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    La Horde sauvage
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    Roub E.
    Roub E.

    731 abonnés 4 820 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 novembre 2016
    Un western comme je les aime. C'est sale, les différents personnages sont tous plus pourris les uns que les autres et en particulier ceux qui tiennent les rennes et qui entraînent les autres dans une fuite en avant vers la mort. Tout les plus bas instincts de l'être humain sont présents en eux, à commencer par la cupidité qui semble animer toutes leurs autres actions. Avec son casting de "gueule", une mise en scène grandiose jouant sur les grands espaces en même temps qu'elle colle aux visages des protagonistes c'est un grand moment de western crépusculaire admirable.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    73 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 octobre 2016
    Dans ce western culte et violent, Sam Peckinpah dépeint non sans désespoir la virée d'une bande de renégats dans les États-Unis et le Mexique du début du XXème siècle. Le cinéaste s'emploie surtout à montrer le côté sombre et irrécupérable de l'âme humaine. Ici, aucun personnage ne vient sauver l'autre dans sa perfidie et les enfants n'attendent que de prendre la relève des adultes dans leur ignominie.
    overlook2
    overlook2

    19 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 septembre 2016
    Signe des chefs d’œuvre, « La Horde sauvage », ce poème mortifère et élégiaque, gagne à chaque vision en modernité et en puissance. Sur le fond, d’abord : démystifier le western, c’est d’abord s’attaquer à une certaine forme de propagande hollywoodienne (révisionnisme historique et idéalisation des valeurs héroïques), et donc s’attaquer à l’impérialisme américain : en pleine guerre du Vietnam, impossible de ne pas rapprocher le carnage final des massacres perpétrés par l’armée US. Quoi de plus actuel ? Le film interroge aussi les soubassements de la violence et surtout ses mécanismes de reproduction : refusant l’angélisme et l’innocence associés à l’enfance, Peckinpah la raccroche au contraire à la violence du monde que les enfants sont condamnés à reproduire (durant le film, c’est une ligne rouge qui commence avec la torture du scorpion par les petits villageois jusqu’à l’enfant soldat de la fusillade finale). Cette violence s’inscrit dans tout le tissu social et façonne les esprits, sous sa forme la plus visible (guerres, émeutes, attentats…) mais surtout sous sa forme le plus profonde qui est économique (dénuement des mexicains qui évoque évidemment des images tristement actuelles). Et on touche ici l’une des thématiques les plus fortes de l’œuvre de Peckinpah : la notion de progrès sur lequel se sont construites nos sociétés depuis le 18ème siècle et que l’on pare de toutes les vertus, n’est en fait qu’un leurre, car si ses effets sont visibles sur le plan technique, il ne sert qu’à nous aveugler sur les soubassements de notre civilisation : l’humanité fabrique des voitures, des avions, mais est incapable d’échapper à sa propre violence autodestructrice. Entre perversion des valeurs et regard nostalgique sur un monde en décomposition, « La Horde sauvage » dessine les contours d’un des discours les plus désabusés et contestataire du cinéma moderne. Sur le plan formel, le film de Peckinpah révolutionne aussi la place du spectateur qui est ici non plus réconforté dans sa position, mais malmené, soumis à la profonde ambivalence humaine (les héros sont pétris de cynisme) et à l’ambiguïté de sa position de voyeur - le spectacle de la violence, d’un réalisme jamais vu à l’écran, retrouve dans le film sa nature scandaleuse, tout en cristallisant son pouvoir fascination, profondément ancrée dans la nature humaine. Cette mise en scène de la beauté paradoxale de la mort dénonce la fascination qu’exerce la violence, et Peckinpah fait en sorte que le spectateur ressente de la manière la plus forte, la plus terrible possible, la folie meurtrière qui peut s’emparer de l’homme. Le génie du cinéaste est qu’il parvient à transcender de sa signification primaire ce déchaînement baroque et fiévreux des images, et nous fait du coup accéder à une poésie brutale. Dans le traitement définitif qu’il fait de la violence, Peckinpah est à la fois un peintre, un analyste, un poète et un pamphlétaire. L’utilisation révolutionnaire et virtuose que Peckinpah fait du ralenti et du montage irriguera tout le cinéma du 20ème siècle jusqu’à nos jours, faisant du cinéaste l’un des plus grands créateurs de forme du cinéma moderne. La succession accélérée des ralentis transforme le temps en chaos et restitue avec une acuité unique l’irruption de la violence, tandis la multiplication quasi cubiste des points de vue ne fait que confirmer à contrario l’impossibilité de fixer l’instant de mort. Ce double mouvement dénote d’une vraie morale de cinéaste et lave Peckinpah de toutes accusations de complaisance. La virtuosité de la mise en scène est ainsi au service des intentions du cinéaste, qui oblige le spectateur à passer sans cesse de la fascination à la répulsion. Mais « La Horde sauvage » n’est pas seulement un chant funèbre et un opéra contestataire, il dissimule aussi en son sein une humanité vibrante, un regard jamais misanthrope, mais désabusé et compatissant. Au cours du film, ses protagonistes nous livrent leur double visage, l’un froid et cruel, l’autre – comme touché par la grâce – profondément tragique. Ce sont ceux de personnages qui se savent condamnés, qui ont fréquentés les abimes et qui savent l’absurdité de l’existence. Ces anti-héros absolus vont pourtant revenir à la vie dans un baroud d’honneur qui marque à la fois leur retour en dignité et prolonge encore un peu cette insoutenable légèreté de l’existence. Cette poignante élégie, à la fois baroque et profondément délicate, qui peut résumé l’existence humaine à un éclat de rire au moment de mourir, est peut-être la marque définitive du génie de Peckinpah. Qui fait que, dans son cinéma, tout est d’une hallucinante, tragique et dérisoire vérité.
    The Claw
    The Claw

    58 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 août 2016
    Passé le générique d'ouverture et cette première séquence de fusillades, que reste-t-il du film ? Pas grand chose : beaucoup de bla-bla, une musique mexicaine qui n'en finit pas (et qui est vraiment désagréable avec ses sons stridents : ça m'a cassé les oreilles), et une intrigue décousue à laquelle je n'ai pas compris grand chose. Bref, je me suis ennuyé royalement devant ce soi-disant chef-d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 août 2016
    Sam Peckinpah a entamé sa carrière de manière foudroyante. D’abord adulé par la critique avec ses premiers essais westerniens (« New Mexico » et « Coups de feu dans la sierra »), une commande s’offre à lui : le film de guerre « Major Dundee ». Ce qui pouvait concourir à une réussite totale s’est avéré une catastrophe sans précédent. De cet échec (commercial et moral), il lui a fallu attendre cinq ans avant de mettre au point « La horde sauvage », son cinquième long-métrage, sorti sur les écrans français en octobre 1969.
    Répondant coup pour coup à la mode du western spaghetti (la trilogie du dollar est sorti successivement entre 1965 et 1966, et Sergio Leone sert son « Il était une fois dans l’Ouest » l’été 1969), l’ombrageux Peckinpah fait face à Leone en un duel de mise en scène ; réalisation parfumant « La horde sauvage » d’une éternelle cure de violence.
    Dénonçant la violence par la violence, le futur réalisateur de « Croix de fer » orchestre la fin d’un mythe, celui des hommes sans noms, les chasseurs de primes en quête d’aventures. En cela, la scène d’introduction est un véritable ballet dans lequel scorpions incendiés par les enfants et images de générique arrêtées sur fond gris (parodiant le spaghetti léonien) alimentent la vie miséricordieuse des hommes. Et plus particulièrement de tueurs se faisant passer pour l’armée qui, elle aussi, en prend pour son grade : décrépie, avare de pouvoir et d’argent. L’armée est ainsi la seule personne morale à pouvoir se pourfendre de ses erreurs car elle est en route pour le progrès. Révolution minime étant donné un final des plus dantesques. En poussant la violence jusqu’à son paroxysme (« je veux que le spectateur ressente de la manière la plus forte, la plus terrible possible, la violence cataclysmique, irresponsable qui peut s'emparer de l'homme »), Peckinpah ose s’insurger, dénoncer et parodier publiquement la guerre (en cette veille de 1970, les Etats-Unis ne sont toujours pas rentrés du Vietnam !!) en laissant la mitrailleuse gatling comme un personnage à part entière, cette arme ressuscitant la folie autodestructrice des hommes. La séquence finale, qui a nécessité douze jours de tournage parmi les quatre-vingt du film, non censurée, devenue culte avec le temps, écorchera à jamais la mémoire collective du cinéma. Et de se classer parmi les fusillades les plus mythiques jamais réalisées. Bravo Peckinpah !
    Ainsi, sur un ton des plus macabres, Peckinpah livre un western crépusculaire qui amorce le genre en cette fin d’année 1969 pour mieux disposer de ses irrévérencieux atouts, à commencer par la musique qui fait dans la contre-mesure de Morricone. Toute en douceur, mélancolique, elle ne s’impose pas et c’est justement là-dessus que Sam l’anti-Leone parjure les codes du spaghetti. Un peu comme le fera George Roy Hill pour « Butch Cassidy et le Kid » en mêlant image d’archives et ambiance brumeuse. Tous mes chapeaux, Jerry Fielding !! Compositeur pour Peckinpah (« Les chiens de pailles », « Apportez-moi la tête d’Alfredo Garcia »), il travaillera également pour Winner (« Le flingueur », « Scorpio »). Toujours dans l’ambiance, le futur réalisateur du « Guet-apens » (avec le couple McQueen-Ali MacGraw) a embauché un maître dans la photographie qui propose une image des plus léchées. Les magnifiques paysages déchantent lorsque la poudre arrive. Débuts fracassants (ces fameux plans grisonnants) et final en apothéose (légère brume qui s’assombrit lorsqu’apparaît « The end »). Qui d’autre que Lucien Ballard (« L’ultime razzia », « Nevada Smith »…) pouvait officier en maître de cérémonie ?
    Une autre raison de ne pas rater ce film ? Sa bande de gangsters, tous écorchés par leur vie de chasseur de primes, dépourvus de sentiment et se sentant à l’aube d’une nouvelle ère sans denier y participer. Les décomplexés mais néanmoins charismatiques gueules cassées embauchés par le scénariste de « L’invasion des profanateurs de sépultures » frappent fort et c’est à coups de revolvers que leurs interprétations est elle-aussi rentrée dans la culture du cinéma.
    William Holden, Ernest Borgnine, Robert Ryan, Edmond O’Brien, Warren Oates, Ben Johnson, Jaime Sanchez, Emilio Fernandez, Bo Hopkins, Albert Dekker et L.Q. Jones (voir leur filmographie) cassent la baraque et c’est en montrant leurs gueules délavées par la poussière qu’ils offrent une prestation incandescente, digne d’être arrêtés par un shérif le plus déloyal possible.
    Pour conclure, « La horde sauvage », chef d’œuvre mythique et baroque, est un véritable opéra de sueur et de sang orchestré par la maîtrise d’un Peckinpah au sommet.
    Spectateurs, attention… Holden et Borgnine vous tiennent en joue !
    Interdit aux moins de 12 ans.
    maxime ...
    maxime ...

    195 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 août 2016
    Réputé pour sa violence et pour sa porté politique, La Horde Sauvage ne déçois pas ! A mes yeux le Western qui m'a le plus retourné et impressionné. Je suis encore novice avec la filmographie de Sam Peckinpah mais voila que j'ai une très grosse envie de découvrir ces autres créations. Un Classique.
    Stephenballade
    Stephenballade

    353 abonnés 1 235 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 juin 2016
    "La horde sauvage" réunit des gueules pour une aventure d’une grande violence, jugée si extrême à l’époque que ce film fut raccourci de quelques minutes et interdit aux moins de 18 ans à sa sortie en salles, avant d’être reclassé interdit aux moins de 12 ans. En effet, malgré les 15 minutes manquantes, nous voyons des giclées de sang, des seins se faire tripoter, et j’en passe… L’entame du film est extrêmement prenante, avec l’arrivée en ville d’une bande de cavaliers, avec cette alternance de petits plans plus ou moins courts visant à exposer les différentes types de vue, sous une musique particulièrement réussie de Jerry Fielding, laquelle contribue à capter l’entière attention du spectateur ainsi que de susciter une certaine tension. On retrouvera cette tension de façon sporadique selon le degré de gravité de la situation, avant de retrouver celle de la scène d’ouverture lors de la préparation de la grande scène finale. "La horde sauvage" est un bon western, bien maîtrisé, tant techniquement qu’esthétiquement parlant. Il est clair que Sam Peckinpah sait utiliser la caméra, avec ces plans très courts qui favorisent la multiplicité des angles de vue. Mais l’utilisation des ralentis me dérangent quelque peu : je ne vois pas bien leur utilité, si ce n’est pour esthétiser les scènes visées, mais ça casse la dynamique de l’action, quand bien même on ne peut échapper au sentiment d’horreur quant aux massacres perpétrés. De plus, je déplore le fait qu’il n’y ait pas de personnage outrageusement charismatique qui sorte vraiment du lot, bien que nous soyons invités à suivre l’épopée d’une poignée d’hommes. On est loin des personnages tels que nous en avons connus comme dans "Alamo", ou la trilogie du dollar, pour ne citer qu’eux. En dehors des scènes de fusillades, c’est plat, avec des dialogues qui ne disent finalement pas grand-chose, mais je suppose que c’est pour mieux développer la psychologie des personnages tout en améliorant l’implantation du contexte. Mais le film parait incroyablement long. En résumé, je me suis un peu ennuyé devant "La horde sauvage", et c’est ce qui explique ma note, bien en deçà de la moyenne attribuée par l’ensemble des internautes ayant voté.
    willy holden
    willy holden

    3 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mai 2016
    Ceux qui n'ont pas vu ou pas aimé ce film devraient être traduits en justice. C'est vrai que c'est un film d'hommes, les seuls personnages féminins étant soit des prostituées, soit des salopes, soit les deux. C'est un films d'hommes car il est question d'amitié, du sens de la vie, de ce qu'on est. Bref, ceux qui aiment les films de Desplechin, qui trouvent que Fanny Ardant est formidable, et que Benjamin Biolay fait de la musique, ceux là seront déçus. Mais les autres...
    Tous les films de Peckinpah racontent la même histoire donc celle de La horde sauvage n'a aucune importance. Il suffit de voir ces hors la loi vieillissants, dans un début du 20ème siècle qui n'est plus leur époque, se précipiter dans la mort en faisant un gros doigt d'honneur à tout ça, car justement à la fin il ne restera que l'honneur.
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    52 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mars 2016
    Un film brut et passionnant, à la puissance dramatique très prenante. Peckinpah nous offre un western désabusé, au tournant du 20ème siècle, qui joue avec humour et ironie sur la fin d'une époque. Le cinéaste s'amuse avec cette bande de vieux grognards, brutes épaisses à la moralité finalement pas si douteuse. C'est violent, marrant, le suspense est là, la mise en scène est musclé parfois, contemplative souvent, et l'action est bien présente. Un excellent film.
    L'harmonica
    L'harmonica

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 février 2016
    " C'est un film sur la mauvaise conscience de l'Amerique " Cette phrase, de Sam Peckinpah, ne peut pas mieux résumer son film. Ce western date de 1969, nous sommes en pleine guerre de Viêt-nam et le contexte politique a un vrai écho dans le film. Peckinpah dépeint une violence réaliste, crue et laide. C'est un monde immoral qui est montré à l'écran . Peckinpah dénonce clairement les agissements du gouvernement Americans en 1969.
    Par sa violence, ce film souhaite montrer la perte de l'innocence de l'enfance dans cette société qui ne convient pas à Peckinpah. En effet, tout est violence. Même les enfants sont violents dans ce film. C'est un discours pessimiste sur la condition humaine qui est présenté tout le long du film.
    Agir juste ethiquement n'est possible que lorsque l'on vit dans l'idylle, coupé de la société (séquence au village d'Angel). Autrement, lorsque l'on est confronté à la réalité, la violence n'épargne personne.
    Ce film force le spectateur à voir la violence inhérente à l'être humain. Ce western a également un vrai propos sur le progrès. Les personnages des hors la loi vivent dans un monde qu'ils ne comprennent plus ; un peu comme Peckinpah en 1969. Et au final, le progrès éloigne l'homme de la vertu et le mène à la violence et à la perte de toutes valeurs éthiques.
    La mise en scène est très dynamique. Lorsqu'il y a des fusillades, ça va très vite. Les plans s'enchaînent vraiment rapidement et la violence en est doublée. L'utilisation des ralentis, révolutionnaires en 1969, donne de la force aux images violentes et rend certains plans magistraux.
    Notons l'utilisation des flashbacks qui permettent de donner de l'enjeu à l'histoire.
    Les acteurs tiennent vraiment bien leur rôles.
    La musique est extraordinaire, franchement c'est presque ce que j'ai préféré dans ce film. Cette bande originale est dantesque.
    Bref, film culte extraordinaire, qu'il faut voir car il est important et car il raconte beaucoup de choses du contexte historique de l'époque durant laquelle il a été créé. Il me manque un petit "je ne sais quoi" pour que je mette 5 étoiles mais c'est totalement subjectif.
    Exceptionnel !!
    orsantone
    orsantone

    2 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 janvier 2016
    Sam Peckinpah au sommet.
    Un film d'homme(s).
    Un de ces films forts, qui laissent une trace.
    Comme un vin corsé qui reste longtemps en bouche.
    Eselce
    Eselce

    1 200 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 janvier 2016
    Un western qui démarre fort et possède une dose d'humour très appréciable. Bon scénario, bons personnages, bonne action... Et violent, pour l'époque ! Du sang, des règlements de compte et des attaques à main armée, bien sûr. A voir, c'est excellent, pour l'époque et encore une très bonne distraction aujourd'hui. Un final à couper le souffle !
    _domimi_
    _domimi_

    7 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 décembre 2015
    Violent, cruel et parfois immoral. Une traque vécue du mauvais côté et qui a l'intelligence de ne pas juger cette horde de bandits, mais simplement d'en dépeindre les sauvages qui la compose.
    Florent B.
    Florent B.

    51 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 novembre 2015
    Décrié lors de sa sortie en salles, aujourd'hui rangé dans les films cultes, La Horde Sauvage aura marqué le cinéma, tant sur le plan artistique qu'esthétique. L'utilisation de ralenti et la violence qui s'y dégage furent révolutionnaire pour l'évoque. Un casting qui crève l'écran, une réalisation jouant sur le souci du détail, et un final sanglant à souhait. Choquant, violent, dérangeant mais un western qui marque les esprits, un western à voir à tout prix. À posséder.
    pfloyd1
    pfloyd1

    100 abonnés 2 026 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 novembre 2015
    La horde sauvage fait partie du top 10 des meilleurs western qu'il ne fallait pas manquer (cité un un mag spécialisé), donc acte. Même s'il ne faut pas perdre de vue qu'il a été tourné en 1969, je trouve le jeu d'acteur un peu kitch , un peu dépassé. Violent pour l'époque et, à ce que l'on m'a dit, c'est ce qui le différenciè des autres westerns (grandes scènes de tueries au début et à la fin), l'histoire plait. Cette traque interminable reste parfois pantois suite à des dénouement peu probable dans des situations critiques...un peu simplifié tout ça. La bande son n'est pas mémorable non plus; ceci dit il reste un bon western à voir, sans plus.
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