Avis La Chute de la maison Usher - Page 7

En quelques mots
Intrigue, sombre, mort violente, une série palpitante à regarder du début à la fin pour bien comprendre

Je viens de finir la série et je dois dire que j’ai adoré ! Une série vraiment originale avec des acteurs vraiment très bons. J’ai aimé l’ambiance de la série et bien sur la morale de l’histoire. Pas de scène d’horreur inutiles, juste quelques sursauts mais cela suffit à tenir en haleine jusqu’au bout avec un dernier épisode remarquable. Bref je ne peux que conseiller cette série qui sort de l’ordinaire, merci Netflix car ce n’est pas si souvent qu’il y a des séries de qualité

J'ai adoré cette série horrifique décalée.
Très bon jeu d'acteur, belles scènes bien gores et l'intrigue plutôt bien menée.

Pour comprendre cette série, le spectateur doit bénéficier de deux prérequis :

[01] Ne surtout pas croire que les films d’horreur, d’épouvante et d’angoisse doivent forcément posséder un rythme soutenu ni montrer constamment des monstres, des viscères, des tripes et beaucoup de sang. Les chefs d’œuvres du genre, comme « Rosemary’s Baby » (de Roman Polanski – 1968- sur le roman d’Ira Levin) ou « Shining » (de Stanley Kubrick -1980- sur le roman de Stephen King), sont des filmes lents où l’on ne voit presque jamais des monstres ni du sang. Quelques apparitions des morts abîmés et c’est tout.
D’ailleurs, Mike Flanagan, le réalisateur ce cette série, met en valeur les mêmes ressources cinématographiques des films mentionnés ci-dessus, sans doute comme l’un parmi des dizaines de clins d’œil qu’il adresse aux connaisseurs.

[02] Il faut, indéniablement, connaître l’œuvre de Edgar Allan Poe, un écrivain génial dont les écrits créèrent les fondements de la littérature fantastique, d’horreur et policière du XX siècle. Sans lui, des écrivains comme Stephan King ou Maxime Chattam n’existeraient pas. Et des détectives comme Sherlock Holmes et Hercule Poirot non plus. En effet, l’ancêtre de tous les détectives modernes, fut le personnage d’Auguste Dupin (« Double Assassinat dans la Rue Morgue », 1841) auquel Conan Doyle fait référence dans le premier de ses romans, quand il créa Sherlock Holmes.

LE GENIE DE MIKE FLANAGAN
Le créateur de cette série parvient à réaliser plusieurs tours de force et prouesses scénaristiques.

[01] Raconter une histoire contemporaine concernant des laboratoires pharmaceutiques sans scrupules, qui inondent le marché des pilules provoquant accoutumance et des effets secondaires pouvant aller jusqu’à la mort, tout en partant de l’histoire racontée par Poe dans « La Chute de la Maison Uscher » et en gardant les noms imaginés par lui. Même Auguste Dupin, le détective de l’écrivain, apparaît dans le personnage du procureur qui poursuit Roderick.

[02] Inclure de manière époustouflante dans cette histoire contemporaine, sept autres nouvelles de Poe : « Le Masque de la Mort Rouge », « L’Assassinat dans la Rue Morgue », « Le Chat Noir », « Le Cœur Révélateur », « Le Scarabée d’Or », « Le Puit et le Pendule » et, bien sûr, le poème qui identifie Edgar Allan Poe universellement : « Le Corbeau ». Le tout avec une cohérence certaine.

[03] Modifier les visions extralucides des personnages de Poe (du domaine complètement fantastique), par des hallucinations chez les personnages de la série, provoquées par la consommation d’alcool, des drogues et de la même pilule produite par le laboratoire dont ils sont les propriétaires.

[04] Remplacer des situations appartenant au monde irréel de Poe, par un monde réel absolument crédible.

Je comprends que les spectateurs qui ne sont pas capables de jouir intellectuellement de toutes ces trouvailles et clins d’œil, ne pourront pas apprécier la série.

D’autre part, je suis d’accord que la qualité des comédiens est très hétérogène.
Et que le sujet des abominations commises par certains laboratoires, a déjà été traité avec succès dans d’autres séries. Mike Flanagan aurait pu partir d’une histoire contemporaine nouvelle.
D’où mes quatre étoiles aux lieux de cinq.

La chute de la maison Usher se déroule sur 8 épisodes plutôt bien écrits, avec une image soignée, bien que les traits de certains personnages soient en peu poussés, et qu'il n'y a pas d'attachement aux personnages.
Souvent, on sait qu'on va avoir peur, et, en effet, cela ne rate jamais. Il existe une véritable tension parfois même un peu éreintante.
Pour autant, il y a un certain côté répétitif évident et on peut parfois être un peu lassé.
Fort heureusement, il y a un dénouement à cette série qui offre au final un réel plaisir.

Après un premier épisode un peu longuet, le scénario prend véritablement son envol à partir de l'épisode 2 qui se termine sur une note particulièrement sinistre. Mike Flanagan a bien su retranscrire à l'écran le mystère et la noirceur des nouvelles d'Edgar Allan Poe. Il serait d'ailleurs dommage d'aborder cette mini série sans connaître un minimum les ecrits de Poe ( peut-être la raison pour laquelle certains spectateurs n'ont pas aimé ou saisi les enjeux du scénario).

Mike Flanagan a vraiment une petite touche personnelle que je ne retrouve dans aucune autre série. Les épisodes sont très prenant on a du mal à s'arrêter ! Les personnages sont tellement exécrables que pour certains, leur mort nous fait bondir de joie depuis le canapé. J'ai aimé le côté surnaturel et la révélation finale. Je recommande fortement cette série a tous les fans du genre.

Un début très compliqué a comprendre car ça allait dans tous les sens avec cette familles Usher, j'ai abandonné au bout du première épisode. Ce fut une grosse erreur de ma part.
Finalement j'ai laisser une deuxième chance a la série et tout s'enchaînent au bout du 2 ème épisode jusqu'au point final sans tant mort. Le scénario est complexe mais efficace et bien écrit "doliprane à préparer sur la table quand même". Les décors sont très soignées, les personnages sont super bien joué, chapeau à Carla GUGINO et Bruce GREENWOOD.
Surtout à ne pas manquer un régal.

Terriblement ennuyeux. J'arrête pas de m'endormir et me réveiller en espérant que j'aie passé assez de temps endormie pour pas avoir à regarder davantage. Je n'ai aucune envie de savoir comment ça va finir et je n'ai aucune empathie pour les personnages. Je ne sais pas ce qu'il manque pour que ce soit intéressant, je n'arrive pas à dire. Mais ce qui est certain, c'est que je n'aime pas. Juste une soirée gâchée par une série que j'aurais préféré ne pas regarder. Ça ne m'a rien apporté. Un seul épisode aurait peut être rendu le tout plus intéressant. Les acteurs sont bons ceci étant.

Au début je n'ai pas accroché mais ensuite je me suis laissé séduire par cette série horrifique, si particulière. Les différentes nouvelles de Poe sont bien intégrées et l'assemblage donne un tout cohérent et prenant. Les flash back sont bien amenés.
Mais je comprends que cette série puisse rebuter.

J'ai adoré cette mini série.
L'histoire. L'ambiance et les thèmes abordés (cupidité , conséquence de ses choix et pacte malefique)
Certains épisodes sont peut être moins prenants que d'autres mais tout se tient jusqu'au final.
Un bel hommage à égard allan Poe dans cette série qui reprend plusieurs de ses œuvres au goût 21eme siècle

J'ai adoré cette série qui ne comporte qu'une seule saison. Le scénario est très bien ficelé même s'il y a quelques longueurs. Chaque épisode est intéressant. Certains personnages soulèvent des questions sur l'existence même de l'être humain sur cette planète.
Le bien et le mal. L'ensemble forme un tout entre le passé, le présent et l'avenir. Je recommande fortement cette série.

Très bonne série d’épouvante. Quand on fait le lien avec la véritable histoire qui a inspirée la famille et les épisodes inspirés chacun d’une nouvelle c’est très bien réalisé avec du sens

Alors au même titre que les 2 précédentes séries d'horreur réalisées par le même réalisateur j'ai adoré , suspens, histoire originale, jeux d'acteurs intéressants. Même les dialogues plutôt long sont intéressants et ne font pas perdre le fil ni décrocher. Aucun personnage est bâclé bien au contraire ils apportent tous quelques choses à l'histoire qui une fois encore nous laisse bouche bée.

Je me suis arrêté au début du deuxième épisode. Le woksime a encore épuisé ma patience. A l'image de The Witcher (la série), à faire du forcing, quitte à tourner au ridicule, ou à l'incohérence scénaristique avec l'ajout de protagonistes qui n'ont pour seul intérêts d’être trans, gay, bi, ou que sais-je (de nos jours), on en vient à ne plus pouvoir regarder bon nombre de productions récentes, sans être exposés aux messages politiques et au militantisme de certain. Voila pourquoi je note avec une grande sévérité cette série.