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    La Chute de la maison Usher
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    124 critiques spectateurs

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    Christophe S.
    Christophe S.

    20 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 15 octobre 2023
    Un conte macabre plus qu'horrifique. Belle mise en scène et bon casting, au service de cet hommage malin aux œuvres de Poe.
    Jean Louis L.
    Jean Louis L.

    30 abonnés 423 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,5
    Publiée le 3 décembre 2023
    Très vite on comprend l’origine et le pourquoi, mais comme les séries précédentes ,du même Flanagan, on est pris dans l’histoire, certe, c’est beaucoup plus gore et on a moins d’angoisse, vu que des le début, on se doute du déroulement mais l’on regarde pour voir si on a raison et comment cela va s’imbriquer .La photo est sombre et elle apporte un plus à la série, idéalement accompagnée par une bonne distribution.
    Choupi C.
    Choupi C.

    20 abonnés 318 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 4 novembre 2023
    Vraiment pas terrible.. un peu grossier et moitie paranormal.. moyennement joué.. se regarde mais assez déçus..
    Morgane E.
    Morgane E.

    4 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 18 décembre 2023
    On retrouve certes plusieurs des qualités de Flanagan: réalisation, photographie, direction d'acteurs, dialogues à rallonge fascinants et poétiques...
    Néanmoins ça échoue à nous toucher. Non pas parce que les personnages ne sont pas attachants comme on peut le lire.. Mais parce que le récit est terriblement moralisateur. On a carrément le sentiment que ce n'est plus une fiction mais un sermon trop souvent et trop longtemps. Certaines de ces phrases moralisatrices frisent le stupide... D'autres visent juste mais enfoncent des portes ouvertes. Franchement lassant.
    Donc on est là, entraîné dans la poésie ou la violence de Flanagan, aussi sublimes l'une que l'autre.. et là surgissent comme des "pop up" des répliques moralisatrices stupides. Ça sort complètement du récit, ça tue la poésie. C'est lourd, mais lourd! Et comme si ça ne suffisait pas, on se tape par la dessus une propagande woke tout aussi grossière et lourde.
    Dommage car il y a du très bon dans cette série, l'histoire est intrigante, la chronologie de récit choisie est parfaite et comme dit au début,
    toutes les qualités de réalisation de Flannagan ... D'où le 3,5 malgré les défauts.
    Isabelle Beaupuis
    Isabelle Beaupuis

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 15 octobre 2023
    Original et rondement bien mené, on se laisse prendre au jeu dès la fin du 2 eme épisode et ensuite les autres se laissent dévorer sans modération.
    pierrelegrand
    pierrelegrand

    8 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 11 décembre 2023
    Vraiment nase.
    C'est lourd, loufoque, de très mauvais.
    Et vulgaire.
    Je ne vois pas ce que l'on peut à cette histoire cradingue, écrite sans imagination, ni originalité.
    Un passage qui fait écho aux chambres à gaz inadmissible.
    Scofield
    Scofield

    10 abonnés 383 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 10 janvier 2024
    Après le visionnage du premier épisode, je me suis posé la question si je devais continuer à regarder ce genre de spectacle, qui est pour un public bien particulier, celui qui aime un humour décalé, parfois bon marché, style soap et souvent vulgaire. Il y a quelques passages de bon niveau avec des remarques pertinentes, mais malheureusement plus de bavardages sans réelle valeur ajoutée. Il n'y a pratiquement aucune scène en plein air, quasiment pas d'action, tout repose sur les dialogues qui valent ce qu'ils valent, chacun se fera son idée. Ce n'est définitivement pas ma tasse de thé. Je pense que c'est une série qui sera mieux ou moins bien notée selon la génération à laquelle on appartient.
    Oni
    Oni

    10 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 20 janvier 2024
    La Maison Usher : Quand Netflix devient un cabinet de curiosités morbides

    Vous savez que quelque chose ne tourne pas rond quand Lord Roderick Usher, au lieu de commander des poulets rôtis sur Uber Eats, invite un pote d'enfance à se perdre dans sa demeure lugubre. À croire que son option préférée sur Airbnb, c'est "Ambiance étrange et oppressante garantie".

    Les échanges entre les personnages sont plus lents que la connexion internet d'un village paumé. Les dialogues semblent sortir d'un manuel "Comment parler de la pluie et du beau temps pendant huit épisodes sans avancer dans l'intrigue". On se demande si les scénaristes ont confondu script et compte-rendu météo.

    La série suit une mécanique scénaristique tellement prévisible qu'on pourrait remplacer les acteurs par des pions de Monopoly sans que personne ne s'en rende compte. C'est un peu comme deviner la fin d'une histoire en se basant sur la trame classique "petit spoiler" : le héros survit, mais sa psyché est plus cabossée qu'une manette de jeu après une défaite cuisante.

    On peut critiquer beaucoup de choses, mais la réalisation, c'est un peu le Gandalf de la série. Une mise en scène intelligente qui jongle entre le gore et l'intrigue, comme si Tarantino avait décidé de réaliser un épisode de "Dora l'exploratrice". Chaque tragédie est dépeinte avec autant de minutie que la composition d'un deck de Magic: The Gathering. Les effets spéciaux sont si bien foutus que même les extraterrestres de "Men in Black" se demanderaient comment on a fait ça.

    Malgré le rythme qui traîne plus qu'une tortue asthmatique, "La Chute de la maison Usher" parvient à captiver, un peu comme quand tu joues à Mario Kart avec une manette cassée. Ça rame, ça zigzague, mais au final, tu te retrouves immergé dans cette ambiance dérangeante, prêt à sacrifier ton sommeil pour savoir si la demeure va tomber plus vite que le niveau de concentration d'un poisson rouge.

    En résumé, "La Chute de la maison Usher" n'est peut-être pas la meilleure œuvre de Mike Flanagan, mais ça reste une balade captivante dans l'univers de l'horreur. Malgré ses défauts, c'est comme une pizza froide à 3h du matin : ça passe tout seul, et tu te demandes pourquoi tu n'as pas arrêté plus tôt. En tout cas, si Netflix était un asile, cette série serait en tête de liste des patients les plus intrigants.

    Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
    awol1
    awol1

    8 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 23 décembre 2023
    Bien aimé dans l'ensemble, la série est esthétique, le scénario manque un peu de profondeur. Netflix oblige 8 épisodes, alors qu'en 5 ou 6 c'était réglé. Les dialogues sonnent un peu creux, mais l'ambiance est là, le résultat est satisfaisant pour les amateurs du genre.
    Pierricdrai
    Pierricdrai

    6 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 1 février 2024
    https://seriephiledudimanche.jimdofree.com/2024/01/31/la-chute-de-la-maison-usher/

    De quoi ça parle ?

    A l’origine, « la chute de la maison Usher » est une nouvelle littéraire d’Edgar Allan Poe. Dans celle-ci, Roderick Usher et sa sœur jumelle Madeline souffrent d’un mal étrange, proche de l’hypocondrie, qui les fait atrocement souffrir. Tous deux vivent reclus dans un sinistre manoir où se rend, à la demande de Roderick, le narrateur de l’histoire. Ce dernier fait alors part au lecteur des tragiques et angoissants événements auxquels il se trouve confronté. Si Mike Flanagan, l’auteur de la série, conserve l’identité de ses principaux protagonistes, il s’écarte largement du sujet originel pour concevoir une de ces fables modernes à tendance horrifique dont il a le secret. Ici, Roderick et Madeline, loin d’être atteints de démence, sont à la tête de Fortunato, un empire pharmaceutique qui a fait sienne la vente d’opioïdes dans le monde. Dorénavant en possession d’une fortune colossale,ils se voient assignés en justice par Auguste Dupin qui les accuse d’avoir fait fructifier leur commerce létal alors même qu’ils connaissaient les risques élevés de dépendance à leur anti-douleur. Pourtant, aidé en cela par Arthur Pym, leur redouté avocat, le clan Usher n’avait jamais eu à payer de ses crimes. Mais contre toute attente, Dupin laisse entendre qu’un témoin issu de la famille témoignerait en son sens. Les enfants de Roderick, nés de différentes unions, ont à peine le temps de se suspecter les uns les autres qu’ils décèdent tous dans des circonstances absolument terrifiantes.Accablé par tant de malheurs et voyant sa santé décliner, Roderick convie Dupin à s’entretenir avec lui dans la demeure où sa mère avait jadis connu une fin tragique. Devant la promesse faite par le patriarche de se confesser de ses crimes, Dupin accepte cette invitation afin d’y entendre la terrifiante et ténébreuse histoire de la famille Usher. Avec une question : que s’est-il donc passé cette fameuse nuit du nouvel an 1980 ?

    C’était mieux avant

    Les conséquences dramatiques induites par la libre commercialisation des opioïdes sur le marché pharmaceutique ? « Painkiller », déjà sur Netflix, et surtout la glaçante « Dopesick » ont fait de ce scandale le cœur de leur propos. Un puissant chef d’entreprise ayant engendré des rejetons dénués de tout état d’âme ? Comment occulter de son esprit la vénérée« Succession » à laquelle « La chute de la maison Usher » semble même emprunter certaines de ses envolées musicales ? Du point de vue du timing, remettre ces sujets sur le tapis sent tout de même le réchauffé, surtout que celle-ci n’use pas de la même finesse d’écriture que ses consœurs pour les illustrer. Les enfants Logan étaient souvent odieux mais il y avait quelque chose d’humain en eux qui nous empêchait de les détester complètement. Ici, ils sont tellement exécrables qu’on est plus que satisfait de les voir disparaître. Ce manque de nuances dans la description des personnages sonne comme une volonté didactique, pour ne pas dire outrancière, de nous faire abhorrer le milieu qui nous est dépeint. Par ailleurs, on peut arguer que Flanagan ne cherche pas à entrer dans les détails du scandale des opioïdes comme cherchait à le faire « Dopesick ». Toutefois, cette problématique n’en demeure pas moins centrale, en témoigne l’ultime conversation entretenue par Roderick et Madeline au moment de clore le récit. Et si celle-ci est loin d’être inintéressante, la manie qu’a son auteur d’user de la dissertation pour exposer ses idées plutôt que de les incorporer à la narration constitue une signature stylistique certes unique, mais parfois empesée.

    Un hommage sincère

    Évidemment, là où « La chute de la maison Usher » se démarque de ses prédécesseures, c’est sur la volonté d’incorporer ces sujets au genre fantastique qui caractérise autant l’œuvre de Flanagan que celle du célèbre écrivain auquel le réalisateur tient à rendre hommage. Et sur ce plan, il faut reconnaître que ce dernier use d’un savoir-faire indéniable, à commencer par la manière dont il se réfère constamment aux classiques du dramaturge américain. Il semble ainsi avoir pris un malin plaisir à créer un jeu de piste qui ravira instantanément les inconditionnels de Poe tant les détails empruntant à ses différentes nouvelles sont nombreux. Pour les autres qui en prendront connaissance au détour d’une conversation ou au gré de leurs lectures, ils pourront à rebours constater à quel point elles s’intègrent harmonieusement dans le récit, allant même jusqu’à servir d’ossature narrative dans le sort attribué par Flanagan aux enfants Usher. Ce dernier pousse même le vice jusqu’à mettre en mots les pensées de certains protagonistes par le biais de vers écrits par Poe lui-même. Toutefois, la sobriété de leur élocution ne parvient pas totalement à débarrasser ces instants poétiques, au demeurant assez pertinents, de leur caractère légèrement prétentieux et ampoulé. Cette réserve mise à part, le talent avec lequel Flanagan puise dans l’ensemble du répertoire de Poe sans se limiter à la simple nouvelle de « La chute de la maison Usher » est tout de même remarquable.

    Le mieux est l’ennemi du bien

    Du talent, Flanagan en a aussi lorsqu’il s’agit de manier la caméra. Sur ce plan, on pourrait même dire qu’il fait partie de la catégorie des virtuoses. Avec comme point d’ancrage une photographie qui se joue de la lumière pour tutoyer le baroque, chaque plan brille par la qualité de sa mise en scène. Ici, point de hasard tant le soin apporté aux détails et à l’ensemble du montage semble primordial. Il émane de cette réalisation impeccable une beauté vénéneuse qui voit la modernité de notre monde se teinter d’un symbolisme romantique volontairement appuyé. Paradoxalement, on en vient à penser que c’est parfois un peu trop. Il manque par exemple à l’image ce petit grain d’imperfection qui confère à une œuvre le supplément d’âme lui permettant de pleinement émouvoir le spectateur. De là à penser que ce léger manque d’aspérités dans la production se rapproche de la ligne éditoriale de Netflix, il n’y a qu’un pas.

    Une narration simple mais captivante

    De son côté, la narration adopte un schéma simple mais à l’efficacité éprouvée. Chaque épisode se plaît en effet à identifier les événements qui aboutissent in fine au décès d’un des membres de la fratrie Usher. Une fratrie qui, soit dit en passant, exerce son pouvoir de nuisance sur à peu près tous les pans de la société américaine : bien-être, médecine, divertissement, médias... Quoi qu’il en soit, il est plaisant de voir progressivement se dessiner les sentences qui leur ont été attribuées. Par ailleurs, l’intérêt porté à l’intrigue tient aussi au fait que, jusqu’au bout, on ne connaît pas la teneur de la malédiction qui pèse sur cette famille même si on se doute qu’elle est liée à la femme intrigante présente sur les lieux des différents drames. Toutes ces interrogations ainsi que la retranscription de l’avènement de Roderick et de sa sœur à la tête de Fortunato maintiennent efficacement le spectateur en haleine. S’il est un regret cependant, c’est de ne pas ressentir la dose de frissons tant espérée, la faute à une mise en scène qui s’appuie trop souvent sur les apparitions subites de figures horrifiques pour nous effrayer. Un effet systématiquement agrémenté d’un bref mais puissant accord musical qui finit par perdre de son impact au fur et à mesure qu’on y est confronté.

    Bilan

    Au final, « la chute de la maison Usher » porte indéniablement le sceau de son auteur. Pour les bons points, on évoquera évidemment une réalisation époustouflante accompagnée d'une photographie magnifiques qui procurent à la série une esthétique à laquelle il est difficile de ne pas succomber. Mais à force de viser la perfection, elle en oublie parfois de se montrer sensible et touchante. Trop soignée, trop didactique… D’aucuns diront que ces excès assumés font partie de son charme. Ils n’en demeurent pas moins gênants pour une œuvre dont le plus grand tort est peut-être tout simplement de se prendre trop au sérieux.

    Disponible sur Netflix
    steeve donatien
    steeve donatien

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 19 octobre 2023
    Une très bonne série.
    Bon parce qu'il faut mettre plus de mots : les acteurs sont dans la globalité excellent et la mise en scène, les décors sont très soignés.
    On est vite saisie par le col dès le début, les 5/6 premiers épisodes sont prenant et peut-être peut caller sur le 6/7 épisodes. En revanche le dernier épisode est tout simplement grandiose ! Une Masterclass. On est vraiment sur le haut du panier des séries Netflix.
    Alex Motamots
    Alex Motamots

    6 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 31 octobre 2023
    Je m'attendais à une série plus orientée policier, c'était oublier qu'elle est tirée d'une oeuvre d'Edgar Allan POE.
    J'ai eu du mal, dans les deux premiers épisodes, à situer tous les personnages : qui est le fils/la fille, qui est la soeur du magna de Fortunato ?
    Au bout du troisième épisode, j'ai commencé à y voir plus clair et à comprendre le rythme de chaque épisode.
    Ce qui m'a permis de trouver les 6e et 7e moins bons et un peu répétitifs. Le 8e et dernier vient heureusement sauver la mise et clore la série en répondant à mes questions.
    Mais il y a tout de même un peu trop de scènes sanguinolentes à mon goût.
    Une série qui m'a donné envie de relire E.A. POE.
    corpeziz_
    corpeziz_

    6 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 27 novembre 2023
    Excellent format netflix. Une série sombre mais juste. J'aime le coter les méchants ne gagne pas toujours. Ça donne un coté juste à la série.
    Les épisodes s'enchaîne bien. Je conseille.
    wim 8326
    wim 8326

    11 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 14 octobre 2023
    Honnêtement rien à attendre de cette série pourtant avec docteur sleep on pouvait espérer. Mais là personnages rédhibitoire sauf Lenore en attendant la conclusion un who nit à l'envers on suit pour voir la conclusion avec l'excuse des écrits d'Edgar Allan Poe on verra mais pour l'instant c'est mal parti
    xponey popo
    xponey popo

    2 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 18 octobre 2023
    J’aurai mis 4,5 mais je mets 5 pour contrecarrer les notes ridiculement basses. Je ne vois pas comment on peut se permettre de noter une série alors que l’on a vu que le 1er épisode sous couvert de woke ( ouin ouin y’a du lgbt et des minorités sauce Netflix ). Au delà ce que l’auteur veut montrer c’est la vie décadente de personnes riches qui au fond sont vides et n’arrivent plus à ce satisfaire de rien.
    Ça ne vaut pas haunting of hill house mais c’est ce que le réalisateur a fait de mieux depuis, la DA est impeccable, la moralité de fin rappel le vrai sens de la richesse dans une vie
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