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    Lupin
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    María Macías Muñoz
    María Macías Muñoz

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 18 mai 2024
    Bonjour ; Je m'appelle Maria, une étudiante espagnole. Le film Lupin est plein de action et divertissant. Dans mon avis, ce film est parfois étrange mais je l'ai beaucoup aimé. Ce qui m'a surpris dans le film, c'est le intelligence de l'acteur. Nous l'avons vu en cours de français et nous l'avons tous beaucoup aimé. Je le recomande car c'est très amusant.
    Montus
    Montus

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 18 octobre 2023
    Aussi gros que grotesque... c'est la première fois que je poste un commentaire sur un film mais là ça dépasse l'entendement.
    Le ridicule ne tue pas mais là, on frôle le néant.
    Omar Sy méconnaissable avec une paire de lentilles, j'ai rien vu venir. Une parmi les mille autres supercheries.
    Bon courage
    JOSE VICENTE
    JOSE VICENTE

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 14 juillet 2021
    Bien, vraiment j'adore le genre de ce type d'emission, c'est le dynamisme de la presentation qui me plait .
    Comme beaucoup de vous le savent, la série Netflix Lupin dont nous parlons aujourd'hui est basée sur les romans dans lesquels l'écrivain Maurice Leblanc a créé Arsène Lupin, le célèbre voleur en col blanc.
    Eh bien, cette série "Lupin" raconte l'histoire d'Assane Diop (Omar Sy) qui entretient toute la brillante intelligence du personnage d'Arsène et qui cherche à survivre grâce à ce qu'elle a appris des livres de Leblanc. Son père, avant d'être emprisonné pour un crime qu'il n'a pas commis, lui a laissé un livre sur les aventures de Lupin. Assane devient le disciple spirituel du voleur aux gants blancs.
    Il est indéniable que la série Netflix Lupin est un produit divertissant, bien que peu crédible, en raison des incohérences que l'on retrouvera à la fois dans les braquages ​​et dans l'enquête menée par Diop. Son intrigue montre clairement l'identité du suspect dans le vol aux yeux du reste des personnages, peu importe combien la fiction essaie de vendre les capacités de confusion et de déguisement de Diop. Pour ce nouveau Lupin, tout sort "enroulé", ce qui nécessitera un acte de foi de la part du spectateur.
    Daniela Lozano Sancho
    Daniela Lozano Sancho

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 18 mai 2024
    Je suis un étudiante du collège de l’Espagne et selon moi, Lupin est une série assez géniale et elle fait une impressionnante histoire qui parle d' un homme qui est un voleur qui veut se venger d' une famille qui lui fait mal, et pour ça il vole un important collier.
    Pour moi, la première et la deuxième saison sont très émouvantes et il y a partie que ça coupe le souffle, mais la troisième saison à ne pas rater ou manquer, c’est surréaliste.
    Eterronesg01
    Eterronesg01

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 18 mai 2024
    Bonjour je m'appelle Elena et je suis étudiant dans un collège au Espagne, je vais parler de
    la série française Lupin qui parle d’un voleur.Pour moi, la série est magnifique, les rôles sont
    très realist et certaines scènes sont drôles et surprenantes. La trame est intrigant,l' histoire
    est un chef d’ouvre mais je pense qui la dernière saison est un peu surréaliste. Le final n’est
    pas mal mais la série n'est pas ratée.
    Fátima María Romero Quintero
    Fátima María Romero Quintero

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 19 mai 2024
    Bonjour, Je suis a etudiante dand espagne, j´m appelle Fátima et dans mon avis, la serie Lupin est assez de géniale et angoissant, la série parle de un homme voleur, est une serie de acción.
    La fin est terrible, dans mon avis, le premier et le deuxieme temps sant meilleurs. Je te recommande de serie tres drôle et tres yante!!!!
    Aortegab05
    Aortegab05

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 19 mai 2024
    Bonjour, je suis un étudiant espagnole de français. Nous avons vu cette serié en classe et je vais parler de mon avis.
    Pour moi la serié de Lupin est sublîme mais en general il y a quelques choses compliqué á comprendre. Le protagonist Omar Sy est un grand acteur. Tout est un peu subrealist mais quelques instants sont très émouvant et tout le monde est d’accord que la fin est terrible.
    Emmanuelle Susic
    Emmanuelle Susic

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 10 novembre 2023
    que dire... wouahou
    je l ai regarder d un trait impossible d en decoller les yeux j ai TELLEMENT adorer Merci Omar tu m as fait rêver vivement la suite (espérons)
    VENATUS
    VENATUS

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 31 décembre 2023
    La série "Lupin" propose une approche moderne et énergique du célèbre personnage d'Arsène Lupin, portée par la présence magnétique d'Omar Sy. Cependant, elle n'est pas exempte de certaines faiblesses. L'utilisation récurrente d'éléments peu réalistes, comme le cas des menottes, peut parfois ébranler la crédibilité de l'intrigue.

    Un aspect particulièrement déconcertant est l'implication d'Assane Diop, joué par Omar Sy, dans des situations où il est censé être mort, mais échappe curieusement à toute reconnaissance dans la rue ou lors de conversations avec d'autres personnages. Cette incohérence crée un décalage qui peut distraire les spectateurs et remettre en question la cohérence narrative.

    De plus, la série présente un défi narratif avec le personnage du policier, qui semble détenir une connaissance quasi omnisciente des événements. Cette capacité à tout savoir instantanément peut sembler artificielle et peu réaliste, créant parfois une dynamique où les rebondissements perdent une part de leur crédibilité. Une exploration plus nuancée de la manière dont le personnage obtient ses informations aurait pu renforcer la complexité de l'intrigue et rendre les développements plus convaincants.

    En dépit de ces critiques, la série réussit à maintenir un rythme captivant et à offrir des rebondissements bien orchestrés. La performance remarquable d'Omar Sy reste un point fort, même si certains aspects de la réalisation pourraient bénéficier d'une plus grande attention aux détails pour renforcer la crédibilité globale de l'histoire.
    bibtar
    bibtar

    30 abonnés 598 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 22 mars 2021
    S’agissant de mettre en parallèle Littérature et Cinéma, le point commun essentiel que l’on peut relever chez des réalisateurs comme Guy Ritchie et Christopher Nolan, outre que tout deux soient des sujets de la monarchie britannique, c’est d’avoir saisi à l’essence même le concept d’adaptation. Que cela concerne C. Nolan ayant été capable de donner à l’univers du comics une vision totalement plongée dans le réel par sa version du Batman, essentiellement dans « The Dark Knight ». Ou que cela concerne la relecture plus traditionnelle qu’offre Guy Ritchie à travers ces deux adaptations des aventures de Sherlock Holmes, dont chacun des films transpirent les personnages de Conan Doyle mais à travers les yeux d’un cinéaste. Et tout deux parviennent à offrir de grands films, certes pour tout un tas d’autres raisons leur étant propre, tout simplement par le fait d’adapter des monuments de la culture populaire par un prisme totalement unique leur permettant d’être à la fois original et parfaitement ancré dans l’ADN cinématographique de chacun (Nolan utilise la folie destructrice du personnage du Joker pour filmer de réelles explosions qu’il affectionne tant quand Ritchie offre des répliques et des scènes de combat à Sherlock Holmes comme lui seul en à leur secret de mise en scène).

    Toutes bonnes adaptions se doivent de prendre ce chemin pour proposer quelque chose d’intéressant, et il semblerait que le créateur de la série Netflix « Lupin, dans l’ombre d’Arsène » (Georges Kay) fasse partie de ces initiés. Lui aussi est parvenu à illustrer le personnage d’Arsène Lupin, le célèbre Gentleman Cambrioleur créé par Maurice Leblanc au XIXe siècle, dans une série moderne et totalement estampillée XXIe siècle (et dont seule la moitié de la première saison est actuellement disponible), faisant de cette série franco-britannique Netflix la première de l’Histoire de la plateforme à être la plus vue aux USA. Et cela repose bien évidemment sur la qualité et l’originalité de cette adaptation : non seulement l’intrigue se déroule en 2020, complètement ancrée dans le monde actuel spoiler: (« wikipédia » est une source principale pour tout individus qui cherchent des infos sur un autre, les réseaux sociaux peuvent être manipulés et utilisés de façon néfaste, ou encore que les parcs à Paris sont traversés par des livreurs type « UberEat »)
    , et en utilisant habillement notre époque afin d’y instaurer le contexte existant dans les aventures d’Arsène Lupin. Puisqu’il est vite flagrant que cette série ne tend pas à adapter au sens stricte l’œuvre de Maurice Leblanc, le protagoniste principal étant un lecteur devenu fan du personnage, par son histoire et son passé et qui s’inspire donc de Arsène Lupin depuis son adolescence spoiler: pour commettre des vols chez de riches bourgeois parisiens racistes et qui depuis a développé une habilité et un sens du déguisement très efficace, dont il aura besoin cette fois pour assouvir une vengeance familial.
    Ainsi, ce simple constat suffit à mettre fin à toute une polémique de mauvaise foi reprochant aux producteurs de la série d’avoir choisi Omar Sy pour incarner le héros (sous prétexte que sa couleur de peau ne pouvait pas coller avec le personnage d’Arsène Lupin, voire même que c’était scandaleux de faire jouer un voleur à un Sénégalais…), car en effet, l’acteur incarne ici un jeune issu de l’immigration qui arrive en France et se retrouve confronté aux habituels conflits sociétaux français, et qui décide d’imiter son héros pour devenir un voleur suite à une drame concernant sa famille.
    Partant de cela, on comprend au fil des premiers épisodes que la volonté d’adaptation sera plus subtile (c’est bien l’une des rares choses l’étant d’ailleurs) qu’une simple transposition du papier vers la pellicule, puisque de nombreux éléments du scénario font le même effort d’adaptation c spoiler: omme le fait d’utiliser les métiers d’aujourd’hui, dit « invisibles » (hommes d’entretien nocturne, livreurs Uber, techniciens des grandes entreprises…) comme déguisement lors de ses infiltrations, en utilisant la société française telle que nous la vivons tout les jours pour illustrer les techniques de vol ou d’intimidation lors de ces braquages (la menace de truquer un visage de façon réaliste pour salir quelqu’un de haut placé ou même la position des lanceurs d’alerte pour mettre en exécution son plan),
    les créateurs de la série ont bien développé la transposition à la fois temporelle du personnage, lui offrant scénaristiquement une autre allure et d’autres enjeux que le gentleman cambrioleur qui évoluait dans une temps bien différent, et surtout dans la transposition de son univers.
    La série parvient à semer tout au long des épisodes des éléments sous forme de références précises et documentés, bien qu’encore une fois, les ficelles paraissent souvent abusées spoiler: (il a beau être habile, il paraît compliqué de défaire des menottes d’un centre pénitencier comme un tour de magie, et peu de chance qu’elles soient truquées)
    , le choix d’Etretat et son paysage unique comme décor d’une aventure (un épisode ici en l’occurrence), lieu mythique des aventures du héros et dont les reproches ont été légions sur le fait qu’aucune adaptation n’avait utilisé la falaise et sa célèbre aiguille creuse (connu dans le Monde surtout par l’œuvre de Maurice Leblanc), utilisant certaines aventures très précises pour illustrer la manière dont le personnage principal va parvenir à ses fins spoiler: (l’évasion d’une prison, le passager d’un train aux mauvaises attentions, un pseudo d’utilisateur de réseaux sociaux…).

    Certains personnages clés trouvant aussi leur alter-égo ici (en particulier la Cagliostro ou Clarisse, les deux amours principaux du héros) spoiler: et même les origines et raisons qui l’ont poussé à devenir un cambrioleur à l’image de son héros favori, développé de manière parallèle via des flash-back de différentes époques de sa vie
    , utilisent le contexte social de façon très intelligente mais toujours trop appuyé pour être mémorable. De ce fait, racisme de la société, opposition entre classes sociales, ultra numérisation de ce qui nous entoure ou encore la France des banlieues, tout cela est mis au service de l’adaptation (le racisme des plus riches subit dans son adolescence devenant la cible et motivation de ces larcins, encore existant de nos jours, remplacent parfaitement l’opposition entre socialisme et capitalisme dont le héros de Maurice Leblanc incarné le symbole dans une époque où ce fossé était un réel enjeu pour y raconter son histoire).

    Alors bien évidement qu’on ne peut que saluer l’énergie que Omar Sy donne à ce personnage par son interprétation très enjouée, sachant aussi être dans l’émotion plus pure quand l’intrigue l’impose (surtout lors d’un épisode assez touchant), donnant une gouaille très plaisante au personnage et collant toujours autant au beau parleur qu’est le héros normand, et bien que Arsène Lupin soit un personnage plus ambiguë et moins marqué concernant la morale de ses actes (surtout concernant la gente féminine), le scénario parvient une fois de plus à déjouer le piège de l’adaptation bancale en faisant du personnage de Omar Sy un simple fan qui s’inspire de Lupin, ne lui imposant nullement d’avoir les mêmes travers que ce dernier. Pourtant les scénaristes parviennent à donner plus de relief au héros qui semblait pas assez nuancé jusqu’à la moitié de la saison spoiler: (d’ailleurs investi par le personnage de Clotilde Hesme, qui donne ainsi tout son sens à son personnage, devenant l’incarnation de la Comtesse Cagliostro, maîtresse mythique de Lupin)
    . La relation mise en place avec son ex-femme, interprétée par Ludivine Sagnier, très convaincante dans la duo créé avec le personnage de Omar Sy qui est non seulement totalement crédible (celle-ci incarnant l’amour impossible de Lupin, Clarisse, autre intelligence d’adaptation), de part son naturel car elle dégage quelque de simple qui contrebalance bien avec l’explosivité de Omar Sy, mais surtout par cette alchimie qui semble évidente avec lui.
    Ainsi, il semble évident que si l’adaptation est réussie, et d’autant plus en devenant l’élément clé de ce qui fonctionne dans cette série, c’est en puisant sans cesse dans la mythologie et l’univers de Arsène Lupin sans jamais à avoir être littéralement fidèle aux écrits de Maurice Leblanc, en utilisant de façon parcimonieuse l’hommage fait à l’œuvre tout en pouvant développer ses propres enjeux, sa propre histoire, ses propres références et surtout sa propre direction.

    Proposant un rythme assez efficace, enchaînant facilement les péripéties étant donné que chaque épisode ayant son enjeu, qui comprend un ensemble d’enjeux à résoudre pour finalement totalement retourner la situation systématiquement, donnant non seulement ce sentiment qu’il se passe tout le temps quelque chose à l’écran mais surtout en poussant l’aspect référencé de la série dans sa structure même en traduisant l’adage qu’il faut se méfier des apparences, que « l’habit ne fait pas le moine et c’est le cas de le dire pour ce qui est de Lupin. Puis on sent bien une volonté d’avant tout divertir visuellement, de surprendre par les actes et l’habilité du héros sans que tout soit forcement cohérent et surtout en grossissant facilement le trait pour rendre plus lisible certain évènements. Pas toujours bienvenus et souvent de mauvais genre, il semble souvent que le hasard règle bien des situations et que certains événements sont résolus trop facilement et parfois même à la limite de crédible (l’épisode de la prison en regorge tout du long, et bien que cela tente parfois de ce justifier par quelques pirouettes, soit cela n’est pas toujours très clair, soit cela est vraiment trop aberrant,). spoiler: Le héros va indirectement mettre en danger sa famille pour parvenir à ses fins, ce qui paraît peut probable vu la relation préalablement présentée,
    et le dernier épisode va jusqu’à se débarrasser du bon sens pour justifier le retour soudain d’un personnage dans l’intrigue (basant l’un des retournements de situation principal de la saison dessus) et met ainsi en lumière un défaut majeur de cette série, ce sont les facilités de développement du scénario.
    De nombreuses résolutions semblent tomber comme miraculeusement, et si ce n’est pas le cas, soit on y croit pas vraiment spoiler: (la prison, la pendaison, la vente aux enchères, le système de sécurité du Louvre)
    ,soit certaines actions des différents protagonistes sont assez mauvaises spoiler: (le jeune flic qui fait le lien immédiatement avec Lupin, par contre quand il peut le prouver, le seul rôle de ses collègues sera de le contredire malgré les évidences plus crédibles qu’il leur soumet, faisant de ces différents personnages de simple élément de scénario)
    . Le tout allant jusqu’à des situations risibles, à l’image de la scène des portraits robots frôlant l’amateurisme cinématographique, ou simplement à l’incohérence temporelles spoiler: pour commettre des vols chez de riches bourgeois parisiens racistes et qui depuis a développé une habilité et un sens du déguisement très efficace, dont il aura besoin cette fois pour assouvir une vengeance familial. 0

    A l’image de ficelles scénaristiques pas toujours très intelligentes, on ressent aussi un manque de conviction en ce qui concerne certains dialogues ou situations, particulièrement concernant les messages sociaux que la série tend à mettre en lumière, non pas que cela de mauvais goût étant donné que la société française fait partie intégrante des aventures de Arsène Lupin, mais le souci majeur reste évidemment que tout cela n’est du tout subtilement établi et usant des messages et symboles classiques (le sentiment de supériorité des classes riches parisiennes, l’opposition entre ville et banlieue, rejet de la différence, les racines et les origines…), mais le plus dérangeant reste que tout cela souvent complètement biaisé, (on dépeint une France des années 1980 toujours colonialiste à outrance), et quand on voit l’interprétation du père du jeune héros dans les flash-back parallèles, on est à la limite de la caricature, tout comme le personnage représentant la riche bourgeoisie parisienne, étant plus dans l’archétype de symbole de la richesse détestable et décadente.
    Trop facile, bien trop gros, et pas toujours lisible en ce qui concerne des éléments essentiels du scénario introduit (surtout au sujet de ce qu’est vraiment le héros, soit un fan qui à l’idée de se venger à la manière de son personnage favori, soit un cambrioleur inspiré et expérimenté ?), tout semble exagéré à outrance afin de créer plus de poids aux messages disséminés dans le divertissement, sûrement par crainte que le public veuille avant tout une série haletante, prenante, quitte à mettre de côté logique, cohérent et crédible et plus profiter de ce qui se passe de spectaculaire à l’écran (l’effet « Tenet » serait-il en marche ? « Ne cherchez pas à comprendre, ressentez ! ») mais encore faut-il que cela soit de qualité suffisante pour dépasser les traits grossis de l’ensemble.

    De ce côte là, rien d’alarmant mais pas de quoi crier au génie visuel non plus : l’ensemble de la mise en scène est assez classique, néanmoins très imprégnée du style de son réalisateur (pour les 3 premiers épisodes du moins), puisque Louis Leterrier est certes français, mais a fait tout ses films à Hollywood. Il est incontestable que l’on ressent un rythme et une image très prochent des productions d’action à la Besson (EuropaCorp ayant produit la saga « Le Transporteur » de Leterrier) qui sont bien sûr de purs produits de divertissement hollywoodiens mais apportant leur pierre frenchy à l’ensemble par l’humour, le rythme donné à l’action ou tout simplement les lieux choisis, ce qui se retrouve de manière évidente dans le début de la série, et cela fonctionne dans l’ensemble, bien qu’encore une fois, la subtilité ne soit pas le privilège du genre. Aucune prétention d’auteur d’ailleurs à ce niveau, le but est de faire de divertissent et ici ces passages font le travail, donnant une certaine intensité à ce qui se déroule et même si tout n’est pas toujours très bien amené, on se laisse facilement emporté dans le fil des évènements, par sa simplicité et sa manière de construire chaque épisode.
    Le sentiment qui s’en dégage, et qui semble plaire d’ailleurs, c’est que l’ensemble ne donne pas l’impression de cinéma français, souvent décrié pour son manque de budget et d’originalité pour ce type de film, mais cela n’est pas tout à fait vrai, car ce qui fait que des films comme « Le Transporteur » ou « Insaisissables » fonctionnent et donnent ce sentiment d’être différent de ce que l’on voit habituellement, c’est justement parce qu’il sont traités avec les codes du cinéma hollywoodien tout en ayant une vision française, ce qui ce dégage clairement, sauf qu’ici le rendu technique n’a rien de fabuleux. Il suffit de voir le traitement fait de la seule scène utilisant les effets numériques pour illustrer un accident spectaculaire dans un monument parisien, complètement ratée et très mal mis en image, ceci étant la preuve que l’intention est là mais pas la qualité technique, d’autant plus qu’avec Netflix comme financier et producteur, cela semble encore plus incongru que la mauvaise qualité des effets visuels soient liés à une question de budget.

    Que ce soit par le format et le rythme adopté ou par l’intelligence et l’originalité de la transposition du personnage d’Arsène Lupin, il y a de quoi trouver son compte. Il est indéniable que le divertissement fait son effet, emportant aisément l’attention, quitte à que le manque de cohérence et les traits de scénario grossis à l’excès soient flagrants, et ces premiers épisodes mettent en évidence que la volonté première n’est pas de s’adresser à une certaines élites intellectuelles et bien pensante (jugeant un œuvre sur des critères souvent bien loin de l’art à proprement parlé) mais plutôt à une tranche plus populaire appréciant le spectacle pour ce qu’il représente et ne cherchant pas à donner un sens anthropologique à tout ce qu’on lui propose. Sûrement la définition la plus juste de ce que représente la « pop culture », de ce qu’elle incarne dans l’imaginaire collectif (Charlie Chaplin est sûrement connu par plus de monde que Émile Zola de nos jours, cela ne signifie pas pour autant que les classes populaires sont plus stupides aujourd’hui), et de la manière de se l’approprier.
    Zipzap
    Zipzap

    4 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 10 janvier 2021
    Alors… sur le papier, c'était séduisant. En tout cas, Lupin est une thématique qui me plaisait et la mise en abîme finaude, entre variation et hommage, a attisé ma curiosité. Le début m'a d'ailleurs plutôt accroché… mais à chaque nouvel épisode, mon intérêt diminuait et mon ennui grandissait. La faute à quoi ? Une accumulation d'invraisemblances, de facilités scénaristiques… à commencer par le flic fan de Lupin et qui a même des bouquins sur son bureau. Sérieux ? Tout le reste est du même tonneau : Lupin passe entre les mailles des filets de toutes les situations les plus délicates, c'est le roi de l'esquive… mais des personnages de cette première saison vont pourtant être capables de le trouver en un claquement de doigts. La pauvre Ludivine Sagnier est sous-employée (par contre la comédienne qui l'incarne jeune est absolument formidable).De même pour l'envoûtante Nicole Garcia qu'on gratifie d'un rôle sans grande partition. En fait, tout manque de consistance psychologique, tout semble artificiel. Surtout, aucun réel suspens au niveau de la trame principale, aucune ambiguité dans les personnages. Omar Sy fait le job, avec son abattage habituel. Mais cela ne sauve pas cette série, pas déplaisante mais très décevante. Elle aura peut-être au moins le mérite de redonner l'envie à notre jeunesse de se replonger dans les romans de Maurice Leblanc…
    Pat Nicois
    Pat Nicois

    3 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 12 janvier 2021
    Mon dieu que c'est triste, niais, peu crédible et bourré de morale à deux balles, dire qu'on espérait que le transfert du cinéma français sur les plateformes de streaming l'améliore!
    Spamy S.
    Spamy S.

    11 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 25 janvier 2021
    Il me semble pourtant que les séries Française peuvent mieux faire. Ce n'est pas une bonne série, de plus c'est insupportable d'avoir encore le cliché des flics qui parlent comme des racailles et qui se comportent comme tel.
    VhS mAn
    VhS mAn

    17 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 29 janvier 2021
    Déballage de lieux communs et stéréotypes en tous genres ponctués d'idéologie gauchiste foireuse, unique alibi d'un scenario insipide et totalement improbable, dont le montage, la bande-son, les dialogues, le jeu des acteurs auront fini d'achever l'ensemble dans un élan de médiocrité rarement égalée. Les séries françaises et Netflix, la nullité qui fait mouche à chaque fois.
    Salvo V
    Salvo V

    22 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 26 mai 2021
    C'est la pire adaptation d'Arsène Lupin . Les acteurs sont mauvais . La réalisation est digne d'un jeu vidéo des années 90
    Et Netflix nous annonce une seconde saison 🤬
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