Avis sur Piranha 3D

Après la déception qu'a été Mirrors, Aja se rattrape en nous donnant le film le plus jouissif et le plus gore de ce début d'année, rien que pour la scène de massacre des teenagers par les piranhas le film vaut vraiment la peine d'être vu.
Par contre si on peux passer sur l'histoire qui est pas très original, et les personnages sans surprise à part celui du producteur complétement pété, j'aurai aimai qu'il aie plus de suspense et que l'on voit un peu plus de victimes bouffés par les piranhas individuellement, car on a parfois pas le temps d'apprécié le magnifique travail de dégraissage de ces petits voraces.

Un film d'horreur loin d'être effrayant, mais qui en revanche est très drôle, amusant et divertissant, avec des scènes ultra-gores et de l'hémoglobine à foison. Une réalisation à prendre au second degré !

Piranha 3D est exactement ce qu'il devait être : une comédie horrifique ultra-gore et jouissive. L'histoire est bien ficelé (très tiré par les cheveux mais on s'en fout ) , les acteurs sont assez cool (par contre les personnages sont vraiment trop clichés). La musique est sympa, elle correspond bien au film. Et les scènes de gores... Oh mon dieu ! Comment ce film a pu avoir "seulement" -12 ?! Il devrait être au moins -16 vus la violence de certaines scènes ! Et tant mieux, car on est là pour ça ! Il y a juste les scènes de cul qui, pour moi, n'étaient vraiment pas nécessaire. Un bon gros carnage comme on les aime !

Histoire d'horreur classique mais qui à quand même un sens. Y a tout d'un film d'horreur : des filles super canon, une ambiance de fête et un truc qui vient tout gacher en giclant du sang !!! Thème un peu orginal et bien filmer, mais les effets spéciaux défois j'ai l'impression qui sont inachevé tellement qu'on voit que c'est fait à l'ordinateur !!! Mais on est fiers que ce soit un réalisateur français et qu'on voit Christopher Lloyd (Retour vers le futur) à l'écran ;) Film à voir avec des potes.

C'est toujours la même rengaine: ne prenant pas au sèrieux les avertissements des autoritès dèbordès, des milliers d'ètudiants viennent faire la fête et se jettent à l'eau! Et bientôt, il n' y a pas que l'alcool et les seins siliconès qui vont couler à flots...Après son remake rèussi de "La colline a des yeux", le français Alexandre Aja remet au goût du jour - et à l'heure de la 3D qui rend les piranhas virtuels dècevants - les poissons monstres devenues stars de l'horreur avec le premier "Piranhas" de Joe Dante en 1978! Pour une petite partie de survival qui, comme son prèdècesseur, ne manque ni d'assaisonnement, ni de second degrè avec une scène d'anthologie de 15 minutes ultra-gore entre ètripage, dèmembrement et èmasculation. "Piranha 3D" ne sèduira pas que la gente masculine avide de belles filles aux mensurations de rêve, il plaira aussi aux amateurs du genre! Retenons ègalement le tournage d'une scène lesbienne aquatique particulièrement dèbile (Kelly Brook plus bimbo tu meurs) où l'on se demande comment les deux actrices font pour tenir leur respiration aussi longtemps! La belle Elisabeth Shue (Christopher Lloyd fait même parti de la distribution et nous gratifie d'une clin d’œil cinèphilique à "Retour vers le futur") remonte heureusement le niveau sans pour autant se mettre en maillot de bain! Notons pour finir que le pauvre Richard Dreyfuss finit en steak tartare à peine le gènèrique commencè! Une sèrie B totalement assumèe mais jouissive par moment...

Le scénario de bas : Le spring break attaqué par des piranhas préhistoriques. Le résultat ? Un agréable moment (si j'ose dire xD). Ok y a pas vraiment un scénario poussé, les acteurs sont pas vraiment crédibles mais les passages bien gore et les attaques de piranhas sont les moments fort du film. Un bon petit film d'horreur bien gore à voir.

Alexandre Aja est un réalisateur capable du meilleur comme du pire, et malheureusement, Piranha 3D appartient à la seconde catégorie:
Les acteurs sont tous plus pathétiques les uns que les autres (à croire que les actrices ont toutes été choisies en fonction de leur tour de poitrine et non de leur talent...), le scénario est bidon et trop banal, bref, il n'y a rien à sauver. Pardonnez ma vulgarité, mais Piranha 3D, ce n'est que du gore et du cul. Ne vous attendez pas à autre chose. Certaines scènes sont grotesques au possible, et même si j'apprécie le second degré en règle générale, je n'ai pas ne serait-ce que souri en regardant ce pur navet d'"horreur".
J'ai beau chercher, je ne trouve aucun intérêt à ce "film": il amoncelle les clichés, est prévisible, pas fun...Heureusement, je n'attendais pas grand-chose de Piranha 3D, donc ce n'est qu'une mince déception (la critique est courte, car j'estime que le film ne mérite pas que l'on s'y attarde plus longtemps). Qu'est-il advenu de l'Aja de Haute Tension et de La Colline A Des Yeux ?

La note des spectateurs baissent avec le temps, à sa sortie le public avait pourtant bien comprit le délire de Aja avec toutes ses références aux films des années 70/80... à croire que certains ne savent pas analyser un minimum un film et ses objectifs !! En tout cas, 'Piranha 3d' et un excellent monster-movie !!

Film pour les hommes, gros nanar avec pétasses aux gros seins, et quoi d'autres? Rien, c'est pas gore, c'est pas violent, ça fait pas peur et c'est pas drôle.

"Ça c'est bien ça !" qu'on m'a dit. Et il est vrai que ce Piranha 3D m'a plu via son coté décalé, absurde et hilarant. A prendre au 2ème degré bien sur, ce n'est pas un film d'horreur basique que tout le monde regarde, c'est une sorte d'hommage aux cultes comme Braindead avec du sang partout et de la violence exagérée. L'ampleur que prend le film est hilarante, avec des scènes énormes qui m'ont fait exploser de rire ( spoiler: Comme le piranha qui recrache le pénis du mec
). Je reproche juste que la fin est mauvaise, ça laisse un mauvais présage pour un prochain film qui risque d'être uniquement à but commercial.
Le visuel est beau, un peu spécial, mais ce qui est épatant c'est que l'histoire tient la route, et est crédible !
C'est donc tout le coté décalé, hilarant et visuellement "rouge" qui fait de ce Piranha 3D un bon divertissement délirant.

ON NE NOUS A PAS MENTIT !!! c'est tout ce que je peux dire !!!

l'affiche du film nous mettait déjà en condition, elle nous promettait du "Soleil, Sex et Sang" et c'est exactement le cocktail fulminant auxquelles on a eu droit ... ils auraient pu également rajouter fun et là c'était parfait ...

Contrat remplit c'est tout ce qu'on demandait !!

La jouissivité transcendée, un pur kiff à la 80's, gore et hilarant à souhait, le tout entouré de bimbos, juste énorme !

Le temps d'un film, Alexandre Aja a décidé de retrouver son âme d'adolescent attardé pour signer l'ultra-décomplexé « Piranha », et en 3D qui plus est ! Ce « pop-corn movie » bourré d'hormones en ébullition et d'hémoglobines en fusion, est en quelque sorte un plaisir coupable, entre le gros navet qui s'assume totalement, et le film-gore jubilatoire qui en met plein la vue !
Le petit français expatrié à Hollywood qu'est Alexandre Aja a déjà prouvé qu'il savait faire de très bons films d'horreurs. Malgré le foireux « Mirrors », « Haute tension » avec Cécile De France et Philippe Nahon, et surtout son excellent remake de « La colline à des yeux » sont deux bons arguments pour étayer ce fait. Et franchement, après visionnage de ce « Piranha 3D », on peut aisément penser que si ce n'était pas lui qui l'avait mis en scène, on aurait pu se retrouver avec dix fois pire sur les bras ! Car les principaux bons points sont à adresser au jeune réalisateur : une photographie stylisée et de qualité, des effets vraiment réussis, et surtout une totale maîtrise de son sujet, comme lors de la scène de la grande attaque des piranhas, où l'hyper-violence se mêle à un humour noir au vingtième degré, tout en conservant une tension palpable. Sorte de « Dents de la mer » à la sauce « Braindead », ce spectacle calibré pour les salles de ciné n'offre quasiment que du fun, du fun et du fun, théorie appuyée par les centaines de litres de sang utilisées, les gags macabres et l'humour scato-gore, le nombre incroyable de paires de fesses et de (faux) seins à l'écran (ce serait d'ailleurs une statistique intéressante à faire !), et une bonne utilisation de la 3D. Par la même occasion, on prendra plaisir à revoir des acteurs comme Christopher Lloyd, l'inoubliable Doc Brown de « Retour vers le futur », ou Richard Dreyfuss, rendu célèbre au milieu des années 70 grâce à son rôle dans... « Les dents de la mer » ! Fort malheureusement, l'état des lieux des « atouts » de ce film est déjà terminé !
Malgré sa bonne humeur évidente et les efforts consentis pour arracher des sourires salaces aux vieux ados aimant le crade et le débile que nous sommes (ou étions), le reste, il faut bien l'avouer, sent un peu le moisi ! La psychologie des personnages a été laissée au placard, au même titre que l'originalité des dialogues et des situations. Le jeune héros introverti mais cool (oui, il a des t-shirts « Pixies » et « Ramones »), amoureux de la copine du gros con fils à papa, arrogant, machiste et fourbe, qu'il réussira à séduire au final grâce à des actes valeureux (je le dis mais c'est bien loin d'être même rien qu'une micro-surprise), pendant que les forces de l'ordre prévoient une catastrophe sans être écoutées par souci d'économie locale, on a déjà vu ça jusqu'à l'indigestion. Une autre overdose susceptible d'être relevée, celle de bimbos à la plastique... en plastique ! Plusieurs stars du porno sont présentes au casting (au moins, elles pourront dire qu'elles ont montrés leurs anatomies dans un film classique), si bien qu'on a parfois la vague impression de regarder un clip de rap US. Plusieurs passages sont limites grotesques tant ils sont plus que clichés, et l'action a un peu de mal à partir. Mais bon de ce côté là, une fois lancée, elle devient explosive et sur-vitaminée. Tous ces ados écervelés en chaleur et à la pudeur oubliée sont prêt ? Très bien, le carnage peut commencer !
Si on peut regretter également le fait de ne pas y trouver une satire plus poussée sur cet événement débile qu'est le Spring Break, et sur le comportement sans limite d'une jeunesse américaine paumée et sans valeur, en perpétuelle quête de sensations fortes, on sent bien que l'objectif ultime de ce « Piranha 3D » était dans le divertissement total, et le gore bon enfant. C'est pas toujours très malin, et souvent vulgaire et convenu, mais les fans du genre le trouveront surement jouissif, tant il est assumé. En bon film du dimanche soir, on peut y laisser notre matière grise au vestiaire, et assister exactement à ce que nous dit l'accroche présente sur l'affiche : sea, sex and blood !
D'autres critiques sur de nombreux films divers et variés sur mon blog cinéma : http://soldatguignol.blogs.allocine.fr/
Merci !

Il n'y a pas grand chose à dire de ce film. Tout d'abord comment un producteur a pu accepter un tel projet et le financer. Ensuite, le résultat obtenu crée le renouvellement du concept de daube cinématograpgique. Son seul exploit. Difficile de critiquer un scénario lorsque celui-ci s'apparente au néant. Des acteurs aux limites du désastreux, quelques rôles arrivent à n'être "que" pas terrible. On passera outre la perversion de Christopher Lloyd qui en l'espace d'une scène réussit l'exploit de détruire son propre mythe. Une musique qui m'a marqué au point que je me suis aperçu qu'il y en avait une qu'au moment du générique. Les effets spéciaux sont vraiment très moyens. Je sais film à petit budget tout ça, tout ça. Mais il n'empêche que ces effets n'ont même pas 3 ans que déjà ils ont mal vieillis...C'est pour dire. Une mise en scène vraiment moyenne. La scène de l'attaque est la seule convenable, mais le reste est vraiment pauvre. Et quand on passe sous l'eau, on voit plus rien, ou presque (ce qui aide à gommer les défauts des effets spéciaux). Des décors classiques mais sympas. Une daube comme on en voit rarement. Il faut le voir pour le croire...quoique non, mieux vaut ne pas le voir du tout.

Le piranha, ayant déjà connu deux volets sur son espèce et qui plus est pas très brillant. Film de relâche, Alexandre Aja se détend en remettant une dent neuve sur ce petit poisson peu commode. Avec Aja le contrat de remplir un lac en eau rouge de par le sang, le plaisir de mordiller à la bonne chair féminine, est de rigueur. Slogan, sea, sex and blood oui excitant tout ça. Et pourtant, tout le passage Spring break ne fait guère d'effet, nous voyons ce genre de chose quasi tout notre quotidien ne serait-ce que dans les clips à la Guetta et j'en passe. Puis viendra le moment panique, le défouloir pour le réal, et pour ma part ce fut le foutoir de l'ennui. J'attrape avec ma canne à pêche que les passages qui se passe hors de la fiesta, comme celui sous l'eau avec deux bombes nues (la mannequin Kelly Brook et l'actrice porno Riley Steele). L'actrice Elisabeth Shue tient toujours une bonne forme physique. L'acteur Jerry O'Connell peut être agaçant pour certain, mais son personnage est bien frappé. Christopher Lloyd dans un rôle complètement anecdotique.