Derniers Avis : G.I. Joe - Le réveil du Cobra - Page 9

Sans pour autant révolutionner le genre, G.I. Joe a le mérite de proposer un casting bien fourni et de sympathiques scènes d'action. On appréciera ou pas le scénario certes classique mais teinté de twists, bien qu'un peu rocambolesques. Bref, un bon moment à passer, on attend de voir Bruce Willis dans la suite!

Ridicule tout simplement , du fric jeté par les fenêtres , mal joué , histoire qui tient sur un post it . Mise en scene nul , vue et revue , bref de la daube mais de la part d'un film qui s'inspire de jouet faut pas s'attendre a grand chose , typique des blockbusters américain dénué de sens a ne pas voir une horreur .

Etant une adaptation des célèbres jouets militaires, on n'attendait pas grand chose de ce "G.I. Joe". Le moins qu'on puisse dire, c'est que le film défie toutes les craintes en s'avérant n'être rien de moins qu'un nanar à gros budget. Le scénario semble avoir été écrit par un enfant de primaire : les protagonistes s'affrontent à coup de gadgets évoquant plus de la space opera que du militaire, des bases titanesques sont construites en toute discrétion, le grand méchant à l'accent prononcé veut "conquérir le monde", et les séquences de flash back pseudo dramatiques sont à hurler de rire (l'une d'entre elles fait furieusement penser aux ninjateries de Godfrey Ho, c'est dire !). Les acteurs sont quant à eux à la ramasse (Channing Tatum aussi expressif qu'un mollusque, le pauvre Joseph Gordon Lewitt dans son pire rôle, etc.), ce qui est sans doute expliqué par le fait qu'ils ont du passer une bonne partie du tournage entourés de fond vert. Le film est en effet bourré de CGI pas spécialement réussi, ce qui renforce l'impression que l'on se trouve dans un dessin animé "G.I. Joe". Sans aller aussi loin, on se rapproche de ce qu'aurait pu être "Megaforce", tourné dans les années 2000.

Ce film a beaucoup d'effets spéciaux aux allures de jeux vidéo, plus de deux heures d'explosions non-stop ! Du muscle, des armes, des effets spéciaux. Pas foncièrement original, ce pop-corn movie se révèle impeccable pour les amateurs de combats millimétrés et de courses-poursuites. Rattrapé par un scénario fainéant , le long-métrage, dont on se moque parfois, reste tout de même un divertissement bien calibré , de l’action, de l’action et encore de l’action ! Pas de temps mort, l’histoire se découvre au fil des minutes et non à travers un long et barbant flashback qui viendrait saccader le rythme très fluide du film. G.I. Joe nous replonge immédiatement dans les souvenirs de notre enfance où l’on s’amusait à refaire le monde (et à le détruire par la même occasion) et c’est donc avec des yeux d’enfants que l’on regarde cette superproduction. Car G.I. Joe est avant tout un immense terrain de jeu où chaque parcelle du décor est propice à une multitude d’explosions et d’effets bien foutus dans leur ensemble hormis un ou deux un peu « too much » à mon goût (notamment une séquence à moto des plus irréalistes). En attendant le 2 est c'est pour bientôt !

Film avec beaucoup d'effets spéciaux de qualité. Manque un peu de justesse dans le jeu d'acteurs mais un bon film d'action qui se laisse regarder.

Très bon film d'action il y a de l'action non stop et même si le scénario est banal c'est pas grave on a pas le temps d'y penser tellement ça bouge, les scènes sont très impressionnantes surtout celle à Paris une des plus impressionnantes que j'ai vu.

Depuis que Michael Bay a réussi le pari de rendre crédible nos petits Transformers d’entant c’est au tour de Stephen Sommers (la Momie 1 et 2, Van Helsing…) d’y mettre son grain de sel avec « G.I Joe ». Après les succès absolument phénoménaux des deux premiers Transformers, il semblait tout à fait logique qu’HASBRO propose à la Paramount d’adapter ses « G.I Joe » au cinéma.

Ne perdons pas de temps sur le pitch du film, un grand méchant écossais veut mettre à mal l’humanité, pourquoi ? Pour que le monde éprouve la plus grande peur qu’il n’ait jamais connu TIN tin ! Voilà la base du scénario de « GI-Joe », il est clair que de toute manière le film ne s’adresse en majeure partie qu’à un très (très) jeune public tant certaines séquences font penser aux films d’aventure ou de monstres des années 80’s 90’s. Il faut voir l’une des scènes finales pour le croire, Stephen Sommers n’a pas cherché à comprendre et assume complètement ce premier degré qui en fera sourire plus d’un.

Mais en ce qui nous concerne, nous ne venons pas voir « GI-Joe » pour son scénario, ni même pour ses dialogues mais pour espérer y trouver un côté fun, décalé et de grosses séquences d’action. De l’action, il n’en manque pas : le film est suffisamment bien rythmé et la séquence dans Paris vaudra à elle seule votre place de cinéma, tout simplement énorme ! En fait c’est bien simple : imaginez tous les ingrédients qui composent une séquence d’action, tout ce qu’il est possible de réaliser à l’heure actuelle en terme d’effets spéciaux, qu’un réalisateur secoue bien le tout comme il faut et vous l’envoie en pleine tronche en prenant bien soin de ne pas gâcher une seule goutte, ce qui vous donne au final, UN JOYEUX BORDEL. Des voitures qui voltigent, des monuments historiques qui s’écroulent, une course poursuite dans un Paris plein d’embouteillages, un ninja qui s’accroche sur le toit d’un Hummer qui ce transforme en char d’assaut et qui envoie des missiles, deux mecs en combinaisons « super cheap » qui courent comme des tarés à 80km/h… Oui, « GI-Joe » est un foutoir pas possible à l’image de son découpage narratif (une présentation des personnages en roue libre) ses déluges d’effets spéciaux parfois un peu bancals, mais qu’importe le plaisir, coupable ou non, est bien présent.

Si le début du film m’a fait tout de même un peu peur, on se retrouve par la suite comme des gosses à voir Duke et Ripcord courir avec leurs combinaisons accélératrices, foutre un bordel pas possible dans notre capitale, à voir des acteurs avec un jeu supra-théâtral au premier degré (Dennis Quaid dans le rôle du général Hawk est assez hilarant), de l’humour, une bonne instru’ composée par Alan Silvestri (Predator, Retour vers le futur…) de bonnes grosse scènes d’action sous un déluge de SFX qui s’apparentent parfois à de la bouillie visuelle, des personnages que l’on appelle « Storm Shadow », « Snake Eyes » ou « Destroo »… C’est clair, « GI-Joe », au même titre que Transformers nous rappelle effectivement qu’un beau jour on étaient tous des mioches ^^

Il ne manque plus qu’à « MATTEL » d’adapter les aventures de « Ken et Barbie ».

Rédigé par Vincent du groupe Madealone

Très bon blockbuster de la part des américains. Un bon casting d'acteurs (Denis Quaid) et d'actrices (Rachel Nichols) qui composent une équipe de soldats en opposition d'une équipe de terrorisme avec des armes et des gadgets différents. Bonne intrigue car ce film montre ce qu'on peut faire avec la nanotechnologie en mal. Des scènes d'actions surprenantes et bien enchaînes dans le film. Ce film tape sur tous les côtés (Combats à terre, dans les airs ou dans l'eau). Des jolies décors et costumes. Un film qui mérite une trilogie.

Le ton du "nanar exutoire" est donné d'entrée de jeu, ce qui fait que l'on n'est pas surpris par l'enchainement de ces mauvaises scènes rivalisant de ridicule.
On pourra retenir la course poursuite dans Paris s'achevant sur l'effondrement de la Tour Eiffel : une originalité de lieu et d'action qu'on n'a pas l'habitude de voir dans de tel nanar.

trop d'action à tout va trop de rebondissement, des très bonne scènes mais on se perd !!!

Ce film est plutôt une bonne surprise. Je m'attendais vraiment à un bide et finalement les scénaristes ont fait du bon boulot. Le casting est bien choisit, l'action et les effets spéciaux sont à couper le souffle. Et Joseph Gordon-Levitt en grand méchant est exceptionnel !

Le film d'action de l'été si vous aimé voir des voitures et des magasins détruit et la tour Eiffel détruit en deux avec des costumes métalliques qui font des sauts de trente mètres et ont des mitraillettes équipé et un scénario déjà vu alors c'est votre film.

Malgré de bonnes scènes d'actions réalisées sur un excellent rythme et des effets spéciaux faisant le travail, le film connait un scénario insipide avec des clichés à n'en plus finir et des personnages caricaturaux. Cela reste une série B passable en ne se prenant pas la tête.

Pas terrible. Des personnages caricaturaux: le black balèze, l'ingénieur informaticien, le black marrant etc etc..; des coïncidences de ouf quand même quand on y pense: le soldat courageux (Channing Tatum pas crédible je trouve) protège une arme de destruction massive contre un hélico futuriste, et qui c'est qui sort de l'hélico susnommé ?! Son ex en cuir et talons aiguilles !! Le pire ennemi de toujours de Snake Eyes fait lui aussi partie des méchants, sans parler du mec défiguré et masqué...qui cela peut-il être??! Bref, il y a de l'action mais l'Action du film est clairement la course poursuite dans Paris, le reste est bof... Film pour les enfants et pré-ados!

G.I joe est un film prétentieux qui se veux divertissant, spectaculaire et jouissif pour les spectateurs. Si ingurgiter des images abject filmés par un cameraman du dimanche qui brûlent les yeux jusqu'à bousiller la rétine, alors oui ce film est divertissant, même très très divertissant.
G.I joe fait donc parti de ces films dopé à l'action jusqu'à plus soif où tout ce qui fait la beauté d'un film est joyeusement piétiné par une bande de producteurs avares. Car clairement, G.I joe est un film commercial dont le seul but est de rapporter un maximum d'argent avec un film loin du minimum syndical pour qu'il soit ne serait-ce qu'agréable.
Commençons par la réalisation de Stephen Sommers qui s’évertue à rendre chaque plan le infecte visuellement pour rendre son film toujours plus mauvais. Il cultive donc le mauvais goût des tremblements de terre fait main, des mauvais cadrage et autres horreurs. Mais au delà de cette " manière de filmer ", nous sommes gratifiés d'un montage à la hauteur du film qui de rendre les scènes encore plus illisibles qu'elles ne l'étaient déjà. Nous pouvons ainsi nous retrouver devant des successions de plans collés les uns à la suite des autres dans un joyeux pèle mêle épileptique, notamment lors des scènes d'actions qui deviennent un supplice visuel parfois totalement incohérent. Mais si l'aspect visuel du film ne se résumait à cela le film serait beaucoup mieux, car on ne peux parler de l'aspect visuel du film sans parler de sa photographie immonde et de ces choix nanardesques de mise en scène. Tout au long du film, Stephen Sommer nous offre des choix esthétiques hideux rendant chaque lieux du film on ne peux plus moche et surtout au combien peu crédible. Il nous aurait livré le film juste avec les fonds verts que les décors seraient toujours plus crédible. La mise en scène quant à elle est une vrai catastrophe ( allant donc de paire avec le film ) qui place les combats, en particulier ceux des ninjas ennemis, dans un univers à mi-chemin entre les power rangers et des gamins jouant aux power rangers. Les combats sont tellement ridicule que même lors des moments " " " tragiques " " " on ne peux s'empêcher de rire d'incrédulité devant ce qui est vanté comme de " " l'action " " et qui n'est en réalité qu'un moyen de combler le vide intergalactique du scénario.
Parlons en du scénario d'ailleurs, car si il se contenterai d'être un scénario classique de blockbuster ( les gentils contre les méchants ) il ne serai pas autant risible. Il a donc la fâcheuse tendance à allier à la fois des flash-back aussi intéressant que le film mais aussi des twists tellement à côté de la plaque que l'on met un certain temps avant de se rendre compte que les scénaristes étaient sérieux. Au final, les quelques mots du scénario servent à introduire ces phases d'actions citées précédemment.
Avant de conclure, arrêtons nous un instant sur les acteurs. Car pour un film aussi médiocre il fallait que le casting soit à la hauteur du reste, ce qui est certainement la seule réussite de ce film. Channing Tatum interprète donc son personnage de manière bi-expressive ( content/pas content ) ce qui reste au niveau bien bas de son personnage.La présence de Marlon Wayans ne dérange pas autant que craint puisque pour un film parsemé d'humour bête, il permet un meilleur passage de cette humour très premier degré. Le pauvre Joseph Gordon Levitt est certainement dans le pire rôle de sa carrière et ne fait rien pour arranger les choses.
Pour conclure, G.I Joe est une immondité cinématographique qui ne prends pas les spectateur sérieusement pour leur offrir un " film " bidon en tous points.