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    First Man - le premier homme sur la Lune
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    653 critiques spectateurs

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    titicaca120
    titicaca120

    348 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 octobre 2018
    un bon biopic sur le premier homme à avoir posé son pied sur la lune
    le légendaire et à tout jamais le premier Neil Armstrong.
    sa vie familiale avec ses drames et son irrésistible ascension vers les sommets.
    on découvre également tous les sacrifices pour pouvoir atteindre la lune il y a bientôt 50 ans.
    les scènes lunaires sont magnifiques , pour moi manque un brin d'émotion quand même
    pour ces moments fabuleux.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 octobre 2018
    très bon film, on a ce à quoi on pouvait s'attendre. les acteurs sont excellents. quelque scène un peu longue mais l'ensemble est géniale
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    91 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2018
    Globalement c'est un très bon film sur la conquête spatiale et la vie de Neil Armstrong. L'accent est mis sur le vécu et la technique de réalisation cherche une expérience immersive. Nous suivons donc les astronautes et expérimentons les mêmes attentes, les mêmes bruits, les mouvements violents des engins. C'est aussi la faiblesse du film qui reste caméra au poing et en gros plan quasi perpétuel même quand cela n'a aucun intérêt. Il aurait été souhaitable d'avoir davantage de champ dans les scènes de la vie quotidienne. Ryan Gosling est toujours aussi excellent et garde sa tendance naturelle au flegme qui était aussi un trait de caractère nécessaire pour jouer Neil Armstrong.
    iceman7582
    iceman7582

    40 abonnés 1 154 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2021
    Un superbe film sur la conquête spatiale vu par les Américains ! Sur fond de biographie de Neil Armstrong, le film se concentre sur plusieurs aspects qui rendent le films franchement intéressant. La prestation de Ryan Gosling est une fois de plus magnifique ! Un très bon film à voir.
    CH1218
    CH1218

    153 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2019
    Le film de Damien Chazelle dresse avant tout le portrait intimiste de l’homme derrière l’Histoire. Il n’en n’oublie pas pour autant le processus qui aboutira à l’alunissage du module lunaire d’Apollo 11, le 20 juillet 1969, mais l’essentiel du scénario est effectivement ailleurs. Un choix qui facilite l’immersion du spectateur mais qui peut frustrer ceux qui attendent autre chose d’un biopic sur celui qui restera à jamais le premier a avoir posé son pied sur la surface lunaire et fait de ce petit pas un bon de géant pour l’Humanité. C’est intéressant mais un peu longuet. Avec une caméra qui le scrute au plus près, le brillant Ryan Gosling incarne un Neil Armstrong refoulant ses souffrances et ses craintes pour se consacrer exclusivement à la mission qu’il lui a été confiée. Alliant technologie et émotion, les 30 dernières minutes de « First Man » sont juste magnifiques alors que dans le rôle de l’épouse, Claire Foy est impeccable.
    this is my movies
    this is my movies

    617 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 octobre 2018
    Que dire après un tel film ? Déjà, si vous êtes un sceptique de l'aventure spatiale, n'y allez pas. Si vous avez adoré "La La Land", ne vous attendez pas au même film. Par contre, D. Chazelle y creuse encore et toujours sa thématique du personnage obsédé par une réussite, un but, et qui se coupe du monde et des sentiments pour y parvenir. Ce thème me travaillant également, il résonne d'autant plus facilement et efficacement en moi. Autre chose, l'histoire du deuil de Neil, traitée ici avec pudeur et un vrai sens du mélo. Le rythme est bon, je ne me suis pas ennuyé, les acteurs sont assez épatants, R. Gosling rejouant encore le numéro de l'autiste, auquel son visage un peu trop inexpressif va bien. Reste la mise en scène, qui joue la carte de l'immersion avant le passage consacré à Apollo 11, qui est pour moi une orgie de cinéma. La musique, les plans, le montage, les lumières, tout fait que l'émotion monte et que ça fonctionne à plein régime. J'ai été embarqué du début à la fin, ému, bouleversé, surpris, et même si C. Foy campe un personnage effacé, elle est juste et permet à ce perso d'exister malgré tout, notamment au travers de quelques scènes clé. Un très beau film, avec des parti-pris, qui raconte une belle et grande histoire, sans négliger certains aspects moins réjouissants, mais qui se concentre plus sur une histoire personnelle que sur une vision subversive, sans doute plus attendue, mais très belle et très puissante. Du cinéma pur, et pas de la politique. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    Requiemovies
    Requiemovies

    185 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 octobre 2018
    Avec Whiplash, Damien Chazelle avait su marquer son entrée en scène dans le 7ème art avec un film faisant figure de décharge musicale et émotionnelle. Auréolé ensuite du succès mondial et oscarisé La La Land, les portes du tout Hollywood lui semblaient ouverte.
    Et c’est par un joli pied de nez d’un film immense sur le papier mais intimiste dans sa forme que le réalisateur revient au cinéma.
    Toujours accompagné de Ryan Gosling, Chazelle étend son histoire d’une exploration historique et majuscule à hauteur d’homme. First Man tire alors toute sa force de cet axe où la part humaine n’a jamais vraiment été explorée de cette manière au cinéma. Si l’exercice du biopic est souvent une histoire d’ellipses, ici, le regard imposé par Chazelle (longue focale, cadres resserrés, lumière extrêmement travaillée dans son réalisme, quasi impressionniste …) est d’une précision et d’une intelligence marquées. A ce titre, peu étonnant de retrouver Linus Sandgren, déjà à la photo sur La La Land, Joy, Battle of the Sexes, pour offrir un teint propre à son époque, la fin des années 60, magnifiée par des décors peu discrets finalement. C’est aussi en saisissant l’immense défi de l’époque (remis dans son contexte) que First Man prend son accent majeur, mais cette réussite n’est alors exposée que grâce au parti pris de Chazelle pour créer une intimité propre au sens large, et général, de sa galerie de personnages comme du regard qu’il pose sur Neil Armstrong et des défis professionnels et personnels qu’il a dû traverser.
    Là où Chazelle excelle également c’est dans sa proportion à montrer l’infiniment précis, et fouillé, de la technique (théorie comme pratique, détails des objets comme essai global) en la conjuguant avec l’intime tout aussi fouillé de son, ses, personnages. Et c’est par la compréhension même de cet ensemble et en ne voulant jamais les dissocier l’un de l’autre que l’effet devient majeur pour le spectateur. En cela, la dernière demi-heure attendu ici comme le climax d’un thriller dont on connaîtrait la fin est immense d’émotions et d’implications. Tout est réuni à en reconnaître parfois ses pairs, Eastwood (qui avait un temps le projet entre les mains) pour l’intimisme, et Spielberg (producteur exécutif) pour le panel morceaux de bravoures et découpage du récit.
    Ainsi en s’affranchissant de sa filmographie passée et en tentant une autre aventure qui passe par l’expansion d’une autre grammaire cinéma (caméra épaule, proches des corps, des visages) Damien Chazelle brille une nouvelle fois dans un exercice rare et peu évident dans la production actuelle, voir et émouvoir devant la toile avec une application traditionnelle. On y revient encore et toujours.
    www.facebook.com/requiemovies
    Eponaa
    Eponaa

    178 abonnés 1 088 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2018
    Très bon film qui nous fait suivre les progrès dans la conquête de l'espace jusqu'aux 1ers pas sur la lune. La partie technique est bien dosée. Le néophyte suit et peut juger des risques et des aléas de l'inconnu.
    Charlotte28
    Charlotte28

    90 abonnés 1 731 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 octobre 2018
    La maîtrise magistrale de la mise en scène donne du suspense à un récit dont l'issue est pourtant universellement connue. Ryan Gosling brille par la justesse de son jeu minimaliste et incarne sans ciller les failles d'un homme ordinaire devenu un emblème malgré lui. Car outre les difficultés techniques, politiques et physiques, Chazelle tient à suivre le parcours intime et fataliste d'un homme endeuillé. Une totale réussite narrative et visuelle.
    San D
    San D

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2018
    Excellent film. Les récréations sont impeccables et le film est très bien joué. La récréation de l'experience d'un astronaute est étonnante. Riche en détail, ce film pousse l'histoire très efficacement. Le problème vient des faits de l'histoire. Tout le drame se passe au début et au milieu du film. Le film termine sans climax. Dommage.
    lazarus
    lazarus

    10 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 octobre 2018
    Passionné par l'astronomie et l'espace, j'ai bien évidement sauté sur l'occasion d'aller voir ce film. Et j'en suis sorti enchanté. Il est excellent !!
    Le film est bien évidement entièrement tourné autour de Neil Amstrong incarné parfaitement par Ryan Gosling, qui est passé maitre dans l'incarnation de personnages fermés et ombrageux. Ce qu'était effectivement Neil Amstrong, et le film le met largement en avant, mais aussi rend hommage à l'incroyable talent mais surtout à l'infernale tête brulée qu'il était devenue, forgée par la perte de sa petite fille, événement faisant office de véritable creuset à son engagement dans l'aventure spatiale. Le film est en celà une grande réussite.
    Mais elle l'est aussi grâce à la phénoménale mise en scène et en images de Damien Chazelle, avec des scènes à couper le souffle tant on est impliqués, a la première personne dans chacune d'entre elles (notamment la scène d'introduction qui donne le ton dès le début !). C'est ce qui rend ce film passionnant, c'est cette façon de compter fusionnellement l'histoire d'un homme et cette passionnante aventure spatiale, totalement hors norme à plus d'un titre, sommet de ce que l'Homme peut faire de plus incroyable quand il s'en donne les moyens (malheureusement parfois à tout prix comme le film le souligne également).
    Enfin, on peut également remarquer l'épatante bande de seconds rôles tous au diapason et la belle bande originale qui nous livre une belle cerise sur le gateau !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 octobre 2018
    1 seul spoiler dans cette courte critique, je ne suis pas doué pour cet exercice mais qu'importe, j'apporte mon ressenti sur ce film.

    Damien Chazelle a quelque chose de particulier dans sa réalisation. Je ne vais pas dire qu'il est mon réalisateur favori mais... presque ! Je n'ai pas forcément été emballé par 'La La Land' hormis pour sa sublime photographie, je dois l'avouer. Quant à 'Whiplash', j'ai vraiment eu un très coup de cœur lors du premier visionnage. Ce 'First Man' m'a laissé sans voix... cette période de l'histoire aérospatiale me fascine et j'ai souvent lu que Neil Armstrong était un astronaute relativement discret et effacé. Ryan Gosling crève justement l'écran, il m'a semblé très impliqué dans ce projet et met une grande énergie à retranscrire le caractère du héros Armstrong. Claire Foy n'est pas en reste et interprète également parfaitement son personnage (ne connaissant que très peu l'actrice, j'ai été conquis). D'autres très bons acteurs font leur apparition, le casting est donc parfait de mon point de vue !

    Mais là où 'First Man' m'a vraiment marqué, c'est par sa photographie et la beauté de sa bande originale. Pour ne rien changer, Damien Chazelle offre de magnifiques plans et des angles de vues particulièrement immersifs. La bande originale accompagne alors parfaitement ces images d'une rare beauté. L'alchimie est tout simplement sublime.

    Les scènes sur la Lune sont touchantes, dont une qui va probablement rester gravée dans ma mémoire : spoiler: Neil fait face au grand cratère près duquel il a procédé à l'alunissage et décide d'y déposer le bracelet de sa fille décédée d'une tumeur au cerveau des années auparavant.


    Je ne mets pas 5 étoiles au film pour son côté parfois irréaliste mais qui reste, selon Jean-Pierre Haigneré (ancien astronaute français) bien modeste.

    C'est un magnifique voyage que je ne peux que vous recommander !
    Christophe N.
    Christophe N.

    1 abonné 36 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2018
    C'est la vie d'un homme ordinaire qui a accompli une chose extraordinaire................................
    Cinememories
    Cinememories

    439 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2022
    Après avoir triomphé sur les marches musicales d’Hollywood avec « Whiplash » et « La La Land », Damien Chazelle ouvre un nouveau tiroir, celui du biopic et de la nostalgie, ancrée dans une culture humanitaire. L’espace est un lieu d’exploration qui préoccupe beaucoup d’esprits, mais peu possèdent la force pour satisfaire ce rêve, ce fantasme, cet objectif à portée de vue, mais pas tout à fait à portée de main. Chazelle s’empare de ce combat spatial qui mène vers la Lune comme d’une expérience sensorielle, avant même de penser aux enjeux que l’on ne fait que rappeler en arrière-plan. Et c’est là qu’on l’attend, qu’on se prépare à se laisser entraîner dans un voyage unique, là où « l’Étoffe des Héros » et « Apollo 13 » sont parvenus à capter notre attention. Le récit se veut avant tout humain et ce sera à travers le regard de Neil Armstrong qu’on se laisse bercer et hypnotiser.

    Sans surprise, Ryan Gosling rempile dans un nouveau rôle, moins confortable que précédemment, mais qui aura l’ambition de contempler toute la modestie et la rigueur du premier homme à avoir marché sur la Lune. Le titre ne cache rien à ce propos et c’est d’ailleurs tout le sujet de cet entretien de proximité où le spectateur partagera le même siège que cet homme qui est prêt à tout sacrifier pour réussir là où beaucoup ont échoué avant lui et à ses côtés. Le cadrage serré nous rappelle ainsi que nous avons une vision réduite sur le hors champ, comme si le spectateur se voit vêtir du même scaphandre que les astronautes. Le travail sur le point de vue et la perspective bluffe, car on se place toujours à échelle humaine et toujours du côté des protagonistes. On trouvera très peu de plans larges, qui serviront notamment à poser un contexte avant d’enchaîner sur des vues subjectives bluffantes. Notre écran devient le hublot d’un voyage sensoriel, que l’on ne quitte pas tant que l’objectif ne sera pas atteint. On se sent réellement entraîné dans la course vers la Lune et on finit par partager les mêmes émotions que ce qu’Armstrong parvient à extérioriser.

    Mais c’est tout ce qu’il ne nous dit pas qui le rend plus fort et plus attrayant. Au-delà du rêve, il existe le danger, l’efficacité et le sacrifice qu’un homme doit faire pour aller de l’avant. Armstrong est passé par tous les états émotionnels durant sa carrière, mais c’est après plusieurs années, en renfermant sur lui deuil après deuil, qu’il finit par s’en séparer une fois son objectif personnel atteint. Et c’est à ce moment que l’on dévie légèrement dans la fiction pure. Le personnage est alimenté d’une rage qu’il contrôle à merveille, mais qu’il ne parvient pas à exprimer à autrui. S’il est possible au spectateur de comprendre son jugement vis-à-vis des risques encourus, ce n’est pas le cas de sa famille qui constitue un soutien moral important. Ce caractère devient récurrent chez le réalisateur, qui sacrifie tout au profit de la réussite professionnelle.

    Ce qui est encore plus poignant, c’est justement ce soutien qu’on illustre par le biais de Claire Foy, incarnant la femme de l’astronaute. Jamais délaissée au second plan, elle complète toujours les moments de doute ou de réussite chez Neil. L’image de la femme forte est plus que nécessaire et est subtilement amenée dans le mélodrame des plus sincères. Son mari est fermé sur lui-même, incapable d’assumer sa responsabilité auprès de ceux qui sont encore en vie pour lui tenir compagnie. Mais le combat de Neil, c’est pour les défunts, tous ceux qui ont laissé une cicatrice dans son esprit torturé amis toujours aussi déterminés. Puis nous parlons énormément du réalisateur, mais le travail de la bande sonore de Justin Hurwitz est tout à fait envoûtant. Toujours à la baguette, il retranscrit cette harmonie, cette phase de transition que l’on a de l’inertie. Comme un embryon destiné à prendre forme, ses partitions en plus du montage sonore font qu’on parvient à rester confiner dans l’aventure auditive. Le grain nous ramène à une époque que l’on sépare presque de deux générations entières. Les sillages des souvenirs se dessinent ainsi tout le long d’une escapade où l’on rend hommage à la NASA et tous les acteurs que l’on connaît dès lors. Image et son se complètent et nous emmène réellement sur la Lune, nous y laisse et nous fait rêver par les émotions.

    Ainsi, « First Man » ne cache rien quant aux grands faits qui ont marqué les étapes de la conquête de la Lune. On se permet de zapper cette partie technique après la première mission d’Apollo pour enfin laisser un trio triompher d’un territoire où l’Homme peut y instaurer sa fierté et son honneur. Les confits géopolitiques ne répondent alors plus aux contextes initiaux, car d’autres valeurs prédominent celles de cette course qui vire à l’apaisement mental d’un homme qui a souffert et qui réclame le repos pour lui et toux ceux qui lui ont permis d’arriver en ce point, si haut, si éloigné du monde que nous connaissons et que nous pouvons uniquement contempler depuis la terre ferme. Nous sommes séduites de bout en bout, aussi bien par le montage visuel et sonore que par ce dernier acte très poétique, que ce soit sur la Lune ou bien sur le retour. Les images reconstituées des moonwalkers induisent une puissante émotive si riche que le silence à elle seule suffit à nous prouver ô combien l’espace est grand, ô combien l’espace est une chose que l’on appréhende avec beaucoup de satisfaction. Il s’agit d’un petit pas d’enfant qui est destiné à grandir encore plus et qui se tourne dorénavant vers une ère de challenge que l’on effectue en tandem, entre le cœur et la raison.
    romano31
    romano31

    243 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2018
    Après deux chef-d’œuvres (Whiplash et La La Land), Damien Chazelle revient avec son troisième film mais cette fois-ci hors de l'univers de la musique. En effet, avec First Man, il s'attaque au premier pas de l'Homme sur la lune en retraçant le parcours de Neil Armstrong, de sa sélection à la mission Apollo 11 en passant par ses entraînements et sa vie familiale. Le film est une belle réussite alternant brillamment moments de tension et de bravoure et moments plus intimistes. Ryan Gosling est parfait dans le rôle de Neil Armstrong, les effets spéciaux sont très réussis et on suit avec beaucoup d’intérêt cette page historique de l'histoire de l'humanité. On regrettera cependant le manque d'émotion de certaines scènes notamment celles sur la vie personnelle d'Armstrong, mais First Man n'en reste pas moins un film captivant et passionnant à suivre. C'est une nouvelle belle réussite pour Damien Chazelle qui confirme (si ce n'était encore à faire) qu'il est un réalisateur définitivement à suivre.
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