un réalisateur renommé, on attendait beaucoup mieux.
TéléCinéObs
On se lasse (...) assez vite de ce marivaudage mécanique qui tourne parfois à vide. (...) Dommage que Mike Nichols filme aussi paresseusement ces joutes verbales parfois brillantes.
Zurban
Malgré un réalisateur surdoué et un casting de choix, l'histoire tombe à plat, plombée par des situations éculées et des dialogues inutilement crus. Reste les comédiens. (...) Insuffisant pour conjurer l'ennui !
Brazil
Nichols observe le marivaudage façon années 2000, entre confusion des sentiments, pertes de repères. Sans avoir perdu du pénible vernis d'un certain snobisme qui rend ce chassé-croisé entre deux couples assez détestable. (...) Ca se voudrait clinique, c'est définitivement artificiel. (...) Un film qui promet beaucoup, mais s'avère stérile. S'il n'y avait Portman et Owen, on pourrait appeler ça du racolage.
Chronic'art.com
Cette histoire de ménage à quatre aux positions variables édicte une nouvelle charte des sentiments : éprouver du désir c'est mal. Sortir des sentiers battus, c'est mal. (...) Nichols a sûrement connu le Flower power et la libération sexuelle à la fin des années 60. Il n'était pas obligé de nous asséner, avec ce prêche pour une paroisse encombrante, sa pénitence.
Les Inrockuptibles
(...) en multipliant les ellipses pour aller à l'essentiel -scènes de séduction et de disputes-, Mike Nichols omet de traiter en profondeur du désir au sein du couple, thème indissociable de l'adultère, et ne s'attarde finalement que sur l'acte sexuel extraconjugal consommé et ses conséquences.