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    Hunger
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    366 critiques spectateurs

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    7eme critique
    7eme critique

    466 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 avril 2015
    Premier film du réalisateur Steve McQueen (II), et déjà terriblement prometteur ! "Hunger", en plus d'offrir de véritables prouesses sur sa mise en scène, s'attaque au sujet des prisonniers de l'IRA sous un angle d'une force impressionnante. Mais ce n'est pas tout, le film se caractérise également par l'immense prestation de Michael Fassbender, qui incarne son personnage jusqu'au plus profond de ses entrailles. "Hunger" laissera également place à une véritable scène d'anthologie, un face à face impressionnant dans un plan séquence mémorable de plus de 16 minutes. Tout est respecté afin d'offrir une séance de cinéma d'une puissance incommensurable. Un acteur bluffant, une mise en scène maîtrisée, un sujet fort, "Hunger" annonce l'arrivée fracassante d'un cinéaste de génie. Il y aura désormais deux Steve McQueen à retenir dans la grande famille du 7ème art.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 avril 2015
    Pour son premier film, Steve McQueen ne veut pas rentrer par la petite porte. En effet, "Hunger" est un exercice de style, un tour de force, un film plein de maturité. Le film est pratiquement muet, McQueen nous raconte l'histoire seulement avec des images, c'est compliqué mais parfaitement réussi. Puis, arrive un plan-séquence de plus de 15 minutes avec une avalanche de dialogues. Ensuite, la mise en scène est maîtrisée et Fassbender est dans son meilleur rôle. Seulement, "Hunger" donne l’impression qu'il n'est qu'une démonstration, qui laisse peu de place aux émotions. Bref, un grand film qui montre les qualités techniques de son réalisateur.
    Noémie Laurent
    Noémie Laurent

    42 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 avril 2015
    Ce film est intéressant dans son contenu et certaines scènes sont vraiment captivantes (notamment le dialogue entre le protagoniste et le curé ou la scène finale de flashback). Il faut néanmoins avouer que ce film est très flou et pendant les 3 premiers quarts d'heure, on ne comprend pas ce qu'il se passe (les phrases d'introduction ne suffisent pas). A trop vouloir retranscrire l'ennui des protagoniste le film perd à certains moments le spectateur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 février 2015
    Premier film de Steve McQueen, qui nous raconte la vie des prisonniers en Irlande en 1981. Le film est insoutenable et d'un réalisme absolu (certain coups de matraque ont été vraiment porté sur les acteurs). La mise en scène fait très "art et essai" avec de long plans séquence (dont une scène de dialogue interminable). Les acteurs donne une performance exceptionnel et impressionne. Bref Hunger est un film très réaliste, qui impressionne et choc.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 janvier 2015
    Encore un de ces films de réalisateurs qui se prennent pour les nouveaux Spielberg... On ne peut pas critiquer l'intention : le sujet est très intéressant, il mérite d'être traité au cinéma, mais le reste ne suit pas... Michael Fassbender n'est ni bon ni mauvais, on peut quand même lui reconnaître son incroyable changement physique. Mais il y a beaucoup de longueurs, des dialogues qui étaient peut être bien sur le papier mais qui sonnent faux dans le film, des scènes vues et revues, etc. Bref, à voir pour ceux qui sont motivés, mais pas indispensable
    L?c!s_H00d
    L?c!s_H00d

    166 abonnés 391 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2015
    Un sujet fort, une mise en scène fascinante, une réalisation sublime et Michael Fassbender. Voilà ce qu'on retrouve dans chaque Steve McQueen (II). Dans celui-ci, son acteur fétiche incarne un prisonnier en Ireland du Nord et est comme toujours excellent mais peu attachant malgré sa cause. Si la réalisation est parfaite et d'une puissance phénoménale, l'histoire traîne en longueur. Ces lenteurs sont omniprésentes durant toute cette grève de la faim menée par Bobby Sands, et c'est le seul défaut. A l'inverse, les dialogues sont quasiment inexistants mais cela n'enlève en rien à la forte impression de ce film. Percutant au possible par son sujet, impressionnant par ses plans foudroyants et lancinant à mort, "Hunger" est un nouveau choc sublimement mis en scène par Steve McQueen (II).
    pierrre s.
    pierrre s.

    358 abonnés 3 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 décembre 2014
    J'ai définitivement beaucoup de mal avec le cinéma de Steve McQueen! Que ça soit au niveau de la réalisation, bourrée de plans fixes qui ralentissent l'action et nous font sortir du film. Ou au niveau du fond, avec cette volonté continuelle de faire dans le choc, le pathos et le sale... Rien ne me va. Le sujet du film était pourtant intéressant et Fassbender énorme!
    christophe M.
    christophe M.

    9 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 janvier 2015
    insoutenable, puissant, dommage que ce film soit si peu connu. spoiler: Peu importe nos idées le film met mal à l'aise devant tant de détermination.
    Joe D.
    Joe D.

    47 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 octobre 2014
    Hunger, où comment l'excellent acteur Michaël Fassbender prouve dans ce film réalisé par Steve Mc Queen (12 years a slave), qu'il est un acteur d'exception, n'hésitant pas à joué de son charisme, et surtout de son corps pour définir la volonté et la condition dans laquelle finira Bobby Sands (leader de l'IRA, enfermé à "The Maze" une prison nord irlandaise, gérée par une milice sous l'autorité du gouvernement britannique de Margaret Tatcher, qui ne tolère pas la violence et la revendication de l'indépendance de l'Irlande du Nord face à l'Angleterre, et dont les partisans de l'IRA capturées, se voient refuser leur statut de prisonniers politiques
    Ce film est extrêmement poussif, dérangeant, jusqu'au boutiste, sans concession, et mélangeant habilement par la mise en scène de longs plan séquences qui donne une atemporalité au film à plusieurs moments clefs du récit, et des plans fixes dont l'ambiguité de l'interprétation posera petit à petit, tel le calvaire vécu par les prisonniers, la situation plaçant le spectateur en état d'observateur avant de tomber dans la catharsis, même si le manichéisme n'est jamais dévoilé. Les Images sont fortement signifiantes, et permettent à la fiction d'avancer comme une micro-narration, par le biais de plans minutieux et secs, mais dont le sens est suspendu aux retards d’identification, aux ruses temporelles, à une stratégie de brouillage moral. Ce que Steve Mc Queen définira comme style d'"Images-savons" qui échappent à l’instant même où on croit les tenir, et contraignent à faire un pas d’écart pour les rattraper sous un nouvel angle. spoiler: L'exemple le plus flagrant est celle du départ où Stephen Graves inquiet, plonge ses mains tachées de sang dans l'eau avec du savon, on ne sait dès le départ quel parti prendre pour ce protagoniste, à savoir si il est bourreau ou victime. Lorsqu’à nouveau Graves plonge les mains dans l’eau, le sang qui s’y répand vient autant d’un premier coup de poing atteignant le visage du prisonnier que de l’échec du suivant venu s’écraser contre le mur. Il blesse, il est blessé ; il subit tout autant la violence qu’il s’en fait l’instrument.
    .
    La résistance tant physique que psychologique de ces prisonniers, revendiquant un statut de prisonniers politiques, est très forte, et Mc Queen transpose la lutte de ces prisonniers contre les gardiens de la prison en un rapport de force d'une réaliste dureté ambiguë avec brio, de manière à la fois subtile mais dérangeante. spoiler: L'enfermement des prisonniers dans des cellules de 6 mètres carrés, à l'hygiène immonde (murs tapis d'excréments, urines partout répandus dans les couloirs, utilisation peu communes du savon pour nettoyer, prisonniers nus pour avoir refusé de porter les uniformes de prison (en réponse au statut apolitique de criminel à quoi les ramène Margaret Thatcher), refus par les prisonniers de se laver), et la "grève de l'hygiène" déclaré par les prisonniers, ils transforment leurs cellules en grottes et révèlent les conduits et les cavités de leur propre corps. Aussitôt ingurgitée, la nourriture se transforme en tas de merde dont ils couvrent les murs, ou qu’ils laissent croupir dans un coin grouillant d’asticots. Ils empoignent cette matière informe pour modeler des rigoles et déverser sous le pas de la porte, une fois le signal donné, des rivières d’urine inondant le couloir. Lors des rares visites, les messages et les paquets parvenant à passer outre l’attention des gardes transitent par voies nasales ou rectales : de l’un de ces colis déféqués sort une petite radio permettant de capter les nouvelles de la lutte républicaine rapportées par l’inflexible pouvoir britannique. À partir de cette intolérable situation d’incarcération, toutes sortes d’ouvertures s’imaginent, réaffirment une puissance de vie et incarnent une forme inouïe de résistance, même s’il s’avère qu’au dehors la réponse ne varie pas, et que Thatcher campe sur ses positions.
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    Ensuite, après de violentes représailles des 2 côtés, gardiens comme prisonniers, aboutissant à la crainte de Graves, et son inéluctable destin, Steve Mc Queen nous offre une leçon de cinéma par l'utilisation pendant 17 minutes d'un plan séquence en caméra fixe mémorable sur la question de savoir si la cause justifie qu’on meure pour elle, spoiler: la très longue discussion centrale où Bobby Sands annonce au père Dominic Moran (interprété par l'excellent Liam Cunningham) qu’il s’apprête à entamer une grève de la faim repose le problème autrement. Le ping-pong verbal filmé en ce très long plan séquence, se joue de l’attention du spectateur.
    L’échange très rapide prend une pente savonneuse et comique en nous perdant délibérément en cours de route, avant de nous rattraper par l’argument central de la confrontation des raisons de vivre et des raisons de mourir. Admirable dosage de bavardage et de maïeutique serrée. Si la discussion ne semble mener nulle part, c’est qu’elle ne peut pas avoir d’issue ailleurs qu’en acte. Le moyen de la grève est en soi politique, elle n’a de fin qu’à sortir des questions de vie ou de mort où veut l’enfermer le pouvoir.
    spoiler: Finalement, nous assistons à un Bobby Sands qui va dépérir pendant 66 jours de sa grève de la faim avant de mourir, propulsant l'interprétation tant psychique que physique de Fassbender (qui pour le film perdra 14 kilos) au rang de martyr. À cette occasion le temps du cinéma de "Hunger"se dilate, s’ajuste à celui de la vie. C'est une décélération, prolongée lors de l’agonie de Sands en ralentis nombreux, qui retourne la progressive passivité du corps en résistance à la mort qui vient. Elle leste l’amaigrissement fatal d’un surcroît de présence et de conscience, et renverse en dignité la dématérialisation du corps, afin d'anoblir la conviction de liberté indépendantiste, en leur permettant aux détenus de l'IRA d'obtenir leur revendication, malgré un refus statique jusqu'au bout de leur statut de prisonnier politique. Bobby Sands icône de cette grève de la faim fut élu paradoxalement député au même moment, mais il fallu attendre la mort de 9 autres grevistes de la faim à cette cause pour que la grève de la faim et celle de l'hygiène prenne fin, octroyant les revendications à ces prisonniers.
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    En résumé, un film coup de poing très fort, juste, parfaitement dosé, aux multiples métaphores dans la réalisation, et à la prestation corporelle prodigieuse d'un Michaël Fassbender exceptionnel. Un chef d'oeuvre, relatant un très dur avancement historique pour l'Irlande.
    CH1218
    CH1218

    158 abonnés 2 765 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 octobre 2014
    Désireux d’obtenir le statut de prisonniers politiques que leur refuse le gouvernement Thatcher, des séparatistes de l’IRA entament une grève de la faim. « Hunger » évoque les derniers mois de la vie du leader de l’armée républicaine irlandaise, Bobby Sands. Un film intéressant qui frappe par son réalisme et qui ne ménage pas le spectateur par sa dureté brute et froide au point que l’on arrive à ressentir la souffrance physique infligée aux détenus, ainsi que la puanteur des cellules. Cependant, le film de Steve McQueen souffre à mes yeux d’une lenteur excessive au point d’en devenir franchement ennuyeux. Même la longue et très (trop) académique scène du face-à-face en plan-séquence y perd de sa puissante. Reste la performance des acteurs et en particulier celle véritablement stupéfiante de Michael Fassbender.
    willycopresto
    willycopresto

    118 abonnés 1 349 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 octobre 2014
    C'est rare, mais ce film m'a horripilé ! Il faut vraiment avoir l'esprit scabreux pour se complaire à produire ou se repaître d'images comme celles-là ! Pire à les encourager ! Si vous n'êtes pas persuadé que la plus laide des laideurs est possible, regardez cette accumulation de vues ! Je n'ose même pas appeler ça film. Une note optimiste cependant, ce n'est pas avec sa fréquentation en salles françaises que Hunger a été rassasié !
    Mauvais, tout ce qu'il y a de plus mauvais !
    willycopresto
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 septembre 2015
    Hunger est souvent inégal : soit nous avons des scènes d'une grande qualité et d'une grande dureté ou soit nous avons un vide sidéral où l'on se surprend à penser à autre chose. Au milieu du film, nous voyons deux fabuleux acteurs qui se livrent un dialogue d'une exceptionnelle qualité pendant près de quinze minutes, rien que cela vaut le coup d'oeil. A contrario, la suite est vide, toute la phase de dégradation corporelle qui dure vingt minutes est à mourir d'ennui... Apres l'histoire de l'Irlande, je m'en contre-fou, je préfère les paysages de carte postale et la bière à tout se tapage sur une rébellion IRA, alors j'ai jamais su réellement être concerné par le film, mais par contre on souffre : sur les passages à tabac, les douleurs physiques et la rage au ventre qui nous monte... Mitigé donc !
    maxime ...
    maxime ...

    199 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 novembre 2018
    Pour un premier film on peu dire que Steve McQueen frappe très fort ! Le terme est parfois un peu galvaudé mais il serait toutefois dommage de le calfeutré surtout lors d'un pareil visionnage, alors osons, Hunger est un Chef d'Oeuvre ! C'est la seconde fois que je le vois pour être précis, il me marque de nouveau tant son impact et sa violence me bouleverse et me révolte ... Hunger est un film qui prend aux tripes et nous fait tout autant cogités, le combat de ces hommes en prisons ( gardiens et prisonniers ) est retranscrit avec horreur et fureur dans une complexité à la fois didactique et exigeante. Steve McQueen est radical dans sa mise en scène, immersion total, plan séquence très long et minutie global et que dire de l'ultime acte qui se déroule quasi sans paroles et s'achèvent dans un silence qui en dit long ! Rien d'outrancier, la justesse est sincère, le travail d’orfèvre de ce réalisateur est remarquable. Cette longue conversation dans le parloir est une des séquences les plus dingues jamais vu au cinéma selon moi ... Michael Fassbender et Liam Cunningham se livrent l'un à l'autre entre scud et compassion, ils cherchent à se comprendre à travers un affrontement verbale et une amitié qui saute aux yeux. Les autres comédiens moins connus sont aussi bluffants notamment dans la première partie. Un mot ( ou plus ) concernant Fassbender, il ne m'a jamais autant bluffé qu'ici. Alors certes sa prestation est très physique, son corps qui se décrépit à mesure pour finir complètement décharné m'a couper le sifflet, son regard vitreux aussi, mais c'est surtout dans son phrasé qu'il m'épate. Il amène du charisme, il n'en fait jamais trop, pas de chiqué ou de superflus héroïques dans sa composition mais une empathie et une force certaine. La meilleure manière de rendre hommage à l'homme qu'il incarne. Il fait partie de cette génération d'acteur comme Tom Hardy ou Ryan Gosling qui m’impressionne à chaque fois, ou presque ... J'aime beaucoup la musique de David Holmes et Leo Abrahams, je l'écoute encore sur youtube à l'instant ou j'écris ses mots. Pour conclure cette critique, j'ai revu les trois films de ce même auteur ce week-end, incroyable tant il oscille entre différent genres tout en conservant son style. Je suis impatient de voir son prochain film ...
    S M.
    S M.

    30 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 septembre 2014
    "Hunger" est une oeuvre politico-carcérale forte et choquante très maîtrisée, la mise en scène et la photographie étant superbes, qui ne peut laisser indifférent. Certaines scènes sont à la limite du soutenable. Michael Fassbender est époustouflant et nous prouve qu'il est un grand acteur. Perso, je le préfère carrément dans ce genre de film plutôt que dans les blockbusters. A voir absolument.
    StoRmEy
    StoRmEy

    10 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 septembre 2014
    Après "12 years as a slave" de ce fameux réalisateur qui avait bluffé tout le monde avec cette épopée d'un esclave ( mais pas trop en fait ) qui m'avait beaucoup plu, j'avais pendant plusieurs mois oublié ce McQueen ( 2ème du nom , enfin bref.) . Pourtant, l'autre jour je cherchais dans la collection de mon père quand je suis tombé sur ce film, un ovni pour ma part ( et même pour mon père, très grand amateur du 7ème art) mais avec malgré tout 3 avantages â mon goût : Ce réalisateur qui m'avait plus que convaincu avant ces évènements, un FassBender que j'avais découvert dans l'excellent Inglorious Basterds et surtout une histoire qui prêtait attention. Au bout d'une semaine d'hésitation quand au sujet traité, en évitant de lire la moindre critique, je me suis lancé ( après une lonnnngue journée de Lycée mais enfin passons ). Et alors là franchement, chapeau. Une photographie et des cadrages mémorables ( le fameux dialogue de 20 min entre le protagoniste que j'ai cité plus haut évidemment et un curé joué par Liam Cunningham - mais si l'illettré sans doigts dans GOT, vous vous en rappellez pas ? Putain ok Daenerys est bonne mais c'est pas le seule personnage à retenir réveillez vous !!!- dont 17 min en un seul plan non interrompu , magistral !) , le sujet traité, pas facile à mettre en scène il est vrai du fait de sa dureté, de sa froideur et de sa noirceur, je vous laisse découvrir; la durée du film qui aurait pu être un peu plus long maybeee ... But whatever ( je suis en mode bilingue noraj ), un bijou qui choquera plus d'un ( je n'avais pas ressenti ça depuis 6 mois après " La haine " de Kassovitz, aisèment dans mon top 5 français) , ennuyera d'autres et fera pleurer les plus sensibles. Je ne saurai conseiller ce film qu'aux plus avertis et prêts à endurer des scènes longues et monotones certes mais qui, sous un autre angle, ravira les amateurs de thrillers / drames époustouflants de réalisme ( l'histoire est 100% authentique) et qui arrivent parfaitement à communiquer les émotions en but d'être crées par le film. À réserver aux plus téméraires.
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