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    Une femme sous influence
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    4,1
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    68 critiques spectateurs

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    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    365 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 octobre 2016
    Déjà que Opening Night m’avait passablement ennuyé mais alors celui là … C’est d’une telle lourdeur dans la mise en scène, les séquences n’en finissent pas et ne m'ont quasiment jamais parlé, Gena Rowlands en fait des caisses comme c’est pas permis (sorte de mère spirituelle de Jennifer Lawrence), rien ne semble avancer, aucun impact émotionnel (si ce n’est peut être le dernier quart d’heure), même quand ça gueule je n’y ai pas prêté plus d’attention, une certaine preuve d'anesthésie faisant son oeuvre donc.
    J’arrête de suite avec Cassavetes, son cinéma ne m’intéresse pas et je n’y vois pas grand intérêt (pour ne pas dire aucun).
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    97 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2014
    Un drame familial d’une grande intensité qui vaut par l’extraordinaire interprétation de tout le casting et une mise en scène extrêmement pure et naturelle de John Cassavetes. Pourtant la réalisation n’est pas extraordinaire : peu de décors si ce n’est quelques images de chantier sinon on reste confiné dans la maison de cette famille, une mise au point à la caméra un peu aléatoire entre les gros plans et les plans larges et surtout un montage souvent plus que surprenant pour ne pas dire catastrophique. Mais les monstrueuses scènes de conflits entre Peter Falk et Gena Rowlands sont parfaitement écrites et on ne se doute pas du jusqu’au boutisme de la tournure des évènements. Avec la famille, les amis et surtout les trois enfants au milieu de ces joutes verbales, on ne peut s’empêcher de serrer les dents en espérant ne pas voir le pire. Un film sous tension qui fait mal où la performance de Gena Rowlands est si extraordinaire qu’on n’en veut même pas à Peter Falk de succomber à cette folie jusqu’à porter la main sur elle pour la faire revenir parmi nous…
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 juillet 2014
    Ce film est d'une intensité incroyable, je comprend pourquoi il souvent cité comme Le chef d'oeuvre de John Cassavettes. Les acteurs donnent et les angles, les cadrages, amplifient toutes les émotions et l'intensité du film. En effet tout est constamment filmé en gros plan ce qui renforce les personnages qui sont extrèmement marqués et forts (je parle de caractère fort pas de leur muscles). Vous l'aurait compris la mise en scène est époustouflante et les acteurs tel que Gena Rowlands, Peter Falk sont juste incroyables.
    J'aimerais m'arrêter sur Gena Rowlands, elle joue une "folle", ses actions, ses paroles, ses gestes ne sont en aucun prévisibles et donnent un réalisme juste impressionnant. On pourrait croire, durant le film, vivre avec cette famille. Son jeu de folle n'a rarement été égalé, voir même à mon goût c'est le plus extraordinaire(Pourtant j'aime les films sur la folie). Des scènes marquent les spectateurs par son jeu, elle danse le lac des signes(je suis pas sure de la musique) avec une gestuelle à la fois crispée et détendue. C'est difficile à expliquer, elle est détendue par la musique et l'adore mais ses gestes sont brusques et dérangés du fait de sa folie.
    spoiler: Au début de la critique j'ai mis entre guillemets le mot folle car à mon goût ce film ressemble à "Vol au dessus d'un nid de Coucou" de Milos Forman (Un chef d'oeuvre, je vous le conseil) où la folie est décrite comme l'influence des autres. Je m'explique, dans le film de Forman, le personnage que joue Jack Nicholson déclare aux autres personnes de l'asile qu'ils ne sont pas fous et tout le film cherche à nous faire comprendre que ce sont les infermières qui en sont la cause ( de leur "folie"). Dans "Une femme sous influence" les personnages entretiennent leur états émotionnel fort qui vont pousser les personnages à agir de façon étrange, mais avant tout ce sont des êtres humains et il est normal de ressentir des émotions et après d'agir en les contenant. Donc ici les personnages pourraient être "fous" à cause des émotions qu'ils entretiennent ensemble (ils s'influences). Ce n'est pas étonnant pour une famille car vivre ensemble donne lieu à beaucoup d'émotions. C'est ma thèse sur le film, je ne suis pas sure mais cela expliquerait le titre du film et c'est ce que j'ai ressentit en voyant le film. Aussi le personnage de Peter Falk peut être considéré comme "fou" à certain moment vu ses réactions et ses actes, notamment vers la fin du film et en observant ses changements d'humeur tout au long du film. Pour le coup à la fin c'est totalement l'influence des autres qui agit sur ces actes, c'est très marqué.

    Les cadrages comme je l'ai dis précedemment exagèrent toutes les expressions des personnages principaux, c'est à dire le père et la mère. Mais Cassavettes ne se focalise pas seulement là dessus à travers sa caméra. En effet il filme d'une certaine manière les enfants. Il les rend innocents, purs et d'une bonté infinie. L'atmosphère égrit avec les parents qui se disputent va nous envahir d'émotion en présence des enfants. On ressent la colère ou la tristesse à forte dose qui mélés d'une intensité si forte (qui est présente pendant tout le film) sont amplifiées, je ne serais pas étonné que certains est pleuré ou est cassé leur ordinateur pendant le film. Sauf que ça n'a pas été mon cas.
    Même si le film est très intense, il reste quand même douteux au niveau des émotions. Les enfants nous font ressentir des émotions mais un scénario plus pertinent aurait été à la bien venu. Les scènes avec les enfants sont fortes mais pas assez à mon goût et le manque que j'ai ressentit vient du scénario ou plûtot de l'histoire qui est quand même restreinte. J'aurais aimé que Cassavettes joue plus sur la joie, sur l'espoir pour que la tristesse ou la colère soient plus marquées. Le film "Crias Cuervos" de Saura (Le chef d'oeuvre absolue à mon goût) est un parfais exemple du procédé que je vient de vous énuméré, il y a aussi "la vie est belle" de Capra où le précédé est fait à l'envers, de la tristesse pour la joie. Si Cassavettes avait fait cela j'aurais mis 5 sur 5 car c'est un véritable chef d'oeuvre en terme de jeu, de mise en scène ou d'intensité mais il reste quand même incomplet en émotion et c'est ce que j'aime dans le cinéma. J'aurais aimé "passer du rire au larme" (rire est quand même un peu exagéré).
    Le scénario présente aussi des défauts dans le sens où les scènes tournent toujours à peu près autour du même sujet, les lieux sont aussi les mêmes et les personnages aussi. Cela donne un sentiment de renfermé, de restriction. Ce n'est sans doute pas le budjet ou la production qui est la cause de cela mais juste un choix de l'auteur puisque son film shadows, réalisé en 4 jours il me semble, ne présente pas ces défauts.
    En conclusion ce film est d'une intensité rare, les acteurs jouent divinement bien, les choix de réalisation sont admirables mais le scénario est quand à lui moyen puisqu'il est fondé sans doute sur des mauvaises bases. Le film malgré ses défauts reste quand même un excellent film qui a marqué l'histoire du cinéma et qui est et restera culte.
    J'ai baissé un peu la note, que j'aurait mis à 4, à cause du fils de John Cassavettes et de Gena Rowlands, Nick Cassavettes. Il a fait des vraiment mauvais film, il y a par exemple "triple alliance".
    Sammy-Jankis
    Sammy-Jankis

    12 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 octobre 2014
    Waouh quelle tension !! Film "psychologique" au sens premier du terme, Une Femme Sous Influence du grand Cassavetes traite de sujets tels que la folie, la norme, l'amour, la famille... le tout empreint à la fois d'une finesse remarquable et d'une violence inouïe. Le duo d'acteur (Peter Falk toujours parfait et Gena Rowlands totalement hallucinante) est scotchant , l'émotion va crescendo, le scénario est toujours juste, la mise en scène en béton.

    Film culte, à voir d'urgence.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    117 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mai 2014
    Puissant portrait de femme au foyer qui dès lors qu'elle est assignée à normalité telle que la société bien-pensante l'entend et l'exige de ses sujets (les citoyens quelle que soit leur classe sociale), devient comme coupée d'elle-même et des siens, aussi méconnaissable qu'un Malcom Mc Dowell post-apprivoisé dans Orange Mécanique, nourri qu'il est à la violence pour mieux la vomir... D'où cette scène finale géniale où Peter Falk ne reconnaissant plus la femme qu'il aime, qui'il a aimée malgré ses accents de folie, l'exhorte à le redevenir sous peine de dépérir (comme son foyer) sur le champs. Grand acteurs, moments de vraie vie qui terrassent par leur vérité, Cassavetes aime Gena Rowlands, aime les femmes, aime ses acteurs, aime les oubliés du rêve américain.. Et le prouve !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 décembre 2013
    Mon premier Cassavetes. Autant dire que pour un début, j'ai eu du mal. Que signifie ce drame où la folie affleure chez la femme comme chez le mari, et où pointe une misère sous-jacente au coeur d'un foyer visiblement confortable ? Le film met très mal à l'aise, vraiment. Peter Falk est un gros con, Gena Rowlands est une tarée, mais hormis cela, que doit-on comprendre de ce film ? Qu'il faut sauver les apparences, ou que la folie est relative ? Quoi qu'il en soit, franchement, je me suis ennuyé tout au long de scènes plus WTF les unes que les autres (les coups portés par le mari sur sa femme, la scène du médecin, la chute de l'ouvrier poussé dans le vide, les gamins qui picolent avec leur père à l'arrière du camion, etc, etc...). J'espère n'avoir pas compris, mais j'ai bien peur qu'il n'y ai rien à comprendre. Peut-être le contenu sera plus accessible une fois le film placé dans le contexte de l'oeuvre de Cassavetes. Je l'espère...
    Julien D
    Julien D

    1 115 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 novembre 2013
    Quand John Cassavetes passe dans le registre du cinéma intimiste, filmé en quasi-huis-clos dans un pavillon de banlieue, il ne peut s’empêcher de nous dépeindre le drame bouleversant d’un cocon familial en pleine crise et d’une femme marginalisée par ses proches. Interprétée par une Gena Rowlands débordant de délicatesse, le personnage de Mabel Longhetti se réfugie en effet dans un comportement irrationnelle pour échapper à sa condition stressante et à la pression que lui créé sa situation de mère de famille, au grand détriment de son mari désemparé, interprété lui par un Peter Falk plus naturel que jamais. Le doute concernant la gravité de l’état de santé mental de cette pauvre américaine de la classe moyenne plane du début à la fin, nous renvoyant aux sempiternelles questions de la limite entre folie et raison et de la perte d’identité dans une société où les convenances passent avant l’émancipation personnelle.
    Hotinhere
    Hotinhere

    429 abonnés 4 766 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 septembre 2013
    Portrait d’une femme au foyer au bord de la dépression incarnée avec talent (et impro !) par la performance déjantée de Gena Rowlands.
    Mathias Le Quiliec
    Mathias Le Quiliec

    44 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juillet 2013
    Un bon film mais un film étrange, je me suis ennuyé par moment, une impression de longueur parfois. La réalisation est génial par contre. Peter Falk est bon et Gena rowland est juste extra ! Elle tient le film a elle seule. A voir.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 janvier 2013
    Cassavettes filme à merveille un couple à la dérive. Exceptionnelle performance de Gena Rowlands ! Elle incarne la folie, elle est en elle, on est mal à l’aise rien qu’en la regardant évoluer…
    Ricco92
    Ricco92

    181 abonnés 2 092 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 janvier 2013
    Un film d'acteur, Une femme sous influence en est un. Effectivement, Cassavetes joue tout sur ses comédiens. Comme John Ford, il préfère une prise qui souffre d'erreurs techniques (le film en possède quelques unes) mais d'où se dégage une émotion à une prise esthétiquement parfaite mais sans âme. D'âme, les interprètes n'en manque pas et en particulier Peter Falk et Gena Rowlands, qui libre tous deux une composition impressionnante.
    Nous sommes face à un film très intimiste traitant la folie et ses conséquences sur ses proches (à force de cotoyer la folie, on le devient un peu soi-même pourrait dire le personnage de Peter Falk) d'une manière très réaliste.Ce réalisme se retrouve également par l'absence d'effet esthétique (lumière réaliste, pas d'effet de cadrage, si on excepte les effets de cadre dans le cadre dans le hall d'entrée au début du film) et par la durée des séquences (toutes assez longues et ne contenant pas d'ellipse interne).
    Le seul reproche que l'on pourrait faire à ce film concerne sa durée car 140 minutes de disputes et de cris peuvent paraitrent un peu longs à la fin.
    Malgré cela, les amateurs de drames psychologiques intimistes devraient pouvoir y trouver leur compte.
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    163 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 septembre 2012
    Après avoir été laissé perplexe par "Shadows" et "faces", "une femme sous influence" m'a enfin un peu plus donné envie de découvrir ce formidable auteur indépendant qu'est John Cassavetes. Même si je ne tombe pas des nues face à sa mise en scène ou sa vision artistique, il faut tout de même avouer que les personnages et leurs interprètes offrent un spectacle de haute facture. Histoire peu singulière d'une femme défiant tout conformisme au bord de la rupture qui fini par plonger dans une profonde crise mentale et une dure épreuve pour sa famille. Un talent à l'état brut.
    JeffPage
    JeffPage

    34 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 septembre 2012
    Avec "Une femme sous influence", John Cassavetes livre le portrait d'un couple, et plus particulièrement la femme, d'un couple d'age mûrs alors que celui-ci se détruit lorsque la femme sombre dans la folie.
    Cassavetes poursuit son exploration des middle class américaine avec ce film sur la folie, la famille et le difficultés d’être parents. Donnant toujours la liberté à ses acteurs, Cassavetes promène sa caméra dans des décors sobre mais ultra réaliste au rythme d'une bande son mêlant thème émouvant et musique classique.
    Coté acteur, on à toujours la "Famille Cassavetes" avec sa femme, Gena Rowlands, incroyable tant sa folie se lie jusque dans son regard, et Peter Falk, toujours sur la corde raide entre son rôle de mari et de père, et incroyablement émouvant lors de la scène où celui-ci rentre de la plage avec ses enfants.
    Au final, on a affaire à l'un des meilleur film de John Cassavetes et à un chef d'oeuvre du cinéma, tout simplement.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 août 2012
    Film passionnant, ambitieux, d'excellente qualité... Film sur la société, l'enfance (Cassavetes se montre d'ailleurs, à travers ce film, incroyable cinéaste de l'enfance), l'amour, la famille... Une femme sous influence est une tragédie. Les rires, pourtant nombreux dans le film, sont en fait terriblement tristes. "Une femme sous influence" montre une humanité détruie par le travail mais également par l'ensemble de la société, qui ne sait plus aimer. C'est un film sur la reconstruction, sur la réparation du couple. Réparation à laquelle contribue les enfants, dont la pureté s'accompagne d'un amour naturel de la mère de celle en dépit de tous les codes culturels (Les enfants continuent à aimer leur mère malgré la folie grandissante de celle ci). Au début du film, Peter Falk rentre tard; Gena Rowlands l'attend en buvant. Elle sort, ramène un homme. Le couple explose peu à peu. Puis Mabel (Gena Rowlands) est envoyée en institut psychiatrique. C'est le désespoir de Mabel qui va entrainer la mort du couple. La liaison est rompue au sein de celui ci : Falk ne parvient plus à comprendre sa femme et ne peut donc plus l'aider, il la frappe. La société, le travail, la culture ont détruit l'amour. Puis viennent les magnifiques séquences de la réparation. Falk se rapproche de ses enfants, et en même temps de Gena Rowlands. Il connait des moments de simple complicité puis d'amour et commence peu à peu à ressentir à nouveau de l'amour pour sa femme. Porté par l'amour, il lui organise une grande fête. Puis dans la séquence finale, l'amour renait peu à peu dans le couple à travers les baisers de Gena Rowlands à ses enfants fictifs. Film magistral sur le couple. Au niveau de la mise en scène, comme à son habitude Cassavetes excelle. Les plans sont esthétiquement très beaux. La gestion du mouvement est originale et de grande qualité. Les acteurs sont incroyables, mention spéciale à Peter Falk qui signe la meilleure performance de sa carrière (Opening night pour Gena Rowlands). Un film absolument flamboyant de qualités avec en prime la meilleure utilisation du Lac des Cygnes de Tchaikovsky au cinéma. A voir! (15.5/20)
    cylon86
    cylon86

    2 275 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juillet 2012
    Un film bouleversant qui prend à la gorge, voilà ce qu'est "Une femme sous influence". John Cassavetes nous plonge dans l'intimité du cocon familial qui se détériore, il filme les pressions sociales, la lourdeur des conventions et la folie avec un œil aiguisé, nous livrant de longues séquences où les cris et même parfois les coups sont de mise. Gena Rowlands y est impressionnante de justesse dans le rôle de Mabel, cette femme qui perd contact avec la réalité que les conventions imposent face à un Peter Falk touchant en mari qui veut simplement avoir auprès de lui la Mabel qu'il a connu et aimé. Oui il y a des longueurs surtout sur la fin mais elles sont nécessaires car en jouant sur la durée, le cinéaste nous offre ce qu'il veut être la vérité et permet aux acteurs de s'exprimer avec brio. Du début jusqu'à la fin, ce film est terriblement magnifique, jamais on n'aura filmé la folie avec une telle intimité et une telle justesse.
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