Hotinhere
Membre depuis le 9 juin 2005
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Une fable sombre et cruelle qui explore les blessures psychiques de l'enfance et la possible rédemption, à travers le portrait attachant d'un marginal handicapé, élevé avec les chiens, porté par l'interprétation touchante de Caleb Landry Jones.
Un polar mexicain torturé sur fond de lutte des classes, à l'ambiance intrigante mais la deuxième partie du film est nettement moins convaincante. 2,75
Un mélodrame social cruel dans l'Angleterre d'après-guerre, qui dresse le récit d'apprentissage d'un jeune ambitieux, tiraillé entre une jeune femme de bonne famille et une amante mûre et passionnée interprétée par la touchante Simone Signoret (récompensée par l’Oscar de la meilleure actrice). 3,25
Werner Herzog nous embarque sur son radeau dans une odyssée folle et hallucinée à la recherche de l'Eldorado, avec un Klaus Klinski complètement habité.
Chronique soporifique sur les souvenirs d’enfance du réalisateur à Madagascar, qui témoigne de la fin d’une époque et des illusions du colonialisme.
Le récit initiatique touchant et séduisant d’une brillante étudiante en mathématiques qui décide de tout plaquer en s’ouvrant à la vie, porté par l’interprétation bluffante d’Ella Rumpf. 3,25
Un blockbuster spectaculaire et visuellement séduisant qui démarre bien, avant de s’effilocher au fur et à mesure à cause d’un scénario décevant, accumulant pas mal de lourdeurs. 2,75.
Un polar très Lelouchien, à l’intrigue rocambolesque, mais élégant et plein de bons mots, porté par un séduisant casting.
Évocation très libre et ténébreuse mais assez ennuyante de la courte vie de l’écrivaine des Hauts de Hurlevent, portée par l’interprétation lumineuse d’Emma Mackey.
Plongée dans l'univers des VRP immobiliers aux méthodes sournoises, servie par des dialogues savoureux et un casting prestigieux, a contrario d'un scénario pas à la même hauteur.
Un polar paranoïaque intriguant, tendu et réjouissant (alourdi par une intrigue amoureuse plus conventionnelle), porté par l'excellent couple Karim Leklou/Vimala Pons.
Un polar nerveux et prenant (mais pas non plus transcendant), porté par un Gilles Lellouche convaincant dans un rôle sur mesure du héros ordinaire pris en tenaille entre trafiquants de drogue et douanes. 2,75
Un mélodrame rural simple et pudique, avec certaines scènes magnifiques, mais terni hélas par des (grosses) longueurs "docu" qui plombent un peu l’ensemble.
Un home invasion tendu mais finalement assez décevant et improbable, en dépit d’une bonne idée de base.
Une comédie à sketches inégale et sans fil conducteur qui dresse néanmoins une galerie pittoresque et attendrissante du peuple napolitain. 2,25
Un portrait fantaisiste d'une femme de l'ombre interprétée par la savoureuse Catherine Deneuve, qui offre une vision caustique du monde politique à papa, à défaut d’un scénario poussif et une mise en scène quelconque.
Un second opus un peu moins bien que le premier, mais sous tension et performant dans ses scènes d’action malgré un scénario inabouti et peu crédible. 3,25
Un fable bienveillante et humaniste, mais beaucoup trop mielleuse, naïve et finalement sans saveur en dépit d’un bon casting au menu.
Immersion sympa dans une finale de basket de lycée intense, servie par une animation bluffante de réalisme, mais bon autant mater un match de playoffs NBA pour ressentir des émotions décuplées !
Une comédie pas ouf mais sympathique, qui fonctionne surtout grâce à son casting, notamment un superbe Daniel Prevost en agent immobilier bien véreux.
Pas le meilleur film d’Oury c’est certain, mais une comédie assez marrante grâce au cabotinage du duo imbattable de radins Clavier/Chelton. 2,75
Une comédie loufoque totalement en roue libre et sans aucun intérêt. Je comprends pas le délire en fait.
Une satire déjantée et corrosive (mais ternie par trop de longueurs, avec notamment une dernière scène en plan séquence interminable) des travers de la société d’ajd.
Les Roméo et Juliette transposés dans la banlieue de nos jours, assez pertinent et prenant dans l’ensemble, mais qui n'évite pas les clichés et s’essouffle un peu sur la longueur.
Un pastiche (qui a bcp vieilli) des films révolutionnaires, mené tambour battant par deux pétroleuses de charme et de choc. 1,75
Un thriller intense et tendu sur fond de lutte contre les cartels mexicains, servi par une mise en scène léchée et porté par un impeccable Benicio sous le regard tétanisé d’Emily Blunt.
Un western old school solide et sans fioritures sur fond de vengeance, porté par un Clint taiseux et badass comme on l’aime.
Adapté du roman de Sylvain Tesson, le chemin de reconstruction plaisant mais sans passion d’un homme brisé décidant de traverser la France à pied, ponctué de paysages sublimes, et porté par un Jean Dujardin convaincant mais pas ouf.
Un troisième épisode en mode retour vers le futur à la fois efficace et divertissant, avec un Josh Brolin en clone parfait de Tommy Lee Jones.
Reconstitution sobre et sincère mais manquant un peu de souffle de la révolution pacifique des œillets au Portugal qui découlera sur le retour de la démocratie, portée par un casting international convaincant.
Une fable d’anticipation parfois trop déconcertante, mais ambitieuse et traversée de moments lumineux, grâce à la complicité du formidable duo père/fils Duris/Kircher. 3,25
Une série Z fauchée et très bancale mais plaisante qui mêle horreur et burlesque avec cette plante aux 1000 visages, et qui offre au jeune Jack Nicholson un petit rôle irrésistible.
Premier film de Baz Luhrmann, une comédie musicale fauchée au kitsch assumé mais plutôt sympa avec un final flamboyant.
Premier film de GVS, un road movie déglingué et séduisant par moment mais inabouti, où l’on décèle déjà ses thèmes de prédilections.
Une comédie policière assez poussive qui ne parvient qu’à faire sourire par moment, malgré une idée de départ sympa et un duo Damiens/Nakache plutôt séduisant.
Une comédie légère, sympathique et pleine de fraîcheur, portée par une bonne bande d’acteurs qui compense un scénario pas ouf. 2,75