Avis Ergo proxy

J'avais beaucoup d'attentes sur cette série, aux allures plus qu'alléchantes, dont la réputation disait qu'elle rénovait la science-fiction, façon cyber-punk.
Et quel fut ma déception en découvrant la série.
Commençons par ses (rares) qualités : tout d'abord, on a droit à une animation de grande qualité, un peu moins pour l'intégration des images de synthèse, mais on évite le pire.
La conception de l'univers d'Ergo Proxy, tant du point de vue des décors, des personnages ou des machines, est originale et bien pensée, on s'éloigne des visuels déjà existants sans pour autant en perdre ses repères.
Donc sur la forme, la série est un réussite. Le problème est que le fond ne suit pas et ça devient rapidement gênant.
Le scénario n'est qu'un très mauvais copiage de tous les films ou séries de science-fiction.
La trame de départ étant identique à Blade Runner, je m'attendais presque à des discours du genre, "tu es un blade runner, tu dois trouver et éliminer ces répliquants"
La seconde trame s'inspire ouvertement de Equilibrium, un super-flic se met à douter du "système" qu'il protège et va tenter s'y opposer et de découvrir la vérité qui lui est cachée.
Et le reste est un très mauvais copié-collé d'Evangelion. Ils ont osé tout pomper, de l'intrigue aux développement des personnages. Cette dernière copie devient plus que soûlante et m'a particulièrement irrité.
Un gros point noir vient également du montage. Non seulement, la série perd tout sens logique après l'épisode 10 (le départ de Romdo) mais en plus, lorsque l'on prends les épisodes suivants, on a l'impression qu'on a loupé quelque chose, car la situation a totalement évolué depuis la fin de l'épisode précédent.
Au final, une terrible déception pour une série pourtant plus que prometteuse sur le papier.

J'attendais beaucoup de cette série culte pour pas mal de fan Japanim SF, de mon coté c'est pas le cas. Avec une héroïne qui à des traits de Amy Lee la chanteuse d'Evanescence et c'est bien le seul bon point, tout le reste notamment l'histoire ne m'a pas plus du tout, je pose mes yeux sur l'héroïne mais l'ambiance tout autour manque cruellement de saveur et d'énergie.

Très bonne série s-f. Un univers post apocalyptique très immersif où l'on voyage à travers un monde de désolation parsemé de quelques villes-dômes dans lesquelles subsistent les restes de l'humanité, prisonnière d'un système extrémiste et replié sur elle-même. Passionnant !

Un des plus grands mangas que je connaisse, un véritable coup de cœur. L'histoire est sensationnelle, étonnante, l'idée du cogito comme virus informatique qui rend l'intelligence artificielle capable de ressentir peut paraître simplette mais inonde l'anime possibilités desquels se dégagent "Pino" la plus kawaiî des petite fille et mis a part un personnage tout aussi charismatiques que les autres Vincent Law ou Lil Meyer. En effet la psychologie des personnages est remarquable et ceux ci dégagent une classe rarement égalée. Un petit chef d'œuvre autant sur le plan esthétique que scénaristique. Le fond et la forme concourent à établir un animé d'où se dégage une ambiance et une qualité unique !

J'aime l'univers, le héros et l'héroïne sont plutôt originaux pour des personnages d'anime, le dessin est beau et le générique est réussi. Maintenant, c'est clairement trop lent. Le scénario est correcte, là n'est pas le problème, c'est juste que l'on ressent une certaine frustration à attendre fébrilement le dénouement! Il faut avoir la foi de regarder jusqu'au bout. J'ai failli décroché au bout de deux épisodes mais au final je ne suis pas déçu.

Ergo Proxy est un anime original. Un peu trop original. Si l'oeuvre est visuellement réussie, l'histoire s'égare dans une métaphysique psychologique avec des personnages bien trop énigmatiques pour qu'on s'y attache. Le récit est d'une lenteur soporifique et pour ma part, j'ai eu du mal à garder mon attention sur les épisodes. Venir à bout des 23 épisodes fut plus que laborieux et malheureusement, même si je suis passé à côté de cet anime, je ne retenterais pas l'aventure.

La série animée la plus profonde psychologiquement depuis Neon Genesis Evangelion, certains épisodes relèvent de l'exercice de style et sont une merveille à regarder. On tenait presque un chef d'oeuvre si ce n'est la dernière partie qui est brouillonne et n'apporte les réponses qu'au compte goûte... C'était compréhensible de préserver les mystères lors du début et le milieu de l'histoire, mais vers la fin ça devient juste frustrant.

L'une des meilleures oeuvres d'animation que j'ai eu l'occasion de voir, si ce n'est la meilleure. Avec son scénario complexe et riche, sa réalisation soignée à l'extrême et son ambiance de folie, et ses personnages charismatiques développés jusque dans leurs pensées profondes, Ergo Proxy plonge le spectateur qui souhaite bien se laisser conquérir dans une spirale de réflexion face aux faux semblants de l'inconscient commun.
En bref, en reprenant l'assertion "je pense donc je suis" Sato Dai parvient à pondre une belle réussite, aussi prenante que déroutante. Malheureusement, avec autant d'attraits et d'authenticité, cette série ne fera pas l'unanimité, les pierres les plus belles n'étant pas pour autant les plus parfaites.

LES PLUS :

- C'est plutôt original.
- Techniquement réussi.
- Une bande-son sobre mais adaptée.
- L'épisode 16.
- Pino.

LES MOINS :

- L'aspect philosophique vraiment brouillon. Voir absurde.
- Un récit trop désordonné.
- Ca manque de couleurs.
- Comment qu'elle est vénère Re-l !
La critique complète est sur mon blog

Une série dotée d'un scenario très dur à comprendre, mais diablement efficace. Un second visionnage est nécessaire pour bien comprendre.

Une série profonde, qui mêle philosophie et action... Le lien proposé ci-dessous en propose une analyse complète.

Une série qui divise beaucoup les fans. D’un côté certains adorent et de l’autre on déteste. Je peux comprendre pourquoi.

Ergo Proxy est une série assez difficile à apprivoiser car les épisodes sont assez décousus et il vaut mieux avoir une explication sous la main pour tout saisir ou passer en mode rewatch. Le plot n’est en fait pas très compliqué mais écrasé sous une tonne de choses pas vraiment nécessaires. D’un côté il fallait bien meubler sur 23 épisodes. Re-L est un personnage génial et vraiment bien imaginé. Vincent est assez… plat et agaçant mais c’est le plot qui veut ça. Le tout début de la série est vraiment bien puis on s’enlise dans des trucs philosophiques sans intérêt (la série n’est pas bonne à cet exercice) pour finalement revenir à quelque chose d’intéressant. La fin n’est pas forcément terrible et aurait pu conduire à une saison 2. (La boîte de prod a fait faillite en 2015 et la série ne s’est pas très bien vendue)

Autre point important, le dessin est parfois très bizarre (Re-L a parfois une tête complètement tordue un peu comme dans les jeux vidéo des années 90 !) et il y a peu de couleurs. Le second point est voulu. Le premier, j’ai des doutes !

Si vous aimez le genre Cyberpunk, je conseille. Sinon, passez votre chemin. Il y a un côté philosophique quand même malvenu.

L'anime propose une vision futuriste, pas spécialement positive même plutôt sombre. L'histoire se passe sous un dôme qui est sensé protéger une ville d'un virus, dans cette ville humain et robot coexistent. Mais des robots se retrouvent contaminés, cela provoque des séries de meurtres et commence à semer le désordre dans le fragile équilibre qui régit la société pendant ce temps le gouvernement conduit des expériences secrètes sur une mystérieuse forme de vie humanoïde baptisée Proxy.
L'opening de cet anime est une très bonne musique qui va super bien avec l'anime.
Et son ending est la musique "Paranoid Android" de radiohead.