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    5 films érotiques qu’on peut regarder sans se cacher

    C’est toujours un peu gênant de regarder ouvertement un film érotique ! Mais, comme tout genre cinématographique, le cinéma polisson a ses classiques autorisés. En voici cinq exemples qu’on peut voir sans complexe.

    D.R. / Universal Pictures International France

    C’est un phénomène !

    Cinquante nuances de Grey de Sam Taylor-Johnson (2015)

    Synopsis : L'histoire d'une romance passionnelle, et sexuelle, entre un jeune homme riche amateur de femmes, et une étudiante vierge de 22 ans.

    Personne ne vous en voudra de rejoindre la frénésie suscitée par la trilogie Cinquante nuances : elle a déjà récolté plus d’un milliard de dollars au box-office mondial et rassemblé plus de sept millions de Français dans les salles de cinéma ! Puisqu’il ne faut pas mourir idiot, offrez-vous un petit moment sulfureux avec Cinquante nuances de Grey. En plus, vous le constaterez : ce n’est pas si transgressif que ça en a l’air.

    C’est un chef d’œuvre !

    L’Empire des sens de Nagisa Ôshima (1976)

    Synopsis : 1936, dans les quartiers bourgeois de Tokyo. Sada Abe, ancienne prostituée devenue domestique, aime épier les ébats amoureux de ses maîtres et soulager de temps à autre les vieillards vicieux. Son patron Kichizo, bien que marié, va bientôt manifester son attirance pour elle et l'entraîner dans une escalade érotique qui ne connaîtra plus de bornes.

    Cochon et de qualité, c’est possible ? Bien sûr ! Découvrez le plus grand film signé Nagisa Ôshima : L’Empire des sens, véritable déflagration sensuelle et cinématographique. Certes, de nombreuses scènes risquent de vous dérouter, voire même de vous contrarier, mais L’Empire des sens promet de ne pas vous laisser de marbre. La preuve : nous l’avons nous-mêmes gardé dans notre sélection des 100 plus grands films de l’histoire du cinéma !

    C’est un film culte !

    Emmanuelle de Just Jaeckin (1974)

    Synopsis : Emmanuelle est une jeune femme qui vit de manière très libérée avec son mari Jean. Lors du voyage qui la conduit à Bangkok pour rejoindre son époux, Emmanuelle rencontre deux hommes dans l'avion et s'octroie quelques plaisirs fugaces. Durant son séjour, elle fait la connaissance de deux jeunes filles, Marie-Ange et Bee, avec qui elle a une aventure. Jean, quant à lui, décide de pousser Emmanuelle dans les bras d'un sexagénaire pervers...

    Dans les années 1970, ce film érotique a fait neuf millions d’entrées en France. On en connaît tous l’affiche, la regrettée Sylvia Kristel est devenue aussi légendaire que le siège en osier sur lequel elle trône. Avoir vu Emmanuelle au moins une fois dans sa vie en serait presque devenu un devoir citoyen. Soyez patriote : ne manquez pas ce film si fédérateur ! Il vous fera voir les vols long courrier sous un angle nouveau.

    C’est de l’animation !

    Fritz The Cat de Ralph Bakshi (1972)

    Synopsis : Les errances de Fritz the Cat, étudiant contestataire à la recherche du plaisir sexuel. Un personnage d'une B.D. underground, chef de file de la contre-culture américaine des années soixante.

    Vous n’allez tout de même pas faire les timides devant un dessin animé ! Fritz The Cat a eu un tel succès au moment de sa sortie qu’il est devenu le premier film d’animation à franchir les 100 millions de dollars de recettes. On se situe plutôt du côté de la pop-culture que de la polissonnerie : avant de devenir un film d’animation coquin, Fritz The Cat était un comic-book culte des années 1960. Si son adaptation cinématographique est sortie classée X en 1972, vous ne rougirez tout de même pas devant ce chat cartoonesque, étudiant contestataire, parti à la découverte des plaisirs sexuels.

    C'est du patrimoine !

    Polissons et Galipettes de Michel Reilhac (2002)

    Synopsis : Une composition de films érotiques muets du début du XXe siècle. Ces derniers étaient programmés en séances à heures fixes dans les salons d'attente des bordels sophistiqués.

    Il s’agit bien de cinéma pornographique, mais à l’époque du cinéma muet ! Dans les maisons closes du début du XXème siècle, ces messieurs pouvaient visionner de courts films cochons en attendant leur tour. Vous découvrirez que le genre pornographique s’est adapté au cinéma dès qu’il a pu. Vous pourrez aussi constater au passage que les critères de jugement esthétiques ont bien changé en un siècle. Polissons et Galipettes, ce n’est pas du voyeurisme : c’est de la culture !

     

    Cinquante nuances de Grey de Sam Taylor-Johnson (2015)

    C’est un phénomène !

    Synopsis : L'histoire d'une romance passionnelle, et sexuelle, entre un jeune homme riche amateur de femmes, et une étudiante vierge de 22 ans.

    Personne ne vous en voudra de rejoindre la frénésie suscitée par la trilogie Cinquante nuances : elle a déjà récolté plus d’un milliard de dollars au box-office mondial et rassemblé plus de sept millions de Français dans les salles de cinéma ! Puisqu’il ne faut pas mourir idiot, offrez-vous un petit moment sulfureux avec Cinquante nuances de Grey. En plus, vous le constaterez : ce n’est pas si transgressif que ça en a l’air.

    L’Empire des sens de Nagisa Ôshima (1976)

    C’est un chef d’œuvre !

    Synopsis : 1936, dans les quartiers bourgeois de Tokyo. Sada Abe, ancienne prostituée devenue domestique, aime épier les ébats amoureux de ses maîtres et soulager de temps à autre les vieillards vicieux. Son patron Kichizo, bien que marié, va bientôt manifester son attirance pour elle et l'entraîner dans une escalade érotique qui ne connaîtra plus de bornes.

    Cochon et de qualité, c’est possible ? Bien sûr ! Découvrez le plus grand film signé Nagisa Ôshima : L’Empire des sens, véritable déflagration sensuelle et cinématographique. Certes, de nombreuses scènes risquent de vous dérouter, voire même de vous contrarier, mais L’Empire des sens promet de ne pas vous laisser de marbre. La preuve : nous l’avons nous-mêmes gardé dans notre sélection des 100 plus grands films de l’histoire du cinéma !

    Emmanuelle de Just Jaeckin (1974)

    C’est un film culte !

    Synopsis : Emmanuelle est une jeune femme qui vit de manière très libérée avec son mari Jean. Lors du voyage qui la conduit à Bangkok pour rejoindre son époux, Emmanuelle rencontre deux hommes dans l'avion et s'octroie quelques plaisirs fugaces. Durant son séjour, elle fait la connaissance de deux jeunes filles, Marie-Ange et Bee, avec qui elle a une aventure. Jean, quant à lui, décide de pousser Emmanuelle dans les bras d'un sexagénaire pervers...

    Dans les années 1970, ce film érotique a fait neuf millions d’entrées en France. On en connaît tous l’affiche, la regrettée Sylvia Kristel est devenue aussi légendaire que le siège en osier sur lequel elle trône. Avoir vu Emmanuelle au moins une fois dans sa vie en serait presque devenu un devoir citoyen. Soyez patriote : ne manquez pas ce film si fédérateur ! Il vous fera voir les vols long courrier sous un angle nouveau.

    Fritz The Cat de Ralph Bakshi (1972)

    C’est de l’animation !

    Synopsis : Les errances de Fritz the Cat, étudiant contestataire à la recherche du plaisir sexuel. Un personnage d'une B.D. underground, chef de file de la contre-culture américaine des années soixante.

    Vous n’allez tout de même pas faire les timides devant un dessin animé ! Fritz The Cat a eu un tel succès au moment de sa sortie qu’il est devenu le premier film d’animation à franchir les 100 millions de dollars de recettes. On se situe plutôt du côté de la pop-culture que de la polissonnerie : avant de devenir un film d’animation coquin, Fritz The Cat était un comic-book culte des années 1960. Si son adaptation cinématographique est sortie classée X en 1972, vous ne rougirez tout de même pas devant ce chat cartoonesque, étudiant contestataire, parti à la découverte des plaisirs sexuels.

    Polissons et Galipettes de Michel Reilhac (2002)

    C'est du patrimoine !

    Synopsis : Une composition de films érotiques muets du début du XXe siècle. Ces derniers étaient programmés en séances à heures fixes dans les salons d'attente des bordels sophistiqués.

    Il s’agit bien de cinéma pornographique, mais à l’époque du cinéma muet ! Dans les maisons closes du début du XXème siècle, ces messieurs pouvaient visionner de courts films cochons en attendant leur tour. Vous découvrirez que le genre pornographique s’est adapté au cinéma dès qu’il a pu. Vous pourrez aussi constater au passage que les critères de jugement esthétiques ont bien changé en un siècle. Polissons et Galipettes, ce n’est pas du voyeurisme : c’est de la culture !

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