Avis American Horror Story S9

S’il y a un mot qui résume bien cette nouvelle saison de "American Horror Story 1984", c’est probablement le mot « kitsch ». Cependant, c’est le bon côté du kitsch des années 80. Oui, cette saison est pleine de clichés sur l’époque et sur le genre “slasher”, mais c’est tout ce qu’on aime. Dès le départ, la série est pleine d’éléments qui constituent le genre avec notamment du sexe, un lac inquiétant, une station service louche, un “randonneur” blessé ou encore des coups de couteau et des gens qui prennent les pires décisions possibles en fonçant vers le danger. Et bien évidemment : des psychopathes. La série est, sans complexe, un hommage à tous ces films d’horreur de l’époque, comme Massacre à la Tronçonneuse ou Halloween pour n’en citer qu’un peu. Ryan MURPHY et Bradley BUECKER jouent avec tous les mécanismes classiques du genre avec une excellente distribution composée d’Emma ROBERTS ou encore Billie LOURD.

Véritable hommage, clin d'œil et donc référence à la saga "Vendredi 13" et au fitness mémorable des années 80 dont les cours et émissions télé faisaient fureurs à l'époque, cette avant-dernière saison connue à aussi été parmi les plus gores étrangement par ses meurtres sordides ou Benjamin Richter (camper avec brio par John Carroll Lynch) en version moderne de Jason Voorhees offre des scènes macabres aussi bien filmées que jouées. Un récit aussi comique par son humour satirique revisitant l'époque que cruel par les scènes ou la marque de fabrique du programme "fait merveille". Niveau cast, ravis de revoir Emma Roberts en tête d'affiche d'abord sage avant d'endossée un costume plus sombre mais affreusement sexy. Billie Lourd en seconde tête brûlée au caractère et panache incroyable offre des moments sacrément bon. La v.f. de nos jeunes stars y étant largement pour beaucoup tant elles sont magiques. Le retour sacrément inattendu mais très vintage de Dylan McDermott englobe encore plus la dose de macabre tant son jeu est identique à la saison 1, unique pour cet acteur jusqu'à cette 9ème. Matthew Morrison en conclusion est LE symbole des hommes de cette époque mêlant machiste, sexiste et caractériellement obséder sexuellement par toute jeune femme lui provoquant attirance. Une saison particulière, percutante et satirique, toujours très bien jouée et dirigée nous ramenant avec talent et originalité dans les années 80 dans le presque célèbre "Crystal Lake".

Aucun acteur limite des anciennes saisons, ce qui faisait aussi parti du charme de cette série, j’ai arrêté les AHS à cette saison alors que j’étais pourtant fan..

retour à quelques de plus accrocheur pour cette saison 9.
l'idée du camp m'a plus.
première saison sans Peters

Saison hommage aux shlasher très réussie... pleine de clichés mais voulus donc une saison bien meilleure que les dernières à mon avis.

Une saison plus que splendide ! J'ai adoré le thème des années 80 ! Rien que le générique est magnifique et donne juste envie qu'elle ne s'arrête pas 👍 du grand art !

Il ne s'agit pas de la saison la plus aboutie, mais les créateurs s'amusent à jouer avec les codes des bons vieux slasher/survival, nous gratifiant de scènes bien gores et s'amusant à travers les époques. Une saison jouissive avec quelques acteurs qui rempilent. Gros bémol : dommage qu'Evan Peters, fer de lance de la série depuis ses début et à chaque saison, n'ait pas rempilé. Cette saison 9 ne réinvente pas le genre mais se laisse regarder très rapidement, et sans temps morts.

Comme toujours avec AHS , on n'est pas à une incongruité près. Mais la saison 9 est de très loin l'une des meilleures depuis de début de la série. Cette fois-ci les scénaristes tiennent leur fil sur les 9 épisodes. C'est coherent et les rebondissements sont bien amenés. Sans être ultra effrayante on est bien servit côté slasher et hémoglobine. Avec en bonus une ambiance 80s délicieusement soignée.
Enfin une saison AHS qui relève le niveau depuis la 1ère et la 2ème, jamais vraiment inégalées.

Deux premiers épisodes sympas, puis la descente inexorable vers l'ennuie voir parfois le ridicule. Voulant rende hommage aux slashers tous en surfant sur la hype année 80, jamais la série n'arrive à s'approprier où jouer avec les codes de ses aînés que sont Freddy, Halloween, Vendredi 13 ou massacre à la Tronçonneuse. La base de ces films est qu'il se reposait sur UN tueur implacable, inarrêtable, la série quand a elle, nous balance toute une ribambelle de jeunes complètement tarés en plus du sois-disant principal antagoniste, difficile donc d'être surpris face aux pseudos révélations. Au final cette saison ne raconte pas grand-chose tous comme ces flashbacks complètement obsolètes, au fur et à mesure des saisons la série perd en qualité et en ambiance qui faisait sa force , d'ailleurs cette saison comporte encore moins d'épisodes et pourtant le rythme ne suit pas. Reste là BO qui par contre est plutôt bonne.

Voilà une saison qui honore bien les films d'horreur de genre, on peut retrouver toute cette nostalgie des plus grands slashers ! Un scénario bien construit qui tient la route, ça fait plaisir à voir. La forme et l'interprétation de la mort est toujours présente dans la série, ce qui ajoute donc cette touche de modernité aux eighties.

j ai bien aimé cette saison... elle est plus courte que les autres... 9 épisodes est largement suffisant pour ce genre de série... l histoire s inspire des slashers des années 80-90... la première partie est excellente avec cette histoire de serial killer... un peu moins la seconde avec cette histoire de fantômes... mais ds l ensemble c est très correct...

Série hommage aux années 80, AHS 1984, met tout de même cinq épisodes avant d’être originale. L’univers est bien recréé, un générique envoûtant, une BO 80's, un camp "Redwook" fidèle à son modèle (vendredi 13) et Mr Jingle un tueur qui empreinte beaucoup à ses nombreux modèles du genre. Tout y est réuni pour nous plonger dans le passé d’une époque cinématographique sanguinolente. De twists en twists, l’histoire ose quitter le camp (pour notre plus grand plaisir et y revient pour un plaisir plus grand encore) et nous propose enfin un scénario plus poussé. Cette neuvième saison est réussie mais forcément moins originale, plus risquée, elle s’en sort bien et offre deux derniers épisodes plutôt bons au point de nous faire regretter qu'elle soit déjà finie.

Une saison d’AHS se suit toujours bien, même si forcément, comme c’est la neuvième, on a l’impression que les producteurs et scénaristes peinent à se renouveler malgré une esthétique léchée, des acteurs formidables (quel plaisir de voir Billie Lourd en Vamp, quelle beauté et quel charisme !) et un générique de début toujours génial ! On pourra toutefois lui reprocher d’être un peu répétitive avec cette histoire de fantômes dans un camp de vacances maudit, le tout sur fond de slasher ! Comment en effet, ne pas penser aux franchises de « Vendredi 13 » et de « Massacre au camp d’été » ? D’autant que l’on retrouve un serial killer déjà vu dans une précédente saison et que les spectres ont également été utilisés auparavant ! Reste cependant cette fin originale car le happy ending n’a jamais été le fort de « American Horror story ». Bref, un peu poussif certes, mais toujours regardable !

"1984" est la neuvième saison de l'anthologie "American Horror Story". Elle est composée de neuf petits épisodes ce qui en fait la saison la plus courte. Cette saison a pour thème : "Le Slasher". Le slasher est un sous-genre cinématographique faisant partie du film d'horreur, cela se compose essentiellement d'un tueur masqué qui tue généralement à armes blanches. Au casting de cette raison, on retrouve seulement Cody Fern, Billy Lourd, Lily Rabe, Dylan Macdermott, Leslie Grossman, Finn Wittrock, John Carroll Lynch et Emma Roberts qui elle se place entant qu'actrice principale de la saison. Nous retrouverons du coup de la nouveauté sera proposé sur une grande partie du casting avec mon petit coup de cœur Gus Kenworthy, il y aussi Angelica Ross, Matthew Morrison, Zach Villa, etc. Cette saison est clairement à part des autres. Il n'y a aucun lien aux autres saisons n'est fait pour la raison que cette saison se déroule dans un univers alternatif aux autres saisons (c'est Ryan Murphy qui le confirme.). Cette saison offre tout de même un nouveau générique rétro et excellent, il est à l'image de sa saison et tout aussi à part des précédents génériques. Je peux vous dire que si vous n'aimez pas les slashers et encore moins les films d'horreur des années 70/80, ne vous arrêterez pas et continuez immédiatement votre chemin, cette saison ne sera pas pour vous, mais dans le cas contraire, posez-vous bien et prévoyait une saison excellente.

La saison démarre sur les chapeaux de roues, mais malheureusement, tous les épisodes ne sont pas sensationnels, il y a quelques petits ratés ou plus particulièrement un raté, le centième épisode (l'épisode 6), c'est d'autant plus décevant sachant qu'ils promettaient de mettre le paquet pour l'occasion ! À part celui-ci, cette saison propose dans son ensemble un bon divertissement horrifique et une énième fois fantomatique. Quant à la fin, elle est parfaite ! C'est probablement l'une des plus belles fins de saisons d' "American Horror Story". D'ailleurs, la saison s'inspire essentiellement des plus grands films d'horreur, de faits divers et de folklores, et je ne parle même pas des nombres références qui pleuvent à foison ! Ça frôle presque la compilation avec ses millions d'hommages (notamment sur le premier épisode). À certains moments, on se croirait presque dans "Vendredi 13" ou "Souviens toi l'été dernier" ou même dans "Halloween" et j'en passe, de plus certaines des références seront clairement reconnaissables et immanquables. Nous avons ici vraiment tout du pur produit des années 70/80, tout y est des meurtres violent et sanglant et aussi un bon nombre de retournements de situation malgré une certaine prévisibilité. Et comme dans beaucoup de films d'horreur de l'époque, ici les bandes-son ont un impact et un rôle majeur dans ce type d'histoire ce qui permet d'autant plus à installer une superbe atmosphère. Cependant, nous nous doutons bien qu'avec un tel thème ce n'est pas la saison la plus originale que nous avons eue, mais cette saison est néanmoins très fun, en plus d'avoir un bon aspect teen-ager. Après on ne va pas se le cacher, c'est clairement la saison la plus simple et facile qui aura été réalisée, mais cela reste tout de même une satisfaisante saison sous le thème du slasher !

Enfin bref, du gore, du sexe et des meurtres violents, nous avons vraiment tous les ingrédients du slasher idéal. Une saison qui se révèle extrêmement sympa, mais pour ça, il faudra arriver à accepter l'idée d'une saison un peu à part des autres.

Probablement la meilleure saison.
Ça ne part pas dans tous les sens comme les 8 premières.
Après c'est vrai que les acteurs principaux manquent à cette saison.