Avis : Poltergeist - Page 7

Poltergeist est un film fantastique et je parle la du genre car comme qualificatif ce n'est pas celui la que j'emploierait pour en parler tant le film est passable. L'histoire qui est censé parler de fantômes est enfaîte un énorme fourre tout sans vraiment de fil conducteur. Pourtant le film prend le temps de se mettre en place et petit à petit les phénomènes étranges vont devenir de plus en plus puissant mais les limites sont vite atteinte. Je me suis souvent ennuyer et le film m'a sembler beaucoup trop long. Pourtant je trouve cette famille unis et plaisante et les acteurs qui les incarnent sont vraiment bons. L'ambiance est très particulière avec la voix de Carol-Anne qui les appels et la b.o. accompagne bien le tout. La réalisation est réussi et les effets spéciaux franchement excellents. Malheureusement ça part un peu dans tous les sens on dirait qu'ils avaient trop d'idées et du coup on a spoiler: des fantômes, des arbres qui deviennent vivant, des tentacules
et pleins d'autres choses qui ne vont pas les uns avec les autres. Mais le pire c'est qu'après deux heures de film on nous sort une fin vraiment pas à la hauteur mais ça a au moins le mérite d'être en accord avec le reste de l'histoire qui n'est pas bonne. Au final Poltergeist ne fait pas peur et ne traite pas correctement son sujet et malgré quelques bonnes choses ne mérite pas d'être regarder tant il est long et pas franchement intéressant.

Poltergeist est vraiment un film déroutant, et unique en son genre. Je ne m'attendais pas du tout à ça en lançant son visionnage. Plusieurs univers coexistent étrangement, à la lisière entre le film d'horreur, le film fantastique et le film familial, on ne sait pas trop si c'est censé faire peur, ou simplement divertir tant la surenchère horrifique le rend quasi nanardesque (dans le bon sens du terme). Y'a un petit côté Evil Dead 2, voire Gremlins dans l'atmosphère.

Pour ceux qui me rétorqueront que ça faisait peur pour l'époque, je leur réponds qu'il y a pléthore de films qui faisaient bien plus peur à l'époque : Shining, l'Exorciste, Psychose, Rosemary's Baby, Carrie, La Maison du diable et j'en passe.

Le montage est erratique à certains moments, comme s'ils avaient dû composer avec les images qu'ils avaient, ce qui accentue l'étrangeté du film, qui se tient un peu comme il peut.

Néanmoins, Poltergeist dégage quelque chose d'intéressant sous son apparence de créature de Frankenstein bringuebalante et rapiécée, une sorte d'aura mystérieuse, que j'ai du mal à cerner. J'aime particulièrement le début du film, pendant la tempête. La seconde partie est un peu longue et aurait été plus efficace avec 20 minutes en moins.

Un classique du genre, qui a par moment mal vieilli, mais qui provoque toujours son lot de frissons.
On sent parfaitement l'apport qu'a pu apporter Steven Spielberg. A voir au moins une fois.

On sent bien plus l'univers de Spielberg, qui a bien sûr écrit le scénario et produit ce film, que de hooper, aussi bien que dans la réalisation, des décors, que dans l'interprétation. Les effets spéciaux sont vieillotte, mais le culte est bien là et l'aisance sur le montage est de faite d'un scénario plutôt original pour le coup ! Et la malédiction sur ce film me semble quelque peu frissonnant ! Craig T Nelson est génial, qui joue le père idéal et protecteur, et les second rôles sont au diapason. Le mystère qui plane autour de cette affaire est passionnante ! Il y a bien eu des suites inutiles et une série, tres approchant de l'atmosphère de ce film brillant et flippant dans son ensemble ! '

Pour son sixième long-métrage, Tobe Hooper s'est fait (r)attrapé par Spielberg. Étant donné que le metteur en scène des "Dents de la mer" ne pouvait pas cumuler le poste de réalisateur sur deux projets en même temps ("Poltergeist" et "ET"), Hooper a été appelé à la rescousse pour apposer son nom au générique de ce métrage. Et comme Spielberg est à la barre, ce cru fantastique se déguste à la Spielberg. Son équipe se formant sur ce projet (Michael Kahn s'occupe du montage, Kathleen Kennedy est la productrice associée) et première du cinéaste à s'occuper de la production d'un film, le futur réalisateur de "Jurassic park" s'en sort plutôt bien : direction d'acteurs, effets spéciaux, script (c'est lui qui a écrit l'histoire !) et mise en scène.
Scénario, donc, de "Poltergeist" : une famille américaine type doit faire appel à des parapsychologues lorsque d'étranges phénomènes apparaissent dans leur maison, et que leur fille communique avec des êtres de l'au-delà... .
D'abord, Jerry Goldsmith (compositeur oscarisé pour "La malédiction", avec Gregory Peck) nous offre des partitions musicales appréciables, partent du bon pied pour mieux nous emballer pendant les scènes d'épouvantes. Une bande-son cool, de bonne facture qui stimule à merveille nos oreilles. Ce qui aurait pu présager une ambiance qui ne plombe pas le film en lui-même. Car les effets spéciaux particulièrement faciles mais néanmoins bétonnés peinent à exister sous l'effet de cette atmosphère d'épouvante. De fait, ces effets à la "SOS Fantômes" rabaissent cette ambiance d'épouvante-horreur à un genre que je qualifierai aujourd'hui de fantastique. Maître Spielberg est ainsi le meneur de jeu en insufflant du spectaculaire pour du spectaculaire. Et ça marche... . Il manque, ici, un effet de style à la "Shining" pour maintenir une pression suffisante sur le spectateur. Ainsi qu'une mise en scène endiablée et poignante. En un mot : racée.
Ensuite, le casting, bien que très peu exploité, remplit le contrat spielberguien sans aucune contrefaçon : famille américaine type avec chien, mari prospère, femme au foyer et, bien sûr, enfants, avec un lot d'émotions qui n'est pas sans rappeler l'un des thèmes fétiches du réalisateur du récent "Lincoln". Ceux qui remportent la palme haut la main sont Heather O'Rourke (qu'on reverra uniquement dans les deux épisodes suivants), parfaite, dans le personnage culte de Carol Anne, et la grand mère psychologue décatie, l'aigrie (et regrettée) Zelda Rubinstein (revue dans les opus deux et trois de la trilogie) exécrable au possible.
Enfin, "Potergeist" premier volet qui engendra une trilogie, est considéré comme un film malédiction à cause des décès précoces de deux jeunes actrices (dont Heather O'Rourke). Deux autres acteurs du second volet décèderont aussi. D'où la naissance d'une saga possédée par les démons.
Pour toutes ces raisons, "Poltergeist" (1982), film culte ancré dans l'époque des 80's, est entré dans la légende du genre fantastique et peut, par l'industrie actuelle hollywoodienne, se voir doter de milles et uns remakes.
Accord parental souhaitable et interdit aux moins de 15 ans.
Spectateurs, spectatrices, aimez vous les fantômes ?

Un excellent film d'horreur à l'ancienne, avec les bonnes vieilles méthodes pour effrayer le spectateur (et ça marche!)! Les acteurs sont très bons, et même si l'histoire a été faite et refaite au cours de ces dernières années, l'original reste inégalé! A voir pour tous les fans du genre!!!

Poltergeist est un film d'horreur classique sur les phenomènes paranormaux. Une famille se fait harceler dans leur maison par des esprits. Le film souffre de longueur mais son histoire et ses effets visuelles rehaussent le niveau. On retient quelques scènes anthologiques spoiler: Le clown étranglant le fils de la famille
ou bien la scène spoiler: dans la piscine avec les (vrais) cadavres
. Steven Spielberg producteur du film) était très impliqué dans le projet, tellement impliqué qu'il aurait selon des rumeurs réalisé le film à la place de Tobe Hopper (Massacre à la tronconneuse). Un film sympa et bien réalisé. 6.9/10

Que peut-on dire de cette chose ? Déja que c'est un très mauvais film, bête, avec des effets spéciaux d'une rare mocheté. Pour cequ'il y est du suspense, soyons clairs, il n'y en a pas, et cela en serait même presque drôle. Tout est abracadabrantesque et parfaitement navrant. Nul, trois fois nul

"Poltergeist" débute comme un film fantastique plan plan, avec sa famille typique US installée en banlieu proprette. Mais rapidement, le réalisateur oriente le récit vers le film d'horreur à grand spectacle, et l'on sent que Spielberg a dépassé son simple rôle de producteur tant sa patte est visible. Contrairement aux films d'horreur plus subtils qui jouent sur le suggéré, "Poltergeist" est bourré d'effets spéciaux, au point de laisser le scénario de côté. Résultat, le spectacle est là mais le film a vieilli, et l'on a l'impression d'osciller en permanence entre l'horreur pur jus et le fantastique familial (conséquence du duo Hooper / Spielberg ?). Le film reste tout de même très honorable, et propose quelques séquences très réussies.

Un imminent classique de l’épouvante. Poltergeist en plus d’une écriture intelligente et fédératrice pour le genre, offre quelques petites pépites visuelles.

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Très bon film sur les méfaits de la télévision dans les familles !

L'idée est originale et on se fait pas trop trop chier mais de là a ce que cela soit un classique je suis pas convaincu... De l'horreur aussi ? oui mais pendant 10 secondes àpres c'est vraiment du fantastique quoi. LEs acteurs sont pas vraiment convaincants même si la gamine est une figure emblématique du cinéma fantastique devant la télé et que ça a du inspirer de nombreux films et de nombreux ragots après la morts de 2 actrices du film... NB: J'ai bien rigolé au début avec les credits ou steven spielberg apparait au moins 5 fois ... c'est bon steven, on le sait que c'est toi qui produit et scenarise...

Un film que je regardais régulièrement pendant mon adolescence, et qui est un peu comme une madeleine de Proust pour moi, avec le style si particulier du début des années 80', que ce soit dans l'habillement, dans les coiffures, ou dans la façon de se maquiller des actrices. Beaucoup de choses ont assez mal vieilli cependant dans ce film : tout ce qui est effets spéciaux, spectres et compagnie. La musique omniprésente également est quelque chose qui est typique de ces années là, mais qui a totalement disparu de nos jours. Par contre, certains plans sont éternels. C'est vraiment culte et n'a pas pris une ride, c'est même super stylé : quand Carol Anne se retourne pour dire "They're here!", quand la mère de famille se retrouve collée au plafond, quand tous les objets volent en rond dans la chambre, ou encore ce sublime plan où l'on voit le couloir avec la porte fermée au bout et les contours de la porte oranges, avec ce couloir qui semble s'allonger.
Bref, un super film fantastique, qui a vieilli certes, mais qui fait toujours plaisir à revoir.

Ce film fantastique des années 80 est devenu une référence du genre grâce à ses effets spéciaux impressionnants. Les manifestations surnaturelles présentes dans le film font toujours leur petit effet (la télévision à l’image brouillée, l’arbre hideux, les personnages et les objets de la chambre littéralement aspirés etc.). Pourtant, « Poltergeist » alterne le bon et le moins bon. Les meilleurs passages sont la marque de Tobe Hooper : la face sombre du film. Le steak vivant, la cuisse de poulet pleine d’asticots, le visage déchiqueté du scientifique devant une glace, les squelettes sortant de la piscine, les tombes surgissant de la maison et du jardin, restent des moments forts du film. En revanche, la longue partie centrale fait penser à un « Rencontres du 3ème type » version esprits frappeurs. Difficile de ne pas y voir la patte de Steven Spielberg. L’intervention des spécialistes en phénomènes paranormaux est légèrement convenue. Certains passages sont un peu « gros » comme les objets qui volent sous le nez de l’équipe de scientifiques. On finit par ne plus sursauter car rien n’est suggéré, tout est montré. Même si les éclairs et autres effets de lumière nous en mettent plein les yeux comme lors du sauvetage de la fillette dans le tunnel. Cette débauche de moyens techniques alliée à un ton quelque peu décalé desservent ce film pourtant inoubliable.

Ça avait commencé par une petite baffe fantastico-horrifique sans être épouvanté puis s'est transformé en claque monstre sacré. Par le réalisateur du massacre à la tronçonneuse bruyante qui fait même pas peur, ce n'est pas un serial killer mais un esprit frappeur qui hante la maison de cette famille trop tranquille si on peut dire. Un chef-d'œuvre entre l'exorciste, le film d'horreur classique où l'on attend que l'heure tourne pour se montrer, les objets se déplacent de façon irrationnelle, John Carpenter, George A. Romero mais c'est Tobey Hooper qui le réalise, ou c'est encore Steven Spielberg qui revient de droit au scénario. Avec cette télévision frappée des esprits attire la mythique petite blonde trop chou Carol Anne, avant The Ring, c'est une épouvantable réalisation succulente. J'en redemande jusqu'à la fin, la boîte électrique diffusion d'image est subtilement subliminale, le bien lutte contre le mal constamment et ça continue à l'issue. Dans une Amérique Star Spangled Banner décennie 80 où il y avait un homme, un président de l'époque E. T l'extraterrestre et Star Wars, the hardcore fan. La psychologie paranormale aide la famille bénévolement, touchée en plein cœur, une force surnaturelle l'obscure clarté, lumière et ombre sens contraire ensemble dans la mise en scène. Un film culte maudit ou ses acteurs l'étaient déjà, maladie existentielle n'importe quoi n'importe comment pour inventer des histoires à dormir debout afin de continuer d'entretenir sa flamme qui frappe l'esprit.