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    Two Lovers
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    910 critiques spectateurs

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    Vitaminea
    Vitaminea

    5 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 septembre 2022
    Film niais. Le héros n'a pas de neurones. Les dialogues sont inexistants et le scénario est nul. La potiche blonde surjoue, rien n'est naturel chez elle.
    spoiler: La fin est immorale. Si j'avais un mec aussi mou, je lui tordrais le cou. Mais bon, ouf, je ne suis pas concernée.
    tarba1000
    tarba1000

    8 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 avril 2021
    J'aime beaucoup James Gray habituellement, mais là je ne l'ai pas du tout suivi. Je ne suis sans doute pas un très bon public pour un film uniquement basé sur des relations sentimentales certes, mais là il semble que ça soit spécialement raté. On ne croit pas une seconde à ces histoires d'amour. Le gars complètement dépressif et asocial dont 2 superbes femmes tombent amoureuses en même temps, ça n'existe pas et donc rentrer dans le film est très difficile. Gwyneth Paltrow sur-joue en plus ce qui n'arrange rien. Bref, déception!
    LAvisDuNeophyte
    LAvisDuNeophyte

    2 abonnés 417 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2021
    Le lien avec Nuits Blanches ne saute pas aux yeux. Inquiétant et dérangeant. Ni manichéen ni attendu.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 357 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 octobre 2020
    Two Lovers l'un des films les plus prétentieux et le plus mal écrit que j'ai vu récemment. Nous comprenons dès le début que le personnage de Phoenix est déprimé et tente de se suicider. Puis pendant toute la durée du film il essaie d'agir normalement essayant de choisir entre une brune chaude qu'il n'aime pas (mais ça ne le dérange pas de la frapper) et une blonde chaude en fait il doit être est fou. On ne sait jamais quelles sont les raisons de son état et on ne sait rien d'intéressant sur lui ou ses deux amants. Pour le film qui essaie d'être un drame psychologique sérieux il est assez superficiel et souscrit. Et les allusions à Dostoïevski qui sont lâchées par le réalisateur James Gray a plusieurs reprises ici au Conseil d'administration ne sont qu'une tentative d'apporter du poids et du bagage culturel à un scénario autrement mauvais et vaporeux...
    Incertitudes
    Incertitudes

    169 abonnés 2 319 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 août 2020
    New-York. Dans une atmosphère crépusculaire proche de celle de La Nuit nous appartient, un trentenaire vivant encore chez ses parents se remet d'une séparation douloureuse. Comme il a de la chance, il a rapidement le choix entre deux femmes : la facilité ou l'inaccessible. Comme l'être humain aime se faire du mal, il va longtemps courir après la seconde. Ce sera la seule à qui il va avouer ses sentiments. Il sait qu'il ne pourra pas l'avoir et c'est peut-être ça qui va l'exciter. Elle ne lui tombe pas dans les bras. Elle est malade. Elle est amoureuse de son patron. C'est ça qui va l'obséder. Il est incapable de voir qu'il a une autre femme toute aussi belle près de lui. Elle l'adule. Peut-être qu'il n'y a pour lui aucun défi à la conquérir ? C'est sidérant de le voir se faire à ce point du mal pour une fille aussi instable. Et pourtant, il y va. Il est prêt à tout sacrifier. Quelque part, j'en viens à le comprendre. Sa relation avec Sandra, la fille de l'associé de son père, est artificielle. Ce sont les parents de Leonard, légèrement envahissants, qui ont arrangé leur rencontre. Il n'y a aucune surprise. Aucune aspérité chez elle. Elle est fan de La Mélodie du bonheur. Mais c'est une femme avec qui on peut se poser et, comme elle est toute gentille, elle ne donne pas envie qu'on la fasse souffrir. En retour, par sa douceur, elle pourra sûrement l'apaiser. Je le considère comme assez chanceux finalement.
    shindu77
    shindu77

    73 abonnés 1 587 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2020
    Un excellent film. Un triangle amoureux très bon et convaincant. Une mise en scène de bonne facture pour un film qui vaut le coup d'œil.
    RamiValak
    RamiValak

    5 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mars 2020
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    Cela m'étonne que tant de personnes pensent que le film se termine bien, alors que c'est sans doute ce que James Gray a fait de plus tragique. Je trouve personnellement cette fin d'une infinie tristesse, quand Leonard retourne voir Sandra, et se résigne à l'aimer, s'obligeant à faire comme si de rien n'était. Mais outre cette fin, le film est réellement sans défauts, maîtrisé de bout en bout, Joaquin Phoenix offre une de ses meilleures performances, encore plus juste dans la gestion des sentiments amoureux que dans Her. C'est avec ce film que je rend compte qu'il y avait déjà toutes les preuves qu'il ferait un grand Joker dans ses précédents films, on retrouve dans celui-ci cette tendresse et la sympathie malgré une profonde mélancolie qui semble l'habiter par instant. Il n'y a pas à tergiverser sur Two Lovers, on retrouve tous les éléments qui font le cinéma de Gray, la famille, le choix cornélien, Brooklyn (l'appartement des parents de Leonard est, il me semble, identique en tout point à celui de Little Odessa), le tragique, la boîte de nuit, etc...
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 031 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mars 2020
    James Gray est à ce point prometteur qu'il réalisa un début de carrière sans faute : le magnifique Little Odessa ouvrant la voie à une trilogie tragique des plus émouvantes, complétée par le plus faible mais puissant The Yards et terminée par l'incroyable La nuit nous appartient, traça la route à suivre pour le reste de sa carrière. Sa trilogie crime, famille et châtiment bouclée pour de bon, il pouvait partir sur d'autres projets, scénarisé un tout autre type d'histoire qu'on pouvait largement imaginer comme tout aussi proche de la tragédie shakespearienne.

    S'il perd en cours de route l'un de ses habitués, le très juste Mark Wahlberg, il garde l'icône de sa carrière, Joaquin Phoenix, qu'il soutiendra d'un casting très solide : Gwyneth Paltrow impeccable en femme libérée, Vanessa Shaw tout en douceur et en féminité, Moni Moshonov aussi bon que dans We Own the Night, et les seconds couteaux talentueux John Ortiz et Elias Koteas en complément d'une distribution parfaite.

    Et le drame se lance sur une tentative de suicide ratée, témoin du pathétique de ce protagoniste complètement paumé qui vit encore chez ses parents après ses fiançailles avortées, condition de l'homme rappelant donnant au spectateur d'une part un avant-goût de ce qu'il verra dans Two Lovers, et d'autre part servant de peinture d'un quotidien de prison dans lequel Phoenix étouffe, ne trouve plus la force de se débattre.

    Dévoré par sa routine, complètement contrôlé par sa nostalgie et les ratés de sa vie, Leonard Kraditor s'inscrit dans la veine des précédents protagonistes de Gray : perdu dans un monde qu'il n'a jamais compris, profondément malheureux, il ne présente à son regard aucune issue heureuse possible à son histoire. De ce désespoir constant ressort un mal-être parfaitement rendu par l'acteur, avare de rôles de mecs un peu bizarres que la société refuse de reconnaître comme les siens.

    L'on croirait presque voir, rétrospectivement, un Arthur Fleck qui n'aurait pas encore pété un cable, ou le Bobby Green de We Own the Night : Phoenix, incroyable comme d'accoutumée, parcelle son jeu d'une infinie fragilité que viendront combler, tour à tour, les prestations aux antipodes mais tout aussi réussies des inoubliables Shaw et Paltrow.

    L'une, Shaw, incarne la sécurité de la communauté de Kraditor (et par extrapolation de celle de Gray) : fils d'une famille juive très influente dans leurs traditions et leurs coutumes et jouissant de cette renommée qui impose directement le respect de ses pairs, elle prend les allures d'une rencontre arrangée par la famille, d'un père et d'une mère aimants voulant seulement le bonheur de leur fils, qu'ils considèrent (à juste titre ou non) comme l'adolescent en proie à ses démons intérieurs qu'ils éduquèrent il y a longtemps.

    Sandra Cohen, personnage que Shaw interprète, pourrait représenter le mariage arrangé de certaines couches de société si elle ne lui présentait pas cet amour profondément authentique et sincère, un amour véritable duquel n'importe quel homme voudrait. Mais Phoenix, n'oublions pas, incarne un mec en pleine crise de la quarantaine (du moins, c'est ce qui s'en approche le plus), ou qui rêve simplement de s'évader et de mener la vie qu'il a choisie.

    C'est là qu'intervient Gwyneth Paltrow, elle et son jeu changeant drastiquement de celui de Shaw : porte de sortie d'une famille et de sa communauté qui l'étouffent, elle incarne surtout l'amour adolescent rock'n roll qu'il n'a jamais connu. Cette âme perturbée issue de rapports violents avec son père ne pourra que le conduire dans le meilleur des cas à une déception amoureuse terrible, dans le pire à un comportement auto-destructeur entrant parfaitement en résonance avec le geste désespéré de début de film.

    Qui choisir et que choisir? La femme aimante qui propose une vie "normale", linéaire, belle mais sans le piment d'une amante qui recherche son père chez des hommes riches, responsables, femme adorable pourtant perdue dans ses excès de drogue et de luxure, qui dissimule derrière ses apparats d'être séduisant et insensible une âme de jeune fille croyant encore au prince charmant, et qui a mal placé sa confiance, ses espoirs, son amour.

    La situation, mal engagée dès leur première rencontre, entraîne Kraditor et le spectateur dans une déchéance qu'on espère loin d'être aussi tragique que celle de ses oeuvres précédentes : et si je ne vous révèlerai aucunement sa conclusion, il ne fait aucun doute que Gray est à ce point fascinant qu'il se réinvente à chaque film, qu'il développe des personnages, des situations et des enjeux profondément humains sans jamais se répéter, et se faisant, nous propose ici comme ailleurs une fin absolument sublime, inattendue, à la portée symbolique incroyable et à la mise en scène qui épouse parfaitement les rêves avortés de ses protagonistes, et les nouveaux espoirs d'un avenir qu'on espère enfin épanouissant.

    James Gray, ou l'art d'être inimitable.
    Khaled O
    Khaled O

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 décembre 2019
    Sur ce qui est en apparence un petit sujet - un homme déchiré entre deux romances qui incarnent des voies et des modes d'existence antithétiques (la douceur et la stabilité contre la fougue et le goût du danger), James Gray réalise un chef d'oeuvre de sensibilité, porté par une mise en scène virtuose et un jeu d'acteurs millimétré.
    La scène finale dégage une mélancolie qui est sans doute l'équivalent cinématographique le plus fidèle de ce que peut être la densité dostoïevskienne.
    pierrre s.
    pierrre s.

    348 abonnés 3 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 décembre 2019
    Bien réalisé et remarquablement interprété, le film de James Gray reste tout de même dans les standards du genre romantique.
    Patjob
    Patjob

    19 abonnés 547 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 novembre 2019
    Rarement au cinéma le dépit amoureux a été montré avec tant, tout à la fois, de force et de retenue. Peut-être est-ce d’ailleurs la seconde qui permet la première. La beauté des images, la poésie des situations (les rendez-vous sur le toit), la justesse du jeu de Joaquin Phoenix ; tout contribue à faire de ce film du talentueux James Gray une très belle réussite et un grand moment d’émotion.
    Marie Depuydt
    Marie Depuydt

    1 abonné 31 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 novembre 2019
    Après la nuit nous appartient, James Gray nous emmène à New York. Léonard après une rupture douloureuse et une tentative de suicide retourne vivre chez ses parents. Trois mois après son arrivée, il rencontre Sandra que ses parents lui ont présentée et Michelle sa belle voisine dont il est tombé follement amoureux. Léonard va devoir faire le choix de suivre le destin qui lui est réservé qui pour lui est d’épouser Sandra ou bien de se rebeller et de choisir de construire sa vie avec Michelle. Joaquin Phoenix a encore une fois atteint la perfection dans le rôle de son personnage. Un film émouvant qui a reçu 12 nominations dont le césar du meilleur film étranger et 8 nominations au festival de Cannes en 2008.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 novembre 2019
    Un film plein d'émotion, âme sensible s'abstenir. A chaque fois je ne peux m'empêcher de laisser couler mes larmes, tant l'émotion est vive.
    Une oeuvre plein d'humanité, de simplicité et d'amour, avec une thématique évidente : aimer avec passion ou avec raison?
    Très touchant pour ceux qui ont vécu ce dilemme de la vie, Mis en scène avec brio par un Joaquim P. splendide.
    5 étoiles, sans hésité.
    Hervé L
    Hervé L

    59 abonnés 598 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 octobre 2019
    Un très bon film délicat et subtil sur les chasses croisés de l amour non réciproque et les choix de vie difficiles entre passion et raison
    Oblomov
    Oblomov

    2 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 octobre 2019
    Film très bien noté par la presse sur le site allociné mais un peu moins par les critique des spectateurs. Je suis d'accord avec la deuxième catégorie.
    Car si les acteur joue bien, le scénario bien amené, (meme si dans la vrai vie, c'est plutot la femme qui à le choix, mais bon, c'est un autre débat...), la réalisation est bonne... il n'y a rien de révolutionnaire dans ce film. Pas de quoi d'avoir des note aussi élevé.
    On passe tout de meme un très bon moment, dans cette histoire d'amour.
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