Derniers Avis sur Ong-Bak 2, la naissance du dragon

Pour les fans du premier opus, dont je fais partie, voir la sortie d’une suite à l’incroyable Ong-Bak était particulièrement excitant. Malheureusement, ce n’est pas du tout une suite directe ni même un prequel mais quelque chose de très différent prenant place dans les temps ancien en Thaïlande. Le scénario, si scénario il y a, est totalement incompréhensible et juste un prétexte à déclencher une baston toutes les 5 minutes. Ce n’était déjà pas le point fort du premier mais ce dernier était au moins lisible. L’ambiance est bien plus exotique que celle à Bangkok mais ne mène à peu près nulle part, les interprétations quant à elles sont au niveau de l’original, c’est à dire très pauvres et le fait d’avoir Tony Jaa à la réalisation n’apporte pas grand chose. En revanche ce dernier est toujours en très grande forme et réalisé une nouvelle fois un paquet de prouesses techniques lors de combats très bien chorégraphiés mais à mon sens moins percutants que pour Ong-Bak. C’eut été probablement pire sans les moyens de Europa Corp mais on n’est tout de même pas sur du high level en terme création. Une chose est certaine un peu à l’instar de son prédécesseur, on regarde Ong-Bak 2 uniquement pour les affrontements, le reste étant très limite. Une chose encore, concernant la boxe de l’homme soûl Jackie Chan a une très large longueur d’avance !

Ong Bak 2 démontre une fois de plus l’extraordinaire vitalité et qualité du cinéma thaï, quelques soit le genre. Après un très bon premier épisode il y a deux ans, qui rendit Tony Jaa célèbre dans le monde (avec son autre premier grand succès : Tom Yum Gkoong), ce deuxième épisode bénéficie d’un scénario de qualité et d’excellentes interprétations d’un casting de haute volée, composée d’anciennes et de nouvelles gloires du cinéma siamois. Situé au XVème siècle, cet épisode à pour toile de fond les luttes que se livraient les rois de différents royaumes, en l’occurrence Ayuttayah et Sukhothai, avant l’unification du Royaume de Siam, qui deviendra plus tard le Royaume de Thaïlande. Les décors naturels sont magnifiques et la mise en scène, ainsi que le montage, magnifient des performances d’acteurs et d’arts martiaux sublimes. A la fin de ce deuxième épisode, nous n’avons qu’une envie : découvrir rapidement le troisième épisode ;

Deuxième chapitre de la trilogie ONG BACK


Le défaut :

- un scénario incompréhensible.


Les qualités :
-Les scènes de combats sont bien chorègraphier.

- Les costumes et les décors sont bien réalisés.

Des décors incroyables, une bande originale plutôt agréable, des combats ainsi qu'une exécution des arts martiaux à couper le souffle, ce Ong Bak 2 nous offre un spectacle de haute voltige avec un Tony Jaa au top. le scénario malgré tout est plutôt brouillon, vu en VO les prestations ne sont pas mauvaises mais pas excellentes non plus. quelques effets spéciaux et scènes inutiles ainsi qu'une fin plutôt mauvaise viendront gâcher la dernière demi heure époustouflante,et c'est bien dommage. un très bon divertissement tout de même.

Suite d'un gros succès populaire qui propulsa Tony Jaa roi des arts martiaux, ce second volet d'"Ong Bak" n'a en commun avec le premier que le titre. Réalisé par Jaa lui-même, le film est d'un ridicule achevé de la première à la dernière seconde, un énorme foutoir narratif qui mélange présent et flash-back trop nombreux. Une histoire de vengeance grotesque, une amourette adolescente nian-nian, méchants qui sont l'antithèse du charisme, "Ong Bak 2" n'a pour seul argument que quelques-uns de ses combats, et encore, trop souvent mal rythmés. Une bouse abominable!!

Enchaîner les scènes d’affrontements est une chose, mais le faire avec un minimum de narration et d’enjeux n’est pas une option. Si le scénario du premier épisode était simple et basique, celui-ci est décousu et ne raconte rien : aucune quête, aucun accomplissement du héros. Au moins, Tony Jaa se fait plaisir.

Pour ce Ong Bak 2, Tony Jaa a préféré se défaire de Prachya Pinkaew, le réalisateur du précédent Opus. A la place, il s’est donc lui-même impliqué dans la réalisation, et s’est fait assister de Panna Rittikrai. Cette association donne, comme on pouvait s’y attendre, un résultat très médiocre. Premièrement, parce que Panna Rittikrai ne s’est jamais révélé particulièrement talentueux dans ses précédentes réalisations. Deuxièmement, Tony Jaa s’est, certes, révélé génial en termes de chorégraphe, mais en tant que réalisateur, il n’a absolument aucune compétence. En dépit de la médiocrité de ce résultat, les deux Thaïlandais avaient pourtant les supports pour donner quelque chose de valeur. Le scénario était bien plus riche que le premier Ong Bak. Les pérégrinations mouvementées d’un jeune Prince dont les parents se font assassiner. Celui-ci, cherchant la vengeance, trouve une voie supérieure. Seulement voilà, Jaa et Rittikrai accumulent les erreurs. Un, la structure narrative qu’ils choisissent est archi tarabiscotée, avec des passages du passé au présent, très mal balisés, ne permettant pas une lecture limpide de l’intrigue. Deux, les scènes de bagarres sont bien trop nombreuses et bien trop longues. Trois, les cascades sont moins spectaculaires et certains rebondissements ne sont pas du tout crédibles. Un seul point fort au film, sa scène d’introduction. Elle semble avoir absorbé toute la substance créatrice des deux hommes, tellement le reste du dit film est décevant.

Le premier Ong-bak ne devait pas son succès à son scénario mais à la force de ses combats. Il n’est donc pas surprenant de voir que sa suite est une succession de combats et de cascades peut-être moins marquants que dans le premier volet mais qui restent malgré tout assez impressionnants (on pense notamment aux séquences utilisant des éléphants dont on se dit, comme souvent avec le cinéma d’action asiatiques, qu’il faut une certaine forme d’inconscience pour tourner des scènes aussi risquées). Hélas, cet enchaînement peut créer une certaine forme de lassitude et amener le public à se décrocher de l’histoire qui n’est pourtant pas très complexe. Ong-bak 2 : La Naissance du dragon est donc un film assez moyen fait uniquement pour mettre en valeur des scènes d’action assez impressionnantes mais qui ne font pas pour autant partie des plus marquantes du genre.

Le titre nous révèle la pauvreté d'imagination de ce film thaïlandais rien à voir avec le premier film sinon l'acteur principal. Le reproche fait au premier pour son manque de subtilité vaut pour celui-là. Il y a du mieux dans la réalisation mais encore cela se prend vraiment trop au sérieux, les méandres de l'histoire font un fourre tout où il y a principalement des scènes violentes. L'aspect sordide est là aussi décrivant une époque où la loi se fait par la force justifiant qu'il y ait un héros qui va essayer de liquider les mauvais sur fond de vengeance. Il y a de la diversité notamment dans les combats mais trop longs cela devient peu crédible. Le film est en deux parties et appelle une suite ce qui n'est pas sauf exception une bonne idée. Un film ne devrait pas avoir ce format il est approprié pour les téléfilms en deux parties.

Un film à ne voir que pour son esthétique et la chorégraphie des combats. Ils sont complexes et longs, les images sont monochromes ou sombres. Côté scénarios il y a des bizarreries qui viennent un peu comme un cheveu sur la soupe et cette fin extrêmement bizarre.

Une prouesse technique principalement due à son acteur principal et à sa mise en scène, plutôt qu'à la qualité de son scénario.

Ong Bak 2 démontre une fois de plus l’extraordinaire vitalité et qualité du cinéma thaï, quel que soit le genre. Après un très bon premier épisode il y a deux ans, qui rendit Tony Jaa célèbre dans le monde (avec son autre premier grand succès : Tom Yum Gkoong), ce deuxième épisode bénéficie d’un scénario de qualité et d’excellentes interprétations d’un casting de haute volée, composée d’anciennes et de nouvelles gloires du cinéma siamois. Situé au XVème siècle, cet épisode à pour toile de fond les luttes que se livraient les rois de différents royaumes, en l’occurrence Ayuttayah et Sukhothai, avant l’unification du Royaume de Siam, qui deviendra plus tard le Royaume de Thaïlande. Les décors naturels sont magnifiques et la mise en scène, ainsi que le montage, magnifient des performances d’acteurs et d’arts martiaux sublimes. A la fin de ce deuxième épisode, nous n’avons qu’une envie : découvrir rapidement le troisième épisode ; sorti cette année en salles en Thaïlande. Sa sortie est prévue le 14 janvier 2011 aux USA et à une date encore non définie dans les salles européennes.

On croit que Ong-Bak 2 est la suite de ong bak 1 mais en fait il n'en n'est rien c'est une toute autre histoire qui n'a rien à voir avec le 1 j'étais un petit peu déçu car je voulais vraiment voir une suite du 1 qui était vraiment exceptionnel néanmoins les salles de combat son époustouflante et Tony Jaa comme d'habitude et exceptionnel est parfait je recommande

Des combats aussi délirants que le premier opus, et un parfum de Thaïlande très revigorant. La scène avec les éléphants est grandiose. Tony Jaa et son équipe sont franchement parmi les meilleurs à l'heure actuelle...

le film est largement moins bien que le 1er film c'est dommage quel déception j'aurai aimer qu'il fasse une suite la ou c'est arrêter le 1er film pas qu'il nous montre les origines. L'histoire est quand même moyenne avec des Flash back qui par moment ne serve pas le film qui nous embrouille plus que autre chose . Sinon oui les scène de bagarre et d'action sont top et spectaculaire comme le précédent mais c'est tous c'est dommage pour Tony Jaa qui est très bon