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    Irene Dunne
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    • Plume231
      Coup de foudre (1944) de Charles Vidor [img]http://upload.wikimedia.org/wi...[/img] Synopsis : Anne Crandall est la maire d'une petite ville du Vermont, succédant ainsi à son défunt mari, qui en fut l'édile pendant de nombreuses années. Elle vit désormais avec la fille de son époux et son beau-père. Chaque année, tous se rendent en pélerinage sur une statue à l'effigie du défunt. Mais cette fois, la foudre a frappé, décapitant le monument. Bien décidée à faire réparer la statue, Anne se rend à New York pour rencontrer le sculpteur, George Corday. Mais, sur place, la jeune femme se retrouve par erreur prise pour une strip-teaseuse au cours d'un raid policier et emmenée tout droit en prison. De retour au pays, Anne voudrait bien oublier Corday et cette malheureuse affaire. Mais le sculpteur, qui sait tout de l'incident, décide d'en tirer avantage... [img]http://s3.amazonaws.com/auteur...[/img] Critique : Le couple qui avait très bien fonctionné dans "Elle et lui" (la première version !!!) est à nouveau réuni dans cette screwball comedy sans prétention, malgré quelques petites pointes envers le puritanisme des petites villes américaines mais on est loin tout de même de la verve critique redoutable d'un Billy Wilder, et refonctionne toujours aussi bien. Mais là Irene Dunne, très sexy en particulier dans la séquence où elle prise pour une strip-teaseuse, drôle et pétillante, en très grande forme quoi... vole la vedette. C'est en grande partie grâce à elle que ce film est agréable à regarder. [img]http://nsm03.casimages.com/img...[/img] [img]http://themave.com/Boyer/40s/i...[/img]
    • Plume231
      Treize femmes (1932) de George Archainbaud [img]http://www.dvdclassik.com/imag...[/img] Synopsis : Treize femmes, anciennes camarades d'école, prennent contact avec un gourou pour réaliser leurs horoscopes. Certaines se rendent compte qu'une femme, appelée Ursula, utilise ses pouvoirs hypnotiques sur le gourou pour les conduire, elles ou leurs familles, à la mort. Elle semble avoir fréquenté leur école, mais aurait été renvoyée. Alors que le groupe d'amies s'interroge sur les raisons de sa vengeance, Ursula s'en prend au fils de Laura, Bobby... [img]http://mynetimages.com/a2d6272...[/img] Critique : Film qui trouve quasi-uniquement son intérêt dans le fait que c'est le seul dans lequel ait joué Peg Entwistle, jeune actrice plus connue pour son suicide en se jetant du haut du H du panneau "HOLLYWOODLAND" (et pas encore HOLLYWOOD !!!) que pour sa peu longue carrière... Autrement il y avait un sous-texte qui ne manquait pas d'audace pour l'époque qui aurait peu rendre cette oeuvre très attrayante si le scénario n'avait pas aussi bâclé et les personnages aussi inconsistants à l'image surtout de celui interprété par Irene Dunne, supposée vedette mais qui se la fait totalement voler par la fascinante et sublime Myrna Loy, qui est une des trois petites caractéristiques qui peuvent pousser à voir ce film de vengeance clairement bâclé. [img]http://i31.servimg.com/u/f31/1...[/img] [img]http://2.bp.blogspot.com/-Y_uK...[/img]
    • Plume231
      Tendresse (1948) de George Stevens [img]http://cinememorial.com/FILMS/...[/img] Synopsis : En 1910, aux Etats-Unis. Un couple d'émigrants d'origine norvégienne a fait souche sur la côte Ouest. Trois filles et un garçon leur sont nés. Tous habitent une vieille maison à San Francisco et joignent péniblement les deux bouts. Malgré tout, la vie sous le ciel californien reste supportable, pour ne pas dire relativement agréable. L'oncle Chris prodigue ses conseils à la famille, tandis que le propriétaire, un vieux gentleman très «britannique», lit des histoires, le soir, à la veillée... [img]http://dustedoff.files.wordpre...[/img] Critique : N'est pas le vieux Ford qui veut !!! Tout le monde ne possède pas la touche magique qui peut faire d'une chronique familiale une oeuvre forte et passionnante, et George Stevens ne l'avait visiblement pas. Dire que c'est perdre son temps que de regarder ce film c'est méchant dans la mesure qu'il permet d'apprendre un juron norvégien "dumme gjet" (qui se traduit en français par "vieille bique" !!!). Mais pour être sérieux, Stevens n'arrive jamais à rendre captivant les menus incidents qui arrivent à cette famille à cause d'une mise en scène trop académique, sans chaleur aucune. Ce qui veut dire que la musique et la voix-off de Barbara Bel Geddes ont beau essayer de faire pleurer dans les chaumières, il y a aucun risque que la boîte de Kleenex soit même ouverte. Et Irene Dunne se contente de prendre un ENAURME accent norvégien et d'en faire des tonnes dans le registre mère de famille pas très riche mais hyper-dévouée pour décrocher un petit Oscar (et pire c'est qu'elle n'en était pas loin puisqu'elle avait décroché une nomination !!!). Sans grand intérêt, ouais sans grand intérêt. Note : 7/20 (*) [img]http://www.ciakhollywood.com/h...[/img]
    • Plume231
      Ann Vickers (1933) de John Cromwell [img]http://thecinema.blogia.com/up...[/img] Synopsis : Lorsqu'Ann Vickers tombe enceinte, son petit ami l'abandonne aussitôt. Elle avorte de façon illégale puis décide de consacrer sa vie à rendre le monde meilleur. Ann trouve donc un emploi social et se retrouve en contact avec des femmes incarcérées. Après cette première expérience bouleversante, elle retourne à New-York où elle fait la connaissance d'un juge très controversé. A ses côtés, Ann croit enfin avoir trouvé l'amour. Mais elle déchante rapidement... [img]http://u.jimdo.com/www9/o/sefd...[/img] Critique : Ce qui est très typique du cinéma américain du début des années 30, le film ne dure que 75 minutes. Mais en seulement 75 minutes, il brasse énormément d'événements en usant abondamment de l'ellipse. Beaucoup trop devrait-on dire même car le film évoque des sujets puissants comme l'avortement, les conditions de détention inhumaines des prisonniers ainsi qu'une histoire d'amour sincère entre une femme forte et très humaine et un homme pas foncièrement honnête mais d'une grande bonté, mais on a toujours l'impression qu'ils ne font qu'être rapidement abordés. Le fait qu'Irene Dunne et Walter Huston réussissent à faire comprendre dans le peu de place que leur laisse le film pour montrer leur talent qu'ils auraient pu former un véritable grand couple de cinéma ne fait qu'un peu plus enfoncer le couteau dans la plaie. En étant rallongé d'au moins une heure, "Ann Vickers" aurait sans conteste donner quelque chose de très bon. Note : 9/20 (**) [img]http://50anosdefilmes.com.br/w...[/img]
    • Plume231
      Elle et lui (1939) de Leo McCarey [img]http://www.cinemotions.com/dat...[/img] Synopsis : Michel Marnay, un célèbre sportif, prend place à bord d'un paquebot qui part de Naples pour gagner New York où il doit épouser Lois Clark, la fille d'un magnat du béton. Il y rencontre Terry McKay, une femme charmante et spirituelle qui regagne les Etats-Unis où son fiancé l'attend également. Ils commencent à gentiment flirter, mais la célébrité de Marnay fait que les cancans vont bon train sur le navire. Ils décident ainsi de passer les huit jours et demi de traversée sans se côtoyer, mais il s'avère rapidement qu'ils sont irrésistiblement attirés l'un vers l'autre. Marnay, qui n'a jamais travaillé et ne connaît que le luxe et la frivolité, déclare à Terry la veille du débarquement qu'il va annuler son mariage et trouver un travail. Il lui donne alors rendez-vous dans six mois, lorsqu'il vivra de son labeur et qu'il sera prêt à fonder un foyer. Six mois qui auront prouvé la solidité de leur amour, qui les auront convaincus de ne pas agir sur un coup de tête mais au contraire que leur engagement l'un pour l'autre est total, que leur amour est absolu. Terry, aux anges, accepte et lui répond qu'elle le retrouvera au 102ème étage de l'Empire State Building. Michel quitte effectivement sa fiancée et tache de vivre de sa peinture, sa passion qu'il ne pratiquait plus depuis sa jeunesse. Terry quitte aussi son fiancé et trouve un emploi dans un cabaret où sa voix enchante les spectateurs. Tout deux attendent impatiemment ce jour de juillet où ils vont enfin pouvoir se retrouver... [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img] Critique : Considéré comme inférieur au remake que refera Leo McCarey lui-même dix-huit ans plus tard, ce film l'est peut-être un peu dans la mesure où le potentiel émotionnel de quelques séquences, comme celle avec la grand-mère par exemple, a été beaucoup moins exploité que plus tard dans l'autre. Autrement, ça se vaut. Enfin, je dis cela mais je suis déjà loin d'être méga-fan de la mort qui tue de la version avec Cary Grant, loin de détester mais loin aussi d'être vraiment emporté par ce tourbillon romantique. Pour ce qui est du duo Charles Boyer-Irene Dunne, il est excellent, c'est même là le gros point fort du film, et n'a absolument rien à envier à celui formé par Cary Grant et Deborah Kerr. Et puis sans être transcendé, il faut reconnaître qu'on s'ennuie pas un seul instant. Ouais bon voilà, on a vu mieux mais on a vu beaucoup plus souvent pire, rien à dire d'autre. Note : 14/20 (***) [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img]
    • Plume231
      Très talentueuse et très élégante actrice.
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