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    Oliver Hardy
    Commentaires
    • lucas b.
      ...
    • lucas b.
      http://www.youtube.com/watch?v...
    • Michel G.
      je voudrais trouver la chanson de Laurel et hardy car sa me rappel mon enfance
    • Plume231
      Vive la Liberté (1929) de Leo McCarey [img]http://www.journaux.fr/images/...[/img] Synopsis : Tout juste évadés du bagne, Laurel et Hardy troquent leurs uniformes contre des vêtements civils. Dans leur précipitation, ils intervertissent leurs pantalons, avec les grotesques conséquences qu'on imagine. Pour remédier discrètement à cette situation, les deux fuyards se réfugient au sommet d'un gratte-ciel en construction, encombré de poutrelles... [img]http://2.bp.blogspot.com/_G_PF...[/img] Critique : Le début qui présente les grands hommes qui ont lutté pour la liberté pour mieux introduire nos zéros qui luttent pour leur liberté est excellente. Pour le reste, les plus atteints des acrophobes feraient mieux de s'abstenir car niveau vertige on est bien servi. C'est même de ce point de vue là aussi impressionnant que "Safety Last" avec Harold Lloyd. Par contre, cette partie dans les hauteurs d'un immeuble en construction est parfois un peu trop répétitive niveau scénaristique. Ce qui n'empêche pas le duo légendaire de faire encore des étincelles niveau rire. Note : 13/20 (***) Son Altesse Royale (1929) de Lewis R Foster [img]http://www.bd-cine.com/images-...[/img] Synopsis : Un hôtel de luxe se prépare à recevoir une altesse royale. Mais l'altesse, revêtue de son uniforme d'officier prussien, prend son temps à sa descente de voiture. Laurel, puis Hardy, entrent dans l'hôtel et sont pris pour le prince et son premier ministre. Ils signent le registre sous les bravos. Laurel verse à son insu de l'encre sur le poudrier d'une dame. L'entrée du véritable prince dissipe les malentendus. Laurel et Hardy, en fait de nouvelles recrues, se mettent prestement un tenue de travail. Le prince rate l'ascenseur et tombe dans la fosse. Belle façon de commencer, comme il le souhaiterait, «la bringue»... [img]http://www.notrecinema.net/avi...[/img] Critique : Laurel et Hardy portiers d'un palace juste au moment où un prince arrive, on sent les dégâts venir et heureusement qu'on a raison. Le comique est un peu trop répétitif parfois mais la scène avec la future star Jean Harlow et nos deux trublions vaut à elle seule le détour. Note : 12/20 (***) La Bataille du siècle (1927) de Clyde Bruckman [img]http://www.lecinema.free.fr/im...[/img] Synopsis : Hardy est l'entraîneur de Laurel, boxeur malingre et sans avenir. Afin de rentrer dans ses frais, Hardy organise une escroquerie sans grande envergure : il contracte une assurance pour son poulain et envisage de le faire glisser sur une peau de banane afin d'encaisser le magot. Mais le moment venu, c'est un garçon pâtissier qui fait les frais du vilain stratagème. Sa chute provoque un véritable cataclysme... [img]http://www.citecinema.com/Hist...[/img] Critique : La séquence d'ouverture avec le match de boxe est très bien réalisée mais on l'oublie très vite lorsqu'on passe à la scène suivante : celle de la bataille des tartes à la crème. Comme les choses ne sont pas faîtes à moitié, on a le droit à une des meilleures séquences burlesques au monde par son côté "beaucoup de figurants milliers de litres de crème utilisés". Il est juste dommage qu'il manque des bouts de film qui aurait certainement donné un effet comique encore plus ravageur à l'ensemble ainsi qu'un peu "de chair" autour de cette scène mythique pour donner encore plus de consistance au film. Mais il ne faut quand même pas bouder son plaisir, ce film est très agréable à regarder car c'est toujours plaisant de voir quelqu'un recevoir une tarte dans la gueule alors plusieurs... Note : 14/20 On a gaffé (1928) de Leo McCarey [img]http://www.cinemotions.com/dat...[/img] Synopsis : Stan et Oliver ont dit à leurs femmes respectives qu'ils étaient au spectacle. En réalité, les circonstances les conduisent chez deux jeunes femmes peu farouches où ils sont surpris par un prétendant jaloux... [img]http://laurel.hardy.free.fr/im...[320x200].jpg[/img] Critique : Le scénario de ce film part du principe qu'un homme puisse mentir à sa femme. Ce qui est proprement scandaleux car un homme ne ment jamais... Ouais, bon... Ben alors, c'est du très très bon Laurel et Hardy que ce vaudeville où la fin rappelle celle de "Têtes de pioche" mais dont l'histoire apparaît surtout comme une remarquable ébauche de leur future chef d'oeuvre "Sons of The Desert". Les mimiques de Laurel lorsqu'une femme le taquine un peu brutalement sont absolument hilarantes et la séquence où Hardy tente de mentir à sa femme mérite d'être d'anthologie. Un bon cru. Note : 15/20 (****) Les Joyeux Compères (1934) de Charley Rogers [img]http://www.notrecinema.com/ima...[/img] Synopsis : Hardy souffre de la goutte. Son médecin l'envoie à la campagne, pour une cure d'air pur et d'eau fraîche. Bien entendu et comme de juste, son ami Laurel l'accompagne. Mais en fait d'eau fraîche, c'est du whisky que contient le puits de la cabane près de laquelle ils ont établi leur campement : en effet, surpris par la police, des bootleggers y ont déversé leur cargaison de contrebande. Les deux compères trouvent le breuvage fort agréable, et l'épouse d'un automobiliste en panne, qui s'est jointe à eux, l'apprécie tout autant... [img]http://img.over-blog.com/500x3...[/img] Critique : Un court qui laisse un peu sur sa faim car le potentiel destructeur donne parfois l'impression de ne pas être totalement exploité. Par exemple, la visite du médecin, même si elle se termine sur un bain inattendu, apparaît comme bien sage alors qu'elle aurait pu donner lieu à de nombreuses situations comiques. La suite à la campagne, qui reprend un peu l'idée du génial film de Charlie Chaplin "Charlot fait une cure" où par un concours de circonstances une source d'eau pûre devient fortement alcoolisée donnant bien sûr par la suite une série de gags, donne aussi hélàs cette impression. Quelques gags grâce aux talents uniques du duo fonctionnent mais on ne peut s'empêcher de ressentir un certain goût de bâclage dans l'écriture scénaristique. Note : 9/20 (**)
    • Plume231
      Marchands de poisson (1932) de George Marshall [img]http://www.cinemotions.com/dat...[/img] Synopsis : Laurel et Hardy ont décidé de se lancer dans la vente de poisson. Laurel pense qu'en pêchant eux-même leur marchandise, ils gagneront plus d'argent. Ils récupèrent donc un bateau dans une décharge et ont toute la peine du monde à le réparer. Lorsqu'il est enfin prêt, leurs mésaventures ne font que commencer... [img]http://static.programme-tv.com...[/img] Critique : Avec Laurel et Hardy, une situation simple n'est jamais simple. Donc réparer une coque de bateau pour eux ne peut que donner lieu à une véritable série de catastrophes. Ce qui ne manque pas d'arriver. Sans être géniaux, les gags se suivent avec une belle fluidité et certains sont franchement très bien imaginés comme celui de Stan Laurel avec la scie. Le final qui ne manque d'être destructeur est excellent. Note : 13/20 (***) [img]http://www.notrecinema.net/avi...[/img] Laurel et Hardy constructeurs (1928) de Leo McCarey et Clyde Bruckman [img]http://www.videocritiques.com/...[/img] Synopsis : Les compères doivent construire une maison en une journée. Clous farceurs, oiseaux nichés au mauvais endroit, voisine peu commode... : les tuiles s'amoncèlent ! [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img] Critique : Bon Laurel et Hardy doivent construire une maison. On voit déjà la très grosse cata venir et heureusement on n'a pas tort. Les clous et les planches ne manquant pas de devenir les pires ennemis de nos deux compères. Comme si la situation n'était pas suffisamment compliquée, la maison doit être construite près d'un hôpital tenu par une infirmière qui est loin d'être une faible femme. Une très bonne série de gags autour de tout cela co-réalisée par le futur réalisateur de "Soupe au canard". Note : 14/20 (***) [img]http://image.toutlecine.com/ph...[/img]
    • ericmielle
      Deux des plus grands Kadors ,il font partie de ceux qui ont inventés le comique. Des grands comiques comme eux il n'y en a plus
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