Avis Sex Education - Page 11

Oh oui ! Oh oui !! Oh OUIII !!!
C'est tellement bon d'avoir l'air cool, surtout quand on l'est pas.
Netflix peut se permettre ce genre de merdes avec tout l'argent qu'il se tape.

Quelle série!
Incontournable!
Excellente et qui fait du bien!
Enfin une série qui parle de sexe de façon directe sans aucune vulgarité.
Tous les sujets sont traités avec beaucoup de finesse et d'humour sans rien cacher.
Une série que tous les ados à partir de 16 ans doivent voir absolument pour dédramatiser la sexualité.
Salutaire!

Complètement dégénéré. Quand on pense que les journaux ont encensé cette série, Le Monde et Le Figaro en tête, je ressens le même sentiment que dans les années 90, où l'on encensait Grabriel Matzneff et son oeuvre délirante et perverse.

Cette série est à enlever le goût aux ados (et aux adultes également) de "faire l'amour", mais ici on ne parle pas d'amour, mais "to have sex". Ceci explique cela.

Approche primaire et vulgaire d'un sujet si important qui aurait dû être magnifiquement traité. Si on parlait d'amour pour faire changement...

A vrai dire en regardant cette série je ne savais pas trop à quoi m'attendre, mais venant de netflix j'aurai dû m'en douter vu leur propagande idéologique actuelle, les scénaristes se sont lâchés avec pour résultats quelque chose de peu crédible et vulgaire, dommage les acteurs sont pas mal certains attachants et vous font passer des moments drôles, mais les scénaristes voulant en faire trop les font sombrer dans la caricature et le ridicule et ce n'est pas les quelques séquences mélodramatiques qui relèvent le niveau.

Franchement je ne comprends pas l'engouement autour de cette série ! Si ce n'est qu'elle s'arrête au dessous de la ceinture et ne vise pas plus haut. L'histoire est redondante clichés mais rentrant les normes sociales actuelles. Les acteurs ne savent pas jouer (Asa Butterfeld, je t'ai vu meilleure ailleurs et pareil pour Gillian Anderson). C'est vulgaire, malsain, sans grand intérêt. Mais surtout cela nous montre le "sexe" comme une chose banal et dénué de sens alors qu'en réalité, il s'agit de l'expression d'un amour plus grand entre deux êtres. Cela dénature complètement le propos. Du cul, du cul du cul et aucun respect ni aucune intelligence ! Comme à l'image des séries de m***de que savent proposer Netflix ! C'est navrant !

Je vais être franc.
Cette série est très nulle, trop "gay", et le scénario est pourri.
A ne surtout pas regarder c'est une grande perte de temps, Netflix a fait un très mauvais travail.
spoiler: On apprend que Adam est gay, Otis ne sort pas avec Maevs à la fin, Eric est très dégoutant, franchement
( je le répète encore) le scénario est POURRI.

Une série qui se traine, malgré une musique de djeuns et des mouvements de cam un peu trop ostensibles, trop d'incohérences et le fait que les persos ne sont pas assez attachants m'ont fait lâcher l'affaire à un ou deux épisodes de la fin. Le matraquage n'a pas eu de prise sur moi apparemment ...

L'adolescence, ce réservoir à séries inépuisable. En même temps, quel meilleur terreau pour traiter d'une multitude de sujets intemporels qui - paradoxalement - se renouvellent habilement avec le passage d'une génération à une autre.
Sex Education s'ajoute donc à la (longue) liste de créations pressant le même citron.
La saison 1 aura le même attrait que les séries doudous : drôle et mignonnette. À ceci près que celle-ci se montre plus impudique et absurde que la moyenne. Évidemment, on y parle beaucoup de sexe, de névroses personnelles et de jeunesse désorientée par ces repères chamboulés.
Bref, ôtez le ton moins fleur bleue et on obtient la nouvelle version d'un Dawson : mêmes aléas, mêmes trémolos et mêmes clichés. Il ne faudra pas plus de deux épisodes pour deviner l'ensemble des rebondissements à venir. Embêtant, quand même puisque la série avait manifestement la verve pour faire mieux. De plus, la série trébuche également dans ses ruptures de ton puisque certaines pistes plus graves sont escamotées en une séquence.
Comment expliquer donc que la vision des 8 épisodes reste malgré tout plaisante, en dehors de certaines scories d'écriture ?
Deux raisons. La forme est plutôt soignée. Riche en couleurs et en séquences décalées, Sex Education rappelle autant l'esthétique d'un Danny Boyle que les pantalonnades existentielles de John Hughes. Un très bon point, puisqu'il est souvent pris en défaut dans ce genre-là. Et le casting permet au charme d'opérer : le trio Asa Butterfield, Emma Macckey, Ncuty Gatwa jouit d'une superbe alchimie. Puis, comment rester indifférent à la toujours incroyable Gillian Anderson ? Impossible voyons. Il faut aussi signaler un mieux dans la représentation du corps dénudé, puisque les deux sexes sont traités sur un pied d'égalité. Ce qui n'est pas si fréquent, et mérite donc d'être salué.
Très récréative à défaut de livrer un KO technique sur le terrain de l'adolescence, Sex Education est un héritier légitime à beaucoup de ces séries qui nous divertissaient il y a vingt ans.

On prend les mêmes et on recommence. Otis, Maeve et Eric reviennent ausculter les tourments de la jeunesse 2.0. Oui, malgré un titre aguicheur, la série créée par Laurie Nunn ne se limitait pas à jeter un œil sur la vie sexuelle des ado comme un voyeur libidineux. Comme bon nombre d'entre-elles avant Sex Education, la libido sert avant tout de prétexte à l'analyse d'un âge où les questions existentielles sont rendues d'autant plus prégnantes avec les réseaux sociaux et les mouvements progressistes qui pullulent. La deuxième saison y intègre d'ailleurs des problématiques sociales récentes, spoiler: symbolisées par le hashtag #metoo ou #balancetonporc
. Une très bonne idée, il y avait de quoi articuler une saison là-dessus, en se délestant de certaines facilités qui entaillaient parfois la première saison. Malheureusement, elle est implantée au forceps malhabilement spoiler: par le biais d'un personnage secondaire qui n'a déjà pas beaucoup de temps pour exister
. Résultat, on préfère se concentrer sur les histoires de cœur de nos héros.
Encore une fois, ce n'est pas franchement palpitant, voire même aberrant par moments (certains protagonistes sont aussi paumés que la narration). Mais bon sang, rien à faire, les comédiens sont beaucoup trop sympathiques et certains gags sont à se tordre (notamment le tout premier). Sur une bonne partie des épisodes, le ton se montre sensiblement plus mature (notamment dans le rapport parents/enfants) bien que ce ne soit pas non plus très original. Mais certaines voies ouvertes en début de saison se referment brutalement spoiler: (Adam à l'armée, Eric et son père)
, ou se concluent totalement absurde. En ce sens une bonne partie de l'épisode final fait l'effet d'une douche froide, plus proche de Glee que de Skins.
Heureusement, la troupe assure un maximum. Et la mise en scène est globalement inspirée. Pour la troisième, il serait peut-être temps d'équilibrer un peu mieux les intrigues et surtout d'envoyer valser les conventions, histoire de partir vers de vraies nouvelles aventures.

Une série sympa sur un sujet peu exploité, qui brise quelques tabous sans dérivé dans la vulgarité gratuite

Une véritable bouffée d'oxygène que cette série délirante et vraiment très divertissante. Malgré son sujet très significatif, ça ne tombe jamais dans la vulgarité gratuite, et comporte bien souvent des messages derrière la situation la plus ahurissante. Le personnage d'Otis est parfois énervant mais n'en demeure pas moins attachant, comme une grande majorité des personnages. Une deuxième saison un peu moins fun que la première mais qui reste très appréciable, malgré un final décevant. On a l'impression que la saison 2 n'ose pas et survole une partie de ses sujets, là où la première ne prenait pas de pincettes. Espérons aussi que la série sache se renouveler et proposer des situations vraiment marquantes, car il y aurait moyen de faire encore plus fort !

Excellent, série osée mais pas du tout vulgaire car on se place du point de vue de deux amis, un gay et un plus psychologue qu'à l'aise avec son propre corps. Ils sont bousculés par des personnes et des évènements qui les dépassent complètement. Le sexe est traité des fois avec humour ou avec des scène plus crues, mais toujours avec intelligence et un but. Chaque personnage nous amène une réflexion et une remise en question sur son rapport à la chose, et ils évoluent tous dans le but de nous faire comprendre leurs points de vue et leurs différences.
Les émotions et la vie des personnages : élèves,profs, proviseurs, parents, tous sont passés au crible à travers le spectre du sexe, mais pas seulement, la série n'est jamais réductrice elle embrasse totalement le caractère et le côté unique, caché et sensible des protagonistes.
Mise en lumière magnifiquement bien orchestrée des fragilités, des équilibres dans les couples et les duos. Tous et toutes deviennent attachants , forcément, à leur façon, c'est une force de cette série sur le sexe mais avec un coeur énorme.

Nul nul nul wolaaaa !!!! Nul sur racine carré de nul fois nul cent fois nul nul nul nul nuuuuuuuuuuuuuuuuul !!!!

je ne suis généralement pas friand de ce genre de série mais je dois dire que celle ci ma beaucoup plus avec son ton léger.

Sex Education de Laurie Nunn est une bonne série parlant de sujets « tabous » avec humour.

Si j’apprécie autant cette série c’est, tout d’abord, parce que j’ai réussis à la finir sans m’ennuyer.
De plus, je trouve qu’elle nous permet de mettre en avant certaines choses comme, par exemple, le métier de sexologue. Enfin, cette série comporte des personnages attachants.
Ils ont réussi à faire en sorte que la grosse majorité des personnages même les « antagonistes » (qui ne le sont pas tellement au final) sont tous aussi complexes et attachants.

Je me souviens avoir voulu être dans la série juste pour pouvoir réconforter Adams (mon personnage préféré, je ne vous mentirais pas, big up à Connor Swindells) ou bien refaire rire Eric lorsque celui ci ne sait plus qui il est... .

Bref je recommande cette série ne serait-ce que pour tout les personnages et les différentes trames.

3,5/5