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    Broderick Crawford
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    • tomPSGcinema
      [img]http://www.cinaff.com/affiches...[/img] [img]http://images.allocine.fr/r_76...[/img]Richard Fleischer nous propose un film de guerre assez violent et possédant une réalisation assez originale. Robert Wagner est bien convaincant dans le rôle du sergent Gifford, mais c'est surtout la performance de Broderick Crawford, dans le rôle d'un capitaine homosexuel, qui retient l'attention. Il est dommage néanmoins que ce film de guerre souffre de certains flashbacks pas toujours très utile et approprié - notamment celle où l'on voit le sergent Gifford en compagnie de sa femme - car elles ne servent finalement pas à grand chose au niveau du récit. Pas une pièce maîtresse de ce réalisateur, mais néanmoins un long métrage à découvrir. 14,5/20
    • Plume231
      Le Temps de la colère (1956) de Richard Fleischer [img]http://images.fan-de-cinema.co...[/img] Synopsis : Au plus fort de la guerre sur une île du Pacifique, Samuel Gifford, riche propriétaire sudiste, est puni pour avoir commis un geste déplacé à l'égard d'un officier. Il est envoyé dans une compagnie rassemblant des hommes de tous horizons qui vont, au coeur de l'enfer, lui ouvrir le sien... [img]http://www.coffeecoffeeandmore...[/img] Critique : Loin de toute propagande bêtifiante comme on en voyait trop souvent pendant cette période, "Le Temps de la colère" est au contraire une oeuvre intelligente qui si elle n'est pas spécialement anti-guerre ne la montre pas néanmoins par son côté le plus reluisant. En fait, c'est plutôt l'histoire d'un salau.d qui face à la plus pire des salop.eries (la Guerre donc!) va s'apercevoir qu'il est un salau.d et donc changer. Robert Wagner y trouve à travers ce personnage peut-être son plus grand rôle. On signalera aussi le personnage inhabituel dans le cinéma hollywoodien de cette époque d'officier homosexuel totalement paranoïaque incarné par la grande stature de Broderick Crawford. Le réalisateur Richard Fleischer n'aimait pas la structure en flashback imposé à ce film. Pourtant si cette dernière n'est pas indispensable, elle n'en dessert pas pour autant le film. Quelques scènes sont filmées de manière vraiment remarquable comme le débarquement, la photographie est très moderne et la mise en scène est solide comme du beton armé. "Le Temps de la colère" est sans conteste un des meilleurs films de Richard Fleischer. Note : 16,5/20 (****) [img]http://www.coffeecoffeeandmore...[/img]
    • Plume231
      Les Fous du roi (1949) de Robert Rossen [img]http://www.lexpress.fr/images/...[/img] Synopsis : De nos jours, aux Etats-Unis, un jeune journaliste vient en aide à un homme politique, originaire d'un petit village du Sud du pays, qui se retrouve alors sous le feu de tous les journaux. Mais celui-ci, tenté par la gloire, perd petit à petit tous ses idéaux et se plonge ainsi dans la corruption. Son épouse et son fils s'éloignent alors de lui... [img]http://2.bp.blogspot.com/_oDG-...[/img] Critique : Et encore un Oscar du Meilleur Film tombé dans l'oubli sans qu'il le mérite. Il y a bien quelques maladresses dans le recit surtout pour ce qui est de la voix-off inégalement utilisé alors que l'ensemble aurait gagné soit à ce qu'elle ne soit pas utilisé du tout, soit au contraire plus fréquemment. Mais le film est un exemple remarquable de ces oeuvres critiques de l'Amérique qui commençaient à fleurir après la guerre réalisé dans un style réaliste. La réalisation de Robert Rossen, qui n'hésite pas à tourner en extérieurs, annonce le style de certaines de ses autres oeuvres mais aussi celui d'Elia Kazan et même du Nouvel Hollywood. L'ensemble est aussi totalement dénué de glamour. L'exemple le plus flagrant de ceci est Joanne Dru car si la beauté physique est toujours présente, son personnage est totalement veule et très naïf. Les autres personnages sont plus lucides mais n'en sont pas moins aussi veules. Paradoxalement excepté pour les actrices (Joanne Dru, Mercedes McCambridge), les acteurs autour de Broderick Crawford ne sont pas du tout charismatiques. Ce défaut devient bizarrement une qualité car elle permet mieux de se concentrer sur le pouvoir de fascination engendré par le personnage central remarquablement campé par Crawford. Le film ne fait absolument aucune concession sur sa description des milieux politiques ce qui ne l'empêche pas d'être prenant de bout en bout. Le final est grotesque, pathétique mais en même temps très fort. Du très bon boulot. Note : 16,5/20 (****) [img]http://www.miradas.net/2008/n8...[/img]
    • Plume231
      test
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