weihnachtsmann
Membre depuis le 16 décembre 2002
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Le film met un temps infini à démarrer. Il est évident que c’est la partie de la fuite la plus intéressante. Et elle ne démarre en gros qu’à la moitié du film.
La peur est bien là et on peut imaginer ce que c’est qu’une course de panique sans voir……
La peur est bien là et on peut imaginer ce que c’est qu’une course de panique sans voir……
Un film en forme d’enquête peu intéressante mais qui lorgne plutôt du côté du portrait d’une femme libre (« peut-être pas heureux mais libre »). Elle papillonne car elle aime être aimée. Au-delà du portrait et des rencontres, le film est un peu vain. S’il avait été du Rohmer, il aurait été plus espiègle.
Un film vraiment plaisant, spirituel et virevoltant.
Les aventures de cette armoire sont véritablement loufoques et quelques dialogues sont hilarants.
-Votre tante sera là bientôt ?
-Ouu elle arrive!!
Et le ballet des armoires est impayable !!!!!!
Les aventures de cette armoire sont véritablement loufoques et quelques dialogues sont hilarants.
-Votre tante sera là bientôt ?
-Ouu elle arrive!!
Et le ballet des armoires est impayable !!!!!!
Voilà un beau film historique qu’on pourrait qualifier d’intime. Elle nous représente une femme amoureuse et blessée.
Les images sont belles et la mise en scène aérée. Les dialogues sont élégants et les personnages bien représentés.
Une page d’histoire de France de qualité
Les images sont belles et la mise en scène aérée. Les dialogues sont élégants et les personnages bien représentés.
Une page d’histoire de France de qualité
Un film de science fiction pour un public insomniaque en priorité. Tout le monde est d’une mollesse désespérante. L’acteur principal en premier.
Les morts vivants sont assez calamiteux.
Il y a peu de suspense.
Mais j’imagine cependant comment vont être les derniers jours de l’humanité en voyant cela.
J’ai plutôt l’impression que ce sera une extinction de masse et non le dernier survivant.
Les morts vivants sont assez calamiteux.
Il y a peu de suspense.
Mais j’imagine cependant comment vont être les derniers jours de l’humanité en voyant cela.
J’ai plutôt l’impression que ce sera une extinction de masse et non le dernier survivant.
Ce film n’est qu’une variation sur le thème des 400 coups de Truffaut. Ce n’est rien d’autre en plus moderne.
Néanmoins c’est assez joliment raconté et c’est souvent assez touchant.
Néanmoins c’est assez joliment raconté et c’est souvent assez touchant.
Un film fort et sombre sur le quotidien des policiers américains. Le regard est souvent tendre et attention mais le travail est dur et sans pitié.
C’est un film qui veut nous faire aimer cet homme qui oscille entre joies et violence.
Vraiment bien
C’est un film qui veut nous faire aimer cet homme qui oscille entre joies et violence.
Vraiment bien
Ce film est un mix entre « les hommes en noir » et David Lynch. Mâtiné d’un peu d’alien pour les bébêtes immondes.
C’est un univers qui me rebute totalement et je pourrais conclure ma critique avec cette phrase prononcée par le héros lui même :
On se déplace dans ce monde informe aux règles et aux objectifs totalement inconnus. Apparemment indéchiffrables…..
C’est un univers qui me rebute totalement et je pourrais conclure ma critique avec cette phrase prononcée par le héros lui même :
On se déplace dans ce monde informe aux règles et aux objectifs totalement inconnus. Apparemment indéchiffrables…..
Le film a beau être un film culte pour les cinéphiles , c’est davantage une réflexion longue et fastidieuse. Visuellement riche certes mais d’un ennui profond car les personnages sont trop loins de nos préoccupations.
Je crois vraiment qu’on peut apprécier des films qui ont 100 ans car certains sont bouleversants ou attirants par leur sujet mais ici la longueur nuit au plaisir.
Je crois vraiment qu’on peut apprécier des films qui ont 100 ans car certains sont bouleversants ou attirants par leur sujet mais ici la longueur nuit au plaisir.
Quel romance à l’eau de rose!!!!
Le vieux beau qui tombe amoureux de la petite jeunette : un cliché trop facile. Comme d’ailleurs tout le reste.
Il manque les émotions de l’amour véritable. Ici l’ébauche ne rend pas le film touchant. Il est plutôt naïf et sentimental dans son sens péjoratif.
Le vieux beau qui tombe amoureux de la petite jeunette : un cliché trop facile. Comme d’ailleurs tout le reste.
Il manque les émotions de l’amour véritable. Ici l’ébauche ne rend pas le film touchant. Il est plutôt naïf et sentimental dans son sens péjoratif.
Effectivement la copie en mauvaise qualité de son aîné italien nommé par tous les critiques. Acteurs peu intéressants. Bavardage sans fin et profondément ennuyeux. Dès la première scène, le film démarre mal. On le devine tout de suite.
Le film est intéressant par les scènes de procès très fortes et les discussions informelles qui se passent en dehors et qui expliquent la haine et la responsabilité des uns et des autres.
C’est tout simplement passionnant et captivant.
C’est tout simplement passionnant et captivant.
L’époque où Gabin jouait le voyou, c’est du pain béni pour le cinéphile. Et là il chante la môme caoutchouc !!!
Fut un temps il chantait aussi « les grosses femmes de 125 kilos ». C’était incroyable !!!!
Ici c’est toute la partie où André Luguet rentre dans le bar la plus intéressante.
C’est presque du surréalisme allemand dans les rues aux escaliers sans fin.
Malgré tout le film traîne en longueur (la scène du ...
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Le film se concentre sur cette seule occupation des terres Tout le début est une mise en place qui laisse augurer du pire. Et evidemment l’attaque est inéluctable. La haine est destructrice. Assez fort et sans concession malgré la jeune avocate qui semble bien peu entendue.
Un film psychologique davantage qu’un film de procès.
Mais il y a trop d’introspections sur le personnage et des dialogues un peu vieillots.
Moyennement intéressant
Mais il y a trop d’introspections sur le personnage et des dialogues un peu vieillots.
Moyennement intéressant
Documentaire intéressant qui accuse néanmoins un peu son âge. Mais le ton est donné par la direction dès le début. « Nous sommes là pour vendre ».
Il faut bien que les gens riches dépensent leur argent !!!!
Il faut bien que les gens riches dépensent leur argent !!!!
Le récit d’un fait divers glaçant en Angleterre.
Linéaire et sans fioritures. Nous ne sommes pas dans le sensationnel mais une histoire sordide racontée avec économie de moyens.
Linéaire et sans fioritures. Nous ne sommes pas dans le sensationnel mais une histoire sordide racontée avec économie de moyens.
Quand on comprend l’enjeu, on saisit l’absurdité et la tragique ironie de cette somme dérisoire.
Un film qui marque son époque de son intolérance avec sa lutte contre la morale. Certes l’histoire est triste mais elle est symptomatique d’une société qui s’est complètement délitée pour obtenir aujourd’hui ce que l’on a.
Un film qui marque son époque de son intolérance avec sa lutte contre la morale. Certes l’histoire est triste mais elle est symptomatique d’une société qui s’est complètement délitée pour obtenir aujourd’hui ce que l’on a.
La première et la dernière scène se recoupent. Même vue de l’appartement, même quiétude.
Et entre les deux la froideur des personnages qui vont se « débrouiller par eux-mêmes ».
Le film n’est pas fait pour émouvoir ou n’a pas la beauté plastique du « retour », mais il a cette sécheresse qui correspond bien aux personnages. L’amour a du mal a transpercer et on verra le prix à payer pour cela….
Et entre les deux la froideur des personnages qui vont se « débrouiller par eux-mêmes ».
Le film n’est pas fait pour émouvoir ou n’a pas la beauté plastique du « retour », mais il a cette sécheresse qui correspond bien aux personnages. L’amour a du mal a transpercer et on verra le prix à payer pour cela….
Le film possède un peu de saint Jacques la Mecque.
Matiné d’un peu de vache et de prisonnier pour les décors campagnards...
J’aime beaucoup la façon dont l’animal l’aide à évoluer et à se reconstruire.
LC est totalement attachante. Et sa promenade est superbe. Mention spéciale pour la scène très bucolique et adorable de blanche neige dans la forêt avec le faon, le hibou, le lapin.
Matiné d’un peu de vache et de prisonnier pour les décors campagnards...
J’aime beaucoup la façon dont l’animal l’aide à évoluer et à se reconstruire.
LC est totalement attachante. Et sa promenade est superbe. Mention spéciale pour la scène très bucolique et adorable de blanche neige dans la forêt avec le faon, le hibou, le lapin.
Le piège de l’amour se referme sur cet homme qui voulait une autre vie. Qui s’était dit qu’une aventure allait peut-être lui faire passer le goût de l’habitude.
Mais cette histoire paraît bien fade dans le style film noir.
C’est léger en vérité. Même si les ingrédients sont bien là. La femme fatale et le jaloux armé.
Mais cette histoire paraît bien fade dans le style film noir.
C’est léger en vérité. Même si les ingrédients sont bien là. La femme fatale et le jaloux armé.
Un film en trois parties qui révèle une beauté pure et innocente qui est une part de notre humanité oubliée par le poids des années.
Toute une psychologie enfantine impossible à imaginer tant la maturité des hommes écrase avec une certitude assassine les rêves de jeunesse.
Très beau
Toute une psychologie enfantine impossible à imaginer tant la maturité des hommes écrase avec une certitude assassine les rêves de jeunesse.
Très beau
La forêt représente le désir non encore accessible mais qui fascine le héros.
Tout ce qui est interdit demande forcément à être exploré. Ce sont les symboles que choisit le réalisateur pour aider le jeune à grandir.
Mystère et attrait bercent ce film.
Tout ce qui est interdit demande forcément à être exploré. Ce sont les symboles que choisit le réalisateur pour aider le jeune à grandir.
Mystère et attrait bercent ce film.
Lafosse n’a pas peur des sujets véritablement lourds et terribles.
Il s’intéresse à la partie sombre des gens. Celle qu’on cache. Des secrets impossibles rejaillissent ici et le poids du regret est comme un feu qui ne s’éteint jamais et auquel les Danaïdes elles-mêmes ne peuvent rien.
Il s’intéresse à la partie sombre des gens. Celle qu’on cache. Des secrets impossibles rejaillissent ici et le poids du regret est comme un feu qui ne s’éteint jamais et auquel les Danaïdes elles-mêmes ne peuvent rien.
Pour cette permission idéale, à l’instar de Gene Kelly, il va rejoindre une sorte de Miss Tourniquet rigolote et quelque peu écervelée. Janet Leigh n’étant pas ce personnage, on devine vers qui les sentiments du héros vont se diriger!!!!
C’est spirituel et tout à fait charmant. Ça fait plaisir de voir un Blake Edwards aussi fin.
J’adore cette tirade dans la dernière partie.
L’actrice attend un enfant. Et son manager accuse sa ...
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« L’enquête » est le prétexte pour dresser le portrait de personnes insignifiantes et ennuyeuses.
Un film d’auteur hautement insupportable par ses personnages peu avenants et une mise en scène pompeuse.
Un film d’auteur hautement insupportable par ses personnages peu avenants et une mise en scène pompeuse.
Polanski filme la servitude à la manière d’un Chaplin, virevoltant en muet comme lui. Néanmoins le but du film reste énigmatique….
Ce n’est pas le meilleur péplum c’est évident. La cause principale, la politique. Beaucoup trop présente au détriment de l’action ou de l’aventure.
Le propos n’est pas celui-ci certes, mais les costumes et les grands moments de foule et de gigantisme hollywoodiens n’y feront rien, on s’ennuie grandement…
Le propos n’est pas celui-ci certes, mais les costumes et les grands moments de foule et de gigantisme hollywoodiens n’y feront rien, on s’ennuie grandement…
Franchement je n’ai pas détesté. Canet et Lelouch sont très bien. Cohen et Ramzi sont drôles et les blagues sont assez marrantes.
« Faut pas raconter de salades à César !!!! »
Les chinoises sont également supers!!!
Ce que je reproche c’est qu’il soit un peu long.
« Faut pas raconter de salades à César !!!! »
Les chinoises sont également supers!!!
Ce que je reproche c’est qu’il soit un peu long.
Le début était prometteur dans le comique mais très vite ça se dégrade et ça devient assez lamentable. Les situations sont ridicules et les personnages s’engluent dans une histoire sans queue ni tête
Il possède Mildred, comme DonJosé possède Carmen, il l’a dans la peau comme un poison.
Mais le film manque terriblement de passion et de rythme. Il n’y a que BD qui soit fougueuse et volontaire. Son manque de volonté se traduit à l’écran par une mollesse désespérante.
Dommage.
Mais le film manque terriblement de passion et de rythme. Il n’y a que BD qui soit fougueuse et volontaire. Son manque de volonté se traduit à l’écran par une mollesse désespérante.
Dommage.
Quelques minutes avant la fin du film, on devine ce qui va se passer et c’est véritablement émouvant….
Superbe film que cette rencontre du petit garçon et cette femme solitaire qui vont petit à petit s’apprivoiser et ne plus pouvoir vivre l’un sans l’autre. C’est comme si leur chemin était fait pour se croiser et l’amour dans cette rencontre est bouleversant.
Superbe film que cette rencontre du petit garçon et cette femme solitaire qui vont petit à petit s’apprivoiser et ne plus pouvoir vivre l’un sans l’autre. C’est comme si leur chemin était fait pour se croiser et l’amour dans cette rencontre est bouleversant.
J’ai été franchement bluffé par le film et par sa fin totalement amorale mais qui correspond bien au ton irrévérencieux qui surnage parmi les idées des enfants.
Un conte moderne hilarant par moment mais qui va au bout de son idée en captivant son auditoire sur des thèmes essentiels comme l’amitié ou le combat contre l’injustice.
Et quelle interprétation !!!!
Un conte moderne hilarant par moment mais qui va au bout de son idée en captivant son auditoire sur des thèmes essentiels comme l’amitié ou le combat contre l’injustice.
Et quelle interprétation !!!!
Ce ne sont pas les très riches heures du duc de Berry mais les très riches heures de Disney, enfin ceux de ses dessinateurs.
Je trouve que dans ce DA, les décors priment sur l’animation.
J’y trouve une certaine austérité dans l’action au profit du féerique et du fantastique. Maléfique est exceptionnelle et Tchaikovsky un choix essentiel. Bref une belle réussite qui tranche dans son aspect peu naïf et enfantin pour s’élever dans ...
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Le film n’est pas qu’un voyage. C’est une expérience de vie que veulent vivre ces jeunes.
Autant la route était introspectif, ici c’est davantage pour s’ouvrir aux autres. Pour les comprendre. Plus intéressant je trouve.
Autant la route était introspectif, ici c’est davantage pour s’ouvrir aux autres. Pour les comprendre. Plus intéressant je trouve.
Ce film est plutôt un film de rencontre qu’un film de route.
Les jeunes se cherchent. Ils parcourent leur pays pour faire leur expérience de jeune adulte. Ils apprennent et regardent. Le problème du film c’est que le spectateur est totalement exclu de ce voyage. Il n’apprend rien et ne ressent rien face à leurs délires. Ce qui fait qu’on s’ennuie la plupart du temps.
Les jeunes se cherchent. Ils parcourent leur pays pour faire leur expérience de jeune adulte. Ils apprennent et regardent. Le problème du film c’est que le spectateur est totalement exclu de ce voyage. Il n’apprend rien et ne ressent rien face à leurs délires. Ce qui fait qu’on s’ennuie la plupart du temps.