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    Le cinéma d'Atom Egoyan

    A l'occasion de la sortie de "Adoration", retour sur la carrière d'Atom Egoyan. Un habitué de Cannes et un réalisateur à la filmographie... troublante. <i>Dossier coordonné par Flora Zaghini</i>

    Résumé :

    Un expert en assurance, sa femme, censeur de films, un ex-joueur de football américain, une apprentie majorette, un podologue, une actrice, un vendeur en luminaires, un collectionneur de papillons et le personnel d'un motel vont, par une suite de hasards voir leurs chemins se croiser.

    A retenir :

    Ce film est le premier dans lequel Atom Egoyan explore réellement la sexualité et l'érotisme, qui deviendront deux ingrédients essentiels de son cinéma. Présenté au Festival de Cannes en 1991 dans le cadre de la Quinzaine des réalisateurs, The Adjuster (qui signifie en anglais, "expert auprès d'une compagnie d'assurances") est inspiré d'un événement qui s'est réellement produit dans le passé, au cours de son enfance. En 1987, alors que Wim Wenders reçoit le prix de 5000 dollars pour Les Ailes du désir au Festival du Nouveau Cinéma et Vidéo de Montréal, il décide d'en faire don à un réalisateur venu présenter Family Viewing : Atom Egoyan. Quatre ans plus tard, lorsque celui-ci reçoit le prix de 25 000 dollars pour The Adjuster, il choisit à son tour de l'offrir à un jeune metteur en scène inconnu, John Pozer, auteur de son premier long métrage, The Grocer's Wife.

    Atom Egoyan nous parle de "The Adjuster" :

    Plus d'infos sur ce film

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