Derniers Avis : Camping 2 - Page 5

Le camping de trop
Anconina n'apporte rien, Dusbosc patine dans le sable.
Y a pas d'histoire qui nous donne envie de rester dans ce camping 2.
rien à voir ici.

"Camping 2" est ce que j’appelle un film inutile, puisque j’estime qu’il fait tâche dans le CV cinématographique de l’ensemble des comédiens. Bon, une fois la vague du succès passée, et avec un peu de recul, on s’aperçoit que "Camping" n’était déjà pas du grand art. C’était acceptable, mais pas bien terrible. Vu le niveau, on aurait pu s’attendre à une légère amélioration, surtout en sachant que les piliers du concept ont été reconduits pour ce deuxième opus. Nous sommes rapidement déçus dès l’entame : une pléiade de mots clés entrés sur une page Internet afin de rechercher et trouver un endroit où passer les vacances (alors que je connais au moins aussi bien, et bien plus calme), une caravane prise par une patrouille radarisée à une vitesse ridiculement exagérée… Ca donne le ton d’un épisode empreint d’un humour au ras des pâquerettes, avec des jeux de mots et des rimes qui tombent à plat. "Christophe Colomb a découvert l’Amérique, et moi… j’ai des couverts en plastique". Et l’auteur de cette réplique rigole ! Patrick (Frank Dubosc) rigole ! Le pire est qu’il est fier de sa connerie en plus ! Mais bon, il est gentil. Gentil, mais lourd. Sympathique aussi. Mais lourd. Je ne fais pas référence à une surcharge pondérale, quoique son humour décalé finit par peser. En tout cas, ce ne sont pas les vêtements qui l’alourdissent, puisqu’il est toujours en slip de bain et tee-shirt rose, représentant parfaitement le gogo de base flanqué de sa Renault 21 à l’apparence sportive façon 2L turbo, laquelle arbore de façon ostentatoire la situation matrimoniale de son propriétaire. A se demander même si il prend le temps de se changer de temps en temps... L’esprit général reste donc bon enfant. Le scénario, un peu plus vraisemblable que précédemment, est plombé par des incohérences, comme la manipulation du réseau mobile par Mendez, le garagiste reconverti. Malgré quelques rares petites idées neuves par ci par là, les recettes qui ont fait le succès commercial du premier numéro ont été reprises, pour être servies à une sauce au goût de déjà vu : Jacky Pic râle toujours à propos de son emplacement, le couple Gatineau est une nouvelle fois en crise, et Patrick jette son dévolu sur un personnage dont il veut s’en faire un copain. Bref, "Camping 2" est presque un remake de "Camping", en nettement moins drôle. Pas drôle du tout même. Seulement navrant de nullité. Pour sûr, je n’attends pas Patrick pour "Camping 3" attendu pour juin 2016… pauvre cinéma français…

Et alors on attend pas Patrick ? Sûrement la réplique la plus culte du film . Camping 2 comme son précédent est une comédie des plus sympathique , nous faisant penser au vacances , la plage , les joies du camping (ou pas d'ailleurs à en suivre les aventures de notre cher Jacky Pic ) . Alors c'est vrai , je ne vais pas vous mentir l'humour de Franck Dubosc est particulier , il faut savoir l'apprécier car il peut paraitre très beauf et relou comme le disent si bien les jeunes d'aujourd'hui . Et bien qu'importe j'en redemande !

Autant le premier bon je l'ai trouvé pas trop mal mais sans plus . J'ai largement préféré celui ci . Encore une fois sans réelle surprise nous retrouvons un Jean -Pierre bien coincé du bulbe . Pourquoi changé une recette qui marche me direz vous ? Car oui déjà dans le premier volet , nous avions eu droit à un petit monsieur coincé . C'est vraiment le point négatif que je trouve à ce film mais aussi non je l'ai trouvé plus marrant . Dans le sens que il y a plus de gags qui font mouche , encore une fois c'est une ambiance bonne enfant bref quoi de mieux !

Patrick is back !! Et plus célibataire que jamais, pour vous mesdames ! Retrouver la frimousse du serial lover est un vrai plaisir partagé, surtout aux côtés du réalisateur Fabien Onteniente. Cette nouvelle saison de vacances au soleil s’annonce tumultueuse car les Flots Bleus sont menacés de la fermeture au détriment d’un complexe hôtelier. Quoi de mieux que des fouilles archéologiques bidons pour retarder l’échéance ?! Le schéma du 1er opus se répète ici avec les élans émotionnels de Mathilde Seigner , la beauf attitude d’Antoine Duléry, les extravagances en maillots de Dubosc, la crevette et le banco. Tout y est, même le coincé du bulbe intergalactique, ici interprété par Richard Anconina. Un scénario des plus convenu mais qui fonctionne toujours malgré la redondance et l’humour simplet. Une simplicité déroutante qui nous pousse à demander, était il si nécessaire de réaliser une suite à Camping ? Et bien je réponds oui, car cette sympathie qui transpire de l’écran est un vrai rayon de soleil dans le salon. C’est tout simplement cet attachement à des personnages modestes et naturels qui fait mouche à coup sûr. Une classe sociale derrière laquelle on s’identifie ou non, mais qui respire l’authenticité. Certes, moins savoureux que son prédécesseur, cela n’empêche que ce Camping 2 reste un agréable moment de cinéma. You take the apero?? 3,5/5

Très bon film vraiment drole avec patric chirac en forme

un budget aussi pharaonique pour un film bien moyen,
On prend les mêmes et on recommence, ce "Camping 2" est un copier-coller du 1, le scénario est bancale et les acteurs surjouent mais le film se laisse regarder

Transposer pour le cinéma ses sketches est devenu un sport national pour les humoristes français depuis quelques années. Entre Bienvenue chez les ch'tis, déclinaison cinématographique du spectacle de Dany Boon, A s'baraque et en ch'ti, Coco dans lequel Gad Elmaleh mettait en scène son personnage du même nom ou Elie Seimoun qui faisait de même dans Cyprien, on ne savait plus où donner de la tête et bien souvent de l'ennui. Un peu en avance sur ses compères, Franck Dubosc avait dès 2006 adapté l'un de ses sketches largement autobiographiques dans Camping de Fabien Onteniente. A défaut de la franche rigolade, ce premier opus faisait régulièrement sourire et tenter de donner une vision du camping plus humaniste et moins ringarde en accumulant paradoxalement les clichés. Sympathique mais anecdotique, Camping a eu droit à une suite en 2009 sans surprise mais, heureusement, sans baisse de niveau. Surfant sur le succès du premier opus, Camping 2 reprend exactement les mêmes éléments que son prédécesseur et reproduit insolemment les mêmes situations : spoiler: le personnage de Mathilde Seigner a envie d'aller voir ailleurs, celui de Claude Brasseur a toujours autant la poisse avec l'emplacement 17, Franck Dubosc est toujours le Fonzy du camping des Flots bleus et un nouveau vacancier, Richard Anconina, à priori réfractaire va succomber aux joies du camping grâce à sa fille et surtout à l'amitié naissante de Patrick Chirac (Dubosc).
Quelques nouvelles têtes, Alysson Paradis - la sœur de - et quelques guests : Laurent Cabrol ainsi que le frère de Bixente Lizarazu viennent s'imprégner des mêmes recettes que du premier : discothèque ringarde, activités façon Club Med, camp de nudistes, etc ; une bonne manière de faire un lien avec la comédie franchouillarde hexagonale dont Les bronzés sont le plus bel (?) exemple. spoiler: Histoire de pimenter le tout, Onteniente et Dubosc laissent planer sur le camping la menace d'une fermeture, donnant ainsi lieu à des manigances, bien futiles, de la part des campeurs pour contrecarrer les plans de la municipalité.
Le troisième opus sort en juin prochain, Camping 2 exploitant jusqu'au bout les ficelles déjà fines du premier épisode et l'humour naturel de Dubosc, on voit mal comment la paire Dubosc/Onteniente va réussir à se renouveler.

On prend les mêmes ingrédients et on remue ce qui donne la copie du premier en moins bon
Trop de clichés, de lourdeurs, j’en passe et des pires

Autant "Camping" premier du nom faisait office de bonne comédie pour se détendre, autant sa suite est une honte. C'est que les scénaristes ont pas du se creuser la tête pour nous pondre ce film, ce dernier étant une copie quasi-conforme du premier : le gugusse qui arrive pour la première fois au camping sans grande conviction avec sa fille pour finalement changé d'opinion sur le sujet, les Gatineau qui nous font de nouveau une crise de couple, les Pique qui ont encore un problème d'emplacement... Tout est repris à l'identique, pour le coup on est pas dépaysé. Les blagues, toutes droites sorties des carambar, tombent à l'eau les unes après les autres. En plus de ça on nous colle Richard Anconina qui est loin d'avoir la présence et le charisme de Gérard Lanvin et qui nous livre une prestation vraiment fade pour le coup. C'est vraiment désolant que des films comme ça puissent voir le jour.

En regardant Camping 2 ,il ne faut évidemment pas s'attendre à la comédie du siècle car l'humour est plutôt directe que certaines on dirait qu'elles sont sortis tout droits des blagues carambars
et alors peut importe j'en reveux ,le film reste familiale et on se met à penser au vacances ,au soleil ,aux activités qu'il y a dans un camping (ici le karoké avec ''j'ai encore rêver d'elle '' ) ,certaines scènes sont assez marrantes bien que pas assez exploité ; spoiler: la scène de Gatineau au camping nudiste est surtout celle à laquelle je pense il n'y reste que très peu de temps alors que ça mériterais d'être creuser pour en faire une scène encore plus fun
Par contre les slogans de Franck Dubosc et ''aller ont attend pas Patrick '' et ses gags font mouche la plupart du temps
Ce que je regrette c'est que niveau scénario camping 2 surfe sur la vague du 1 ; spoiler: on se retrouve là aussi avec le type coincé donc ce serait bien d'innover un peu de ce côté là

je ne comprends pas ces critiques si sévères sur ce film... certes il est moins bien que le 1... certes l'humour est simplet... mais des acteurs toujours au top (Claude Brasseur en tête) et un très bon moment qui donne le sourire

Quatre scénaristes pour pondre ça ! C'est comme les "Bronzés 3" : ça a fait de l'argent alors on continue de presser le fruit pour en arriver à râper jusqu'au zeste quand il n'y a plus de jus. Un budget pharaonique pour bien peu de choses et Franck Dubosc a le talent de faire tourner toutes les mayonnaises, alors une de plus une de moins... Reconnaissons quand même un beau score alors même qu'on a changé l' équipe qui avait gagné auparavant. Reconnaissons tout de même un bon casting. Du succès en salles, certes, mais avec une érosion certaine des aficionados. Espérons que Onteniente nous épargne un camping 3. J'aime encore mieux "Camping Paradis de TF1" où au moins il y a l'irrésistible Christian Parizot !
willycopresto

près un premier opus passable, la suite plonge malheureusement dans la routine.Enfin, c'est trop redonner la même chose au public, trop de choses sont les même, on a pas vraiment de nouveautés, rien de frais,tout en tombant dans un deuxième chapitre plus mou, moins intéressant.Dommage, j'aime bien l'idée de base, mais là c'est foutu.

Les personnages passent leur temps à s'engueuler, être mécontents ou faire des reproches. Le tout étant joué plus sérieusement que les phases humoristiques, "Camping 2" perd en saveur et en magie des vacances. C'est dommage car la bande est sympathique. Mais le but n'est-il pas de se détendre ? Vraiment décevant :(

A vomir de toute urgence !
Scénario inadmissible pour un film dégoûtant. Je n'arrive plus à dormir depuis que j'ai visionner ce navet historique ! Un jeu d'acteur hideux, qui vous fera chercher la sortie du cinéma en courant à toute allure et en hurlant comme un fou dans les couloirs. Des acteurs au bord du délit culturel et qui mériteraient les Beaumettes, un réalisateur très certainement sous l'emprise de nombreuses drogues dures. Un moment angoissant et dérangeant. Film honteux et qui insulte ouvertement le spectateur. L'histoire est une erreur, rythme extrêmement lent et tout à coup très rapide qui plonge le spectateur dans une profonde névrose dès le tout début du long métrage. Je vois depuis de longs mois un psychologue pour me faire oublier l'horreur que j'ai traversé durant le visionnage de ce navet pervers. film qui crache qui le cinéma français, qui vomis sur le professionnalisme, et qui défèque sur la beauté. Un scandale, ça m'a dégouté !