Derniers Avis : Les Aventuriers de l'Arche perdue - Page 14

Indiana Jones, c'est la saga d'aventure par excellence. Spielberg qui est un grand réalisateur nous livre des perles.
Et la musique est culte aussi, qui n'a jamais entendu le thème principal?(composé par John Williams évidemment). Indiana Jones va comme un gant à Harrison Ford qui est un acteur que j'adore et qui rend son personnage charismatique. spoiler: Les morceaux de bravoure sont légion(la poursuite automobile avec les nazis, la fosse aux serpents, le piège du temple amazonien, la bagarre sur le marché, le final biblique sur l'île cachée...).
Bref cela ne sert à rien d'écrire un pavé, les trois premiers Indiana Jones sont cultes!

Hommage au film d'aventures autant que sommet du genre, ce premier volet regorge de scènes toutes plus mythiques les unes que les autres. Spectaculaire et mené tambour battant, il bénéficie avant tout du charisme d'un Harrison Ford qui n'a jamais été aussi à l'aise que dans cet exercice. Avec Spielberg aux commandes et John Williams à la baguette, voici une aventure de choix, confinant à la parodie, avec des seconds rôles très travaillés autour de notre héros. Du grand art.

Au début des années 80 (je me souviens des soirées), Spielberg et son pote Lucas invente Indiana Jones, aventurier casse-cou intrépide et irresponsable, armé simplement d’un fouet et de son joli minois, qui emprunte à James Bond le flegme, la bravoure et l’absence totale de délicatesse. Ce qui le distingue, c’est son obsession d’archéologue, sa passion des bibelots antiques, en particulier ceux qui renferment un puissant pouvoir métaphysique. Dans ce premier lot de ses péripéties, il dispute à une faction nazi un coffre vieux de plusieurs millénaires, qui donnerait à qui le conquiert la puissance pour envahir le monde – rien que ça. Pour sa première grosse production, le cinéaste use de son habileté à construire un spectacle à partir de ce qu’il trouve. La période de l’entre-deux-guerres satisfait ses penchants naïfs, les visées tous publics encouragent son humour un peu lourd, même Hitler est pour lui l’incarnation rêvée du mal. Il est malin, Steven ; mais il est aussi déjà un maître, et ce qu’il nous pond là est d’emblée un classique, un pilier pour le genre, de ceux qui rassemblent une famille entière pour une soirée après diner. Compositeur complice dès les premières heures, John Williams n’est pas étranger à ce succès ; tout comme le charme magnétique d’Harrison Ford, ou la bonhommie de John Rhys-Davies, futur Gimli auprès de Peter Jackson. Mêmes les truquages, assez neutres, parviennent aisément à passer les âges. Elue au National film registry, référencement des œuvres qui rendent fier Oncle Sam, cette fantaisie luxueuse avait bien tout ce qu’il fallait pour s’inscrire dans la durée.

1981. Spielberg commence ici une des plus formidables trilogie de l'histoire du cinéma (oui pour moi le 4ème chapitre n'est qu'un énième caprice d'Hollywood). Même si ce volet est sans doute le moins réussi des trois, il n'en reste pas moins extraordinaire. Le génie de Spielberg à la réalisation, l'inspiration de John Williams pour une des B.O. les plus mémorables du septième art et la confirmation d'Harrison Ford en tant qu'acteur d'exception. Tous ces facteurs font que "Les aventuriers de l'arche perdue" pose la première pierre d'un édifice glorieux malgré des effets spéciaux qui ont pris un sacré coup de vieux.

Revolver et fouet à la ceinture, Indiana Jones fait découvrir au grand public l’archéologie sous la forme d’une grande aventure. Encore un grand concept dans les mains de Spielberg, le tout signé par la plume de Lucas (duo de choc). Bon, ça fait pas mal cliché, les changements de lieux d’un plan à un autre pour faciliter la scène d’action qui va suivre, ou encore les scènes où les méchants attendent deux heures avant de tirer (entre autres), histoire que le héros trouve une faille pour s’en sortir... mais bon, que voulez-vous, c’était la grande classe pour l'époque, on ne remarquait pas encore ce phénomène de mise en scène, alors on pardonne naturellement.
Harrison Ford distribue des marrons à tirelarigot, sous une bande sonore qu'on adore. Un nouveau personnage culte s’offre à nous, un aventurier attachant et marrant.
Dédicace à Michel & Michel qui ont de l'or en barres sous les yeux avec cette saga, il y a un énorme potentiel de faux-raccords, mais c'est aussi ce qui faisait son charme à l'époque. On regrettera juste que la fin de cette aventure soit légèrement "bâclée", en tout cas, la venue d'Indiana Jones dans le cinéma restera une excellente idée, laissant place à des aventures jouissives pour tout amateur du genre.

Au carrefour de deux brillantes décennies de cinéma, Steven Spielberg, associé à un autre monstre sacré alors d’actualité, Georges Lucas, signe un film d’aventure retentissant, une nouvelle référence cinématographique qui propulse la chasse au trésor au rang du divertissement suprême. 1981, les premières aventures du célèbre Indiana Jones s’intitulent sobrement Les aventuriers de l’Arche perdue. Film à la fois léger et imposant, cette quête de l’Arche d’alliance, sous forme de course contre la montre avec un régime nazi naissant et les odieux personnages qui s’y complaisent, est l’archétype probant du divertissement par excellence. Humour, exotisme, action, cascades, le tout saupoudré d’une petite part de violence et de mythes religieux, donne forme à une toute bonne illustration de ce qu’était le cinéma à cette époque, une fabrique de rêves, un passeport vers l’évasion, aussi farfelue soit-elle.

Pourvu d’une durée succincte de deux petites heures, en regard au potentiel narratif de l’œuvre, le film de Steven Spielberg ne laisse pas place aux temps morts. Alternant révélations, scènes d’action et intermèdes comiques à la vitesse de l’éclair, Les Aventuriers de l’Arche perdue est une barre de dynamite, un long-métrage aussi rythmé qu’extravaguant. Passé sur une sympathique séquence introductive d’une poignée de minutes en Amérique du Sud, Indiana Jones se retrouve bien vite à courir après un glorieux trésor enfoui, selon la légende, dans le désert égyptien, via une escale au Népal. Mais Les Aventuriers de L’Arche perdue, c’est d’avantage encore qu’une chasse au trésor agrémentée de quelques notes historiques, c’est aussi un empilement de séquences cultes. Je parle là, notamment, d’un séjour rebutant mais diablement efficace dans une fosse aux serpents, d’une délirante poursuite en camion ou encore de trouvailles comiques tel ce duel entre sabre et revolver.

Aussi poussives que soit ses nombreuses séquences, tout est pourtant diablement attractif. Comme on dit lorsque l’on parle d’un certain animal, tout est bon dans le cochon. Ici, l’expression s’accorde au cinéma. L’avènement d’Indiana Jones c’est aussi une consécration pour un comédien, Harrison Ford. Tout droit sorti de l’univers intergalactique de Georges Lucas, l’acteur endosse ici le costume d’un baroudeur de légende, un individu chaleureux, trépidant, une bête de somme affublé d’un costume aussi culte que l’aura de ses connaissance et que le bruit de son fouet. S’il faillait pourtant émettre des réticences face à cet énorme mastodonte de divertissement, il conviendrait d’apprécier les effets visuels de jadis comme diablement dépassés. Oui, Les Aventuriers de l’Arche perdue à pris un sérieux coup de vieux, notamment lors des séquences ou Spielberg s’est essayé à l’image de synthèse. Mais cela était sans doute inévitable. Notons également quelques incohérences historiques.

Voilà donc un classique du cinéma rondement mené, une œuvre passionnante et divertissante. Déjà jadis assis sur le succès retentissant de ses dents de la mère, notamment, le célèbre Steven Spielberg démontre une nouvelle fois son savoir-faire en termes de divertissement de masse. Sacrément habile pour offrir à tout un chacun une formidable échappatoire à la vie routinière, le réalisateur s’emploie à dépasser bien des frontières au service de l’épique, de l’aventure. Le pari fût donc une habile réussite, donnant naissance à une saga qui verra deux autres superbes films poursuivre la tradition. Comment passer à côté d’un tel monument? De la bande-son kitsch mais légendaire de John Williams aux répliques cultes d’Harrison Ford, rien n’est à jeter. 18/20

oulalalala le film bien surcoté que voilà... 4,3/5 faut pas abuser les gens...
Alors avant toute chose je tiens à préciser que je suis conscient que le film date des années 80 mais quand même... Les Star Wars des années 80 sont quand même mieux que ça... Franchement je l'ai trouvé pas terrible du tout ! Disons que c'est un film assez soporifique et grotesque sur le peu d'effets spéciaux qu'il y a... C'est limite un téléfilm.... En plus j'ai pas compris... Pourquoi le doubleur qui double Harrison Ford dans Star Wars ne le double pas dans ce film ? Et pire... ce même doubleur double le gars qui joue dans Sliders là, John Rhys-Davies et qui joue le rôle de Sallah dans le film... c'est un peu n'importe quoi surtout que c'est la même période par rapport à SW... En plus la voix VF qu'il lui ont collé ne convient pas à Harrison Ford...
Bref tout ça pour dire que je me suis ennuyé devant ce film qui a très mal vieilli je trouve... il n'est plus du tout dans l'air du temps ! 2/5

Je ne connaissais pas la série Indiana Jones en film mais uniquement en bande dessinée et je suis agréablement surpris, ce film est captivant , bien réalisé, bien ficelé malgré son grand âge et un jeu d'acteur magnifique.
Une pièce archéologique du cinéma a n'en pas douter

Chef d'oeuvre du genre. Du grand spectacle grand public assumé. Drôle, rythmé, poétique et comme dans tout les Indiana ( du moins les 3 premiers ) , une prise de risque magnifique à la fin

Film d'aventure par excellence, même si pas le meilleur de la trilogie concernant le rythme. Super casting, musique, ambiance...

Le premier volet d'une saga mythique, culte, un chef 'oeuvre. Un film qui mélange action, aventure, humour et fantastique. Harrison Ford est parfait dans le rôle d'Indi. Un scénario bien travaillé qui fait un lien avec la mythologie hébreux. Un film qui n'a pas prit une ride avec une bande son que tout le monde connaît.

sympathique film qui mélange aventure, action et humour intelligemment. Je suis pas un grand fan mais cela se laisse volontiers regarder.

Un très bon film d'aventures comme on n'en fait plus, même si les effets spéciaux ont quand même vieilli...

Un réalisateur (Steven Spielberg), un acteur (Harrison Ford), un scénario (ennemis Nazis), une bande originale (John Williams), une aventure, de l'action, de l'humour et un mystère biblique ... nous voilà paré pour l'une des plus grandes aventures de tous les temps. Que dire, on est émerveillée par le charisme et l'humour irrésistible de notre Han Solo chouchou de la guerre des étoiles déguisé en archéologue au lasso, le casting est excellent et les scènes cultes s’enchaînent à tout va. Le thème principal du film restera gravé dans les mémoires comme l'un des plus marquants du cinéma, les effets de surprise et la maîtrise de la caméra font planer le spectateur dans cette aventure dangereuse et excitante. Sans nul doute le meilleur film de la saga à mes yeux, un univers et un personnage tout deux emblématiques et référentiels, une imagination débordante de génie par un réalisateur modèle, celui qui a su maîtrisé n'importe quel genre de film, tout comme l'a fait Kubrick mais différemment. Un grand, très grand classique dégoulinant de charme et de bonne humeur, malgré son kilométrage il reste toujours la référence en matière d'aventure et de divertissement de haute voltige.

Le premier opus de la saga, un film d’aventure savoureux et distrayant qui mélange habilement action et conte fantastique, humour et romance avec le mythique personnage d’Indy (irrésistible Harrison Ford), mais l’ensemble a un peu vieilli.