Derniers Avis : Ong-Bak 2, la naissance du dragon - Page 3

Un film d'arts martiaux qui met une fois de plus à l'honneur la célèbre Boxe Thaïlandaise. Le scénario est bien plus pourri que le précédent car il s'agit d'un jeune homme qui veut récupérer ses éléphants enlevés. Tony Jaa a une excellence absolue dans la maîtrise de son art martial mais toujours le manque d'expérience dans le cinéma qui est un peu dérangeant, surtout qu'il a parle à peine et on peut même compter ses paroles avec nos doigts. Ce qui est vachement appréciable c'est non seulement les scènes de combat qui sont magnifiques à voir mais également la diversité des adversaires comme des mecs au rollers, un mec qui fait de la Capoeira, un escrimeur, un catcheur. On a droit à tout. Il ne faut surtout ne pas être sensible car les scènes de combat peuvent se montrer très violent surtout à la fin du film ou casse des membres de plusieurs hommes. Des costumes un peu mieux recherché et les décors sont plus jolies que ceux du précédent comme ceux du restaurant. Un film d'art martiaux très violent mais appréciable uniquement par les scènes de combat.

Après un 1er volet efficace mais un poil neuneu, T. Jaa passait le cap et devenait réalisateur pour signer le prequel en nous narrant les aventures d'un jeune guerrier. Le hic, c'est que le film est charcuté dans son montage français puisqu'il manque 40 minutes de film, ce qui explique les nombreux trous, les intrigues qui commencent mais dont en n'entends plus parler, des persos qui disparaissent sans explication, etc... Le reste, c'est une succession de bastons dans lesquelles Jaa fait une démonstration juste hallucinante de ses talents, notamment dans la séquence finale, un morceau de bravoure ahurissant avec des mouvements incroyables, le tout plutôt bien mis en scène. Un excellent film de baston, un film d'action spectaculaire et ultra-violent, parfois un peu lourdingue et over-stylisé mais bon, on passe un bon moment. D'autres critiques sur

Très différent du premier. Moins captivant car maniéré à outrance. Néanmoins, les scènes d'action sont à la hauteur et le scénario pas trop minable pour le genre.

Là c'est très différent du premier film. L'époque est totalement différente ainsi que un personnage principal beaucoup plus jeune. Les décors sont simpatiques. L'histoire est pas mal, basé sur les origines du personnage. On pourra peut être s'ennuyer au début, mais la fin est une prouesse d'action. C'est un combat en un contre des dizaines vraiment bluffant. il y a du sang et c'est très bien mis en scène. Comme le premier film, Tony Jaa est très impressionnant et maitrise parfaitement bien le Muay Thai. C'est beau à voir.

Ce film est un bijou concernant les scènes d'action. L'acteur nous enchaîne des mouvements avec les armes blanches très peu vu au cinéma (le couteau au bout de la corde qu'il fait tournoyer avec son pied pour atteindre sa cible "magnifique" ). A ceux qui critiquent le scénario ,il n'ont pas tout a fait tor,il est léger. Par contre je ne connaissait pas du tout la culture thaïlandaise du 15 ème siècle , j'adore les costumes de l'époque! Sinon pour en revenir au scénario, entre nous, je m'en fiche pas mal tant que l'action rééquilibre la balance en étant présente, intense, jouissive, hallucinante, belle... et j'en redemande!

Ong bak 2 ou la grosse surprise, après un premier opus catastrophique à presque tout niveau, Tony Jaa revient dans un Ong Bak 2 survitaminé qui se déroule dans le passé ( et qui est probablement la meilleur idée qu'il est eu si si ).Le film essaye de raconté une histoire il s'en sort à moitié mais il y'a de l'idée mais là ou le film surpasse de très loin le premier c'est bien sur dans les scènes d'action qui sont juste ultime, savoureuse, extraordinaire, énorme, épic, monumental, hardcore, vénère, méchant, badass, et surtout Jaa se lâche vraiment dans ce film surtout dans les 20 dernière minute qui sont probablement ce qu'il se fait de mieux au cinema de fight de ses dernières anné kung fu, du muai thai, divers art martiaux, armes blanches, Tony Jaa est impressionnant, le gars c'est tout film est à regarder juste pour les 20 dernière minute qui a elle seule rachète entièrement le premier Ong Bak et pour une fois c'est plutôt lisible et bien filmé pour une film se termine par un cliffhanger qui donne envie de voir Ong Bak 3 ( qui malheureusement est une énorme bouze ).Donc voilà à regarder juste pour les 20 dernière minute.

Pour Ong-Bak 2 Tony Jaa remonte quelques siècles en arrière pour nous offrir un film au scénario toujours aussi léger (comme le précédent Ong-Bak) et un peu confus, un film brouillon par moment, des ralentis un peu agaçant (au début du film surtout), des gros plans lors des combats pas toujours bien cadrés et une scène avec des éléphants limite ridicule et franchement inutile. Pourtant malgré tous ses défauts cités Ong-Bak 2, la naissance du dragon reste un film d'arts mariaux tout à fait prenant jamais ennuyeux d'une certaine violence, possédant beaucoup d'action, des séquences de combats vraiment bien foutus. Pas du grand cinéma mais du cinéma tout à fait divertissant.

Partagé... Le début du film m'a accroché, mais trop de scènes moyennes voire ridicules (la vielle folle dans sa cave par exemple, ou encore le troupeau d'éléphant), et surtout les combats sont moyens, limite ridicules. Il manque pas tant que çà pour en faire un bon film, c'est dommage. Et puis le scénario est vraiment un patchwork/melting pot décousu qui ne colle pas. Je préfère largement le premier film, les combats étaient mémorables !

De la pellicule gâché, c'est nanarland, c'est le film où l'on ne comprend rien car le scénario s'emmêle maladroitement les pinceaux. Les plans de caméra sont insupportables et le montages est vraiment horrible.

C'est confus, et on ne comprend pas grand chose à l'histoire , s'il y en a une .... Mais c'est pas le sujet , c'est moins marrant que Jackie Chan, à la limite en coupant le son, en clip de fond pendant un apéro entre copains.....

Je pensais pas que scénaristiquement on pouvait faire moins que le minimum syndical et "Ong Bak" premier du nom. D'ailleurs pourquoi ce film s'appelle il "Ong Bak 2" ? ce n'est ni une suite ni une prequelle, les scènes d'actions spectaculaires et sans trucages s'enchainent pour qu'au final spoiler:
ça finisse mal spoiler:
. Bon parlons un peu réalisation pisque c'est epremier passage de Tony Jaa à la mise en scène. Et bien il aurait mieux fait de rester uniquement devant. Le découpage est horrible et la narration inintéressante voire confuse.

C'est décousu, mal interpréter.... Le film fini par en devenir insupportable.

Cette deuxième mouture de "Ong Bak" ne ressemble en rien à une suite puisque l'action prend place au XVème siècle dans le royaume d'Ayutthaya, plus connu sous le nom de Thaïlande! Des parents assassinès, un orphelin puis un mystèrieux soldat livrè à lui-même qui va apprendre à maîtriser les arts-martiaux pour assouvir sa vengeance! Comme dans le premier opus, on retrouve la vedette thaïlandaise Tony Jaa, jeune prodige de la cascade (qui prend cette fois les manettes à la rèalisation avec un certain Panna Rittikrai) en nous gratifiant une fois encore de spectaculaires chorègraphies de combats! C'est vif, sans temps mort (notamment les vingt dernières minutes) avec un enchaînement de sèquences d'action assez impressionnantes sur toile de fond historique! De la belle ouvrage...

Côté scénario, rien de bien terrible et si on ne se perd pas dans tout ces flash-backs et qu'on arrive à suivre ... et bien .. il n'y a pas grand chose. MAIS pource qui est du visuel et des scènes de bastons, les amateurs vont être ravis. Sans plus

L'histoire d'un petit gars bien né qui va s'en prendre plein le nez.
Les films thaïlandais sont comme la culture du vin, il y a de bonnes années, et d'autres qui ne donne que de la piquette. Hélas, par rapport à l'histoire du petit Thaï et du grand éléphant assez agréable, on a ici un énième nanars de série B de bastons. Par contre, si le scénario est affligeant, il a le mérite de la construction par flash back pour nous empêcher de s'endormir, et le mérite de scènes d'anthologie, comme la course « sur » les éléphants, ou le quart d'heure de combats ininterrompus de la fin. Par contre, les amateurs ne retrouveront pas les cascades de fous limites malsaines des autres opus. Besson est manifestement passé par là pour avoir une chance de ne pas se retrouver avec un procès. On revient dans le droit chemin du divertissement bon enfant, euh, pour grands enfants, parce que le sang gicle beaucoup.
Sans parler de la possibilité de la suite (si les cascadeurs ne succombent pas d'une crise cardiaque entretemps), qui montrent que Besson sait convaincre les artisans du tiers monde des bienfaits de l'industrialisation du septième art.
Vous aimez les arts martiaux, allez-y, vous n'aimez pas les asiatiques imberbes qui sautent partout avec leurs petits muscles et leur agilité de serpent, évitez ce nanar inepte et ridicule.