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Un visiteur
3,0
Publiée le 14 décembre 2013
Comme bien souvent, les suites ne sont pas des éloges à l' original et hostel n'échappe pas à la règle. Si vous avez aimé le 1er vous aimerez celui-ci mais il vous laisseras tout de même un goût légèrement amer.
Aussi surprenant que cela puisse paraitre, cette suite plutôt réussi a le mérite de gommer les défauts de son homologue. L'écriture est bien plus juste, plus captivante, les acteurs sont tous convaincants et surtout on sent une forme de douceur dans la réalisation d' Elie Roth, effet surprenant en rapports au conformisme de ces autres réalisations. Bon le film ne casse pas 3 pattes à un canard, mais il est suffisamment bien travaillé pour être survolé.
Avec "Hostel", Eli Roth avait livré au monde cinématographique une œuvre ayant grandement renouvelé le film d’horreur moderne (et faisant de lui au passage le nouveau pape en la matière). Il est donc normal qu’on attendait avec impatience son nouveau film. Cependant, le fait que ce nouveau film soit un second chapitre à son œuvre phare est tout de même une surprise. En effet, on se demande ce que va pouvoir nous présenter Roth à l’écran sans tomber dans la décalcomanie la plus simple, à moins de pousser entre plus à l’extrême les scènes ayant fait la renommé de "Hostel" (et est-ce possible sans que le film soit interdit de salle ??). Et bien Roth a choisi de tous nous prendre à contre-pied en développant simplement l’univers qu’il a crée : "Hostel Chapitre 2" s’intéresse avant tout à la société secrète qui propose à des riches ses fameux petits « rendez-vous en tête-à-tête ». Nous apprenons ainsi comment elle procède et comment les « bourreaux » choisissent leurs victimes, nous balançant en plein tronche une vérité aussi écœurante que terrifiante : on peut tout se permettre avec du fric !! Après une petite intro sympa où l’on retrouve Paxton (Jay Hernandez), unique survivant du premier épisode, et qui nous montre à quel point l’organisation est sans merci, Roth nous propose une double narration entre, d’un côté, un groupe de filles qui vont se retrouver dans un lieu bien connu de ceux ayant vu le premier opus ; et, d’un autre côté, d’un duo d’ami voulant enfin passer le cap et devenir des « hunters ». Avec cette astucieuse idée de narration, nous pouvons voir et comprendre tout le processus mais nous pouvons aussi assister tout du long du film à une certaine réflexion sur l’être humain et sa quête d’existence, en particulier sur ses désirs inavoués. Et il est assez amusant de voir au final des revirements lorsque la personne en question fait réellement face à la situation (comme l’échange de rôles entre les deux amis, celui ne rêvant que de ça se défilant et le timide se révélant être un putain de psychopathe ; ou encore l’incroyable « renaissance » de l’héroïne). Et l’horreur dans tout ça ? Même si elle est toujours présente, elle l’est beaucoup moins que lors du précédent épisode et surtout moins gore, moins rentre-dedans, beaucoup plus graphique comme cette étonnante scène de la « douche », délicieusement baroque. Bref ce Chapitre 2 est certes moins hardcore que le premier mais cela est surtout dû qu’il s’adresse avant tout à ceux qui ont aimé l’univers du film, et pas seulement les assoiffés de scènes de torture. Ni mauvais, ni exceptionnel, il demeure un bon film qui se laisse regarder agréablement.
Une suite réussie. Ceux qui disent qu'il est nul c'est qu'il n'aime pas les films d'horreur et n'ont pas aimés le premier opus. On retrouve les ingrédients de Hostel 1 (torture gratuite, lol) mais avec davantage d'explications. Ce deuxième film est probablement un peu moins violent que le premier et fait donc un peu moins peur. Les explications participent également à une démystification des évènements. A voir pour les inconditionnels du genre!
De la violence la plus gratuite et donc aussi la plus horrifique . Soulevant la question du pouvoir aussi morbide et nauséeux soit il! Une justification aussi débile qu'inutile pour un film sadique , violent et inutile !
En étant mieux maîtrisé et mieux réalisé, ce deuxième volet d Hostel se révèle moins ambigu et plus appréciable que le premier épisode. On est dans du cinéma d horreur de divertissement mais sans le côté voyeur de l opus précédent. L humour noir y est pour beaucoup, ainsi que le rythme plus enlevé et une esthétique de la violence qui offre plus de recul. Le film reste cependant réservé aux amateurs du genre, car la réflexion est devenue complètement absente.
Après avoir mis fin au personnage du premier opus, idée efficace afin de nous placer dès les premières minutes dans l’ambiance horrifique du film, le schéma narratif semble se répéter à l’identique au point de nous faire peur d’avoir à assister à une recette réchauffée sans nouvelle idée. Mais, alors que ces braves jeunes filles sont sur le point de se faire capturer, le scénario nous offre l’occasion de nous faire découvrir l’identité et les motivations de leurs bourreaux. Si, dans le premier Hostel, l’écriture bâclée des personnages était un frein à la peur, ici le fait d’avoir ainsi fait des deux tortionnaires deux individus au moins aussi sympathiques que leurs victimes créé un décalage dérangeant délectable. La scène du meurtre à coups de faux est d'une beauté sensuelle non moins confondante. Plus qu’un banal slasher gore, c’est bien vers une image transgressive de la nature humaine que veulent nous entrainer Eli Roth et Quentin Tarantino sans pourtant aller jusqu’au bout de leur processus. Rarement dans le cinéma d’horreur, une suite se sera avérée à ce point meilleure que son prédécesseur.
Largement au dessus du 1er volet, Hotel 2 nous embarque encore une fois dans le monde de cette association ou des hommes riches et puissants payent pour torturer de toutes les façons possibles de jeunes étudiants souvent étrangers. Plus joli et mieux pensé ce deuxième épisode n'est pas exceptionnel mais reste très plaisant a regarder, les acteurs sont un peu plus convaincants et le film est, je trouve, plus humains car les personnages se posent des questions surtout du coté des tortionnaires, jusqu'ou pourrai - je aller ? Et justement le film répond a cette question. Les paysages ne varient pas trop puisqu'on se retrouve encore une fois en Europe de l'Est mais on en apprend un peu plus sur l'organisation, sur son mode de fonctionnement, ses membres et surtout sur le Boss suprême. En bref le deuxième opus de la trilogie des "Hostel" est beaucoup plus convaincante que le premier et cela sur quasiment tout les points même si les scènes sont un peu plus hard, le film respecte sa logique et tant mieux.
Superbe film ! Déjà, nouvelle originalité dans le scénario qui nous permet de passer du côté des bourreaux. Même si je trouve que les acteurs (ici, les actrices principales et victimes) sont moins charismatiques que ceux du premier opus et des "méchants" eux-mêmes, la sauce prend aisément. On retrouve une atmosphère lourde et gore et une fin génialissime. Mieux que le premier pour ma part car, là où on s'attendait à voir un copié/collé de son prédécesseur mais avec d'autres personnages, ce film m'a agréablement surprise et on voit que le réalisateur a réfléchit un minimum.
Plus ou moins bon que le premier ? En tout cas toujours pas le niveau. De belles incohérences encore (je ne citerai que le fonctionnement du club qui ne semble prendre aucune mesure pour qu'on ne puisse les retrouver), des personnages plus intéressants pour certains seulement et toujours pas assez de toute manière. Petite surprise par un trait d'humour quant aux méthodes de certains tueurs. Cependant pas moins du gore pour du gore, plus rebutant qu'intéressant...
La suite attendue du coup de tonnerre qu’avait été en 2006 “Hostel” de Elie Roth jeune pousse parrainnée pour l’occasion par Tarentino. Le film redémarre où le premier opus nous avait laissé. On reprend quasiment la même trame en inversant le sexe des victimes. La phase d’approche est nettement moins longue et on passe très vite aux choses sérieuses. Si le procédé terrifiant fonctionne encore on se dit qu’il y aurait intérêt à stopper la série à ce deuxième épisode avant de rentrer dans l’exploitation pure et simple d’un bon filon comme pour Saw. Les producteurs auront-ils cette sagesse ? Rien n’est moins sûr. A noter l’apparition très furtive de deux gloires du bis italien des années 70 : Luc Méranda et Edwige Fenech.
En effet mieux que le premier opus qui ne m'avait pas plus ... le style de ce film est d'une noirceur que je n'avais jamais vu , une apologie a la violence . Jusqu'a se jour seul l'indétronable " Cannibal Holocaust " avait réussit a me remuer les boyaux ... Hostel 2 enchaine sans précédent les scène ultra " chocante " poussées jusqu'a la limite des sens de l'etre humain pour percuter le spectateur . On reconnait bien la l'influence " Tarantino " qui sauve tout de meme se film . je n'aurait jamais imaginé qu'un réalisateur puisse faire des scène comme celle la ... ( particulièrement la scène ou l'héroïne coupe le sexe d'un des chirurgien fou pour ensuite le prendre dans sa main et le balancer au chiens qui se précipitent dessus pour le manger , et biensur les autres gardes du corp qui en rigole et se moquent du gars qui perd tout son sang et par conséquent qui crève ^^)Ce film est a regardé les jours de fureur et de colère et pas d'autres !