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    L'Amour en Fuite
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    filmandlove
    filmandlove

    43 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 janvier 2024
    Dans "L'Amour en Fuite", Truffaut clôt magistralement le cycle d'Antoine Doinel (coeur, coeur, coeur). Un film touchant qui mêle nostalgie, humour et mélancolie. La justesse des sentiments et la finesse du scénario rendent cette œuvre particulièrement attachante. Un voyage dans le temps qui ravira les admirateurs du cinéaste comme je le suis.
    Hotinhere
    Hotinhere

    417 abonnés 4 736 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juin 2022
    Truffaut clôt les aventures d’Antoine Doinel avec une délicieuse comédie sentimentale pleine d’humour et de nostalgie, qui dresse le bilan de ses amours perdus et retrouvés, des amours manqués.
    Napoléon
    Napoléon

    115 abonnés 1 540 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 mai 2022
    Tous les codes des premiers épisodes sont repris et cela donne le même résultat. Pas de scénario, rythme soporifique...Ici on assiste juste à une retrospective de la vie de Doinel et de sa vie après son divorce. Lassant.
    Bernard D.
    Bernard D.

    100 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2022
    C’est la seconde fois que je vois « L’amour en fuite » de François Truffaut depuis sa sortie en 1979, le 5ème et dernier film de la saga Antoine Doinel. A l’époque je n’avais pas trop aimé ce film car il comportait pour moi trop de flash-backs et Dorothée dans le rôle Sabine m’énervait un peu ! Finalement elle ne joue pas mal … mais il est vrai qu’elle est dirigée de mains de maître même si elle n’est apparue ensuite que dans 3 autres films.
    Huit ans après leur mariage, Antoine (Jean Pierre Léaud) et Christine (Claude Jade) se quittent en bons termes pour leur fils Alphonse qui évidement joue du violon et « sera critique musical s’il ne joue pas bien et fait des fausses notes ». Antoine est correcteur dans un journal (cf. l’endroit où il dormait après avoir quitté la maison dans « Les 400 coups ») et il a publié son premier roman « Les salades de l’amour » retraçant sa vie. Il fréquente Sabine (Dorothée), marchande de disques (cf. le premier métier d’Antoine), chacun ayant son appartement. Lors de son divorce – le premier par consentement mutuel – Colette (Marie-France Pisier qui est rayonnante), son premier amour platonique de « Antoine et Colette » (elle ne l’aimait pas mais l’aimait bien !), qui est devenue avocate reconnaît Antoine sur les marches du palais et piquée par la curiosité elle achètera le roman d’Antoine chez son libraire Xavier qu’elle courtise en vain. Par hasard Antoine et Colette se retrouvent à la gare, Antoine conduisant son fils pour les vacances et Colette se rendant à Aix-en-Provence pour étudier le dossier d’un père qui a tué son enfant … et bien sûr Antoine de sauter dans le train qui démarre. Il retrouvera Colette dans son compartiment et celle-ci fera une analyse critique de son livre. Colette apprend qu’Antoine écrit un second roman à propos de sa rencontre après la découverte dans une cabine téléphonique d’une photo déchirée, avec Sabine et Colette d’apprendre plus tardivement dans le film, que Sabine s’appelle Sabine Bernarias … comme Xavier qu’elle aime mais quel rapport y a-t ’il entre les 2 ? Colette rencontrera Christine (Claude Jade) et toutes les 2, « anciennes du club d’Antoine Doinel » brosseront les faiblesses et défauts de leur ancien amour, sa « spychologie » pour reprendre le terme utilisé par Antoine lorsqu’il est incarcéré dans un centre de redressement dans « Les 400 coups ».
    Le film comporte énormément de flash-backs mais avec en fait des phrases clefs de la vie d’Antoine dont Truffaut détricote la personnalité en montrant sa complexité et toutes ses faiblesses, ses hésitations et impulsions, ses mensonges. Ce film remet « les pendules à l’heure » et il faut souligner que la passion de Sabine est la réparation des horloges avec au passage une extraordinaire horloge en forme … de tour Eiffel. En dehors de la séquence avec Liliane (Dani), une amie de Christine, dont je ne vois pas bien l’intérêt, le film comporte une scène choc : la rencontre d’Antoine avec Mr Lucien (Julien Bertheau) qui était le mari de sa mère décédée alors qu’Antoine était en prison à l’armée. Mr Lucien emmènera Antoine devant la tombe de sa mère qu’il n’avait jamais vue, lui disant que sa mère l’aimait en fait et qu’elle était un peu comme lui « un oiseau … une sorte d’anarchiste (de l’amour) ».
    Comme toujours chez Truffaut, un hommage ici à Éric Rohmer et à Lino Ventura … et de nouveau la scène du Sacré-Cœur avec le camion de nettoiement de la chaussée … comme si on nettoyait la vie d’Antoine.
    Un film moins jouissif que « Baisers Volés » ou « Domicile Conjugal » mais dans lequel on espère qu’Antoine qui avait « besoin d'une femme, d'une maîtresse, d'une petite sœur ou d'une nourrice, d'une infirmière … », a enfin mûri et compris ce que doit être l’amour dans un couple alors qu’il rejoint Sabine.
    Ce film tourné après l’échec commercial de « La chambre verte » (1978), que François Truffaut n’aimait pas trop car il signait la mort d’Antoine/son alter ego ?, est encadré par la chanson d’Alain Souchon « L’amour en fuite ».
    Loïck G.
    Loïck G.

    282 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2021
    Pour mettre une fin à la saga Doinel débuté en 1959 avec « Les 400 coups », François Truffaut reprend le fil de son histoire au moment où le jeune homme devenu romancier, divorce de Christine, s’acoquine à Sabine et retrouve par le plus grand des hasards Colette (« Antoine et Colette ») qui découvre ses relations sentimentales à travers son premier roman. Une mise en abîme sublime et prétexte à des interprétations personnelles de la jeune femme dans le miroir tendu par son ex. Ces allers-retours dans une filmographie où puise François Truffaut pour son alter-ego qui retrouve son innocence avec « Les 400 coups », ses premiers émois pour des « Baisers volés » … Ça tient de l’exercice de style, d’une dynamique conceptuelle, et pourtant, sans réel appendice narratif, ce dernier opus affirme une indépendance scénaristique totale. Comme Doinel se raconte dans son roman, Truffaut joue sa part de vérité attribuée à son double de fiction. Le processus fonctionne à merveille. Trois comédiennes pour le servir, excellentes au demeurant Marie-France Pisier et Claude Jade, rejointes par l’animatrice TV pour les enfants, de l’époque, Dorothée.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Fabien S.
    Fabien S.

    454 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Un chef d'œuvre de François Truffaut. Un bijou de cinéma de Marie-France Pisier et Jean-Pierre Léaud. Une pépite.
    GéDéon
    GéDéon

    54 abonnés 444 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 janvier 2021
    Autant tous les longs-métrages mettant en scène le personnage d’Antoine Doinel (Jean-Pierre Léaud) peuvent être visionnés indépendamment des uns des autres, autant ce dernier opus réalisé par François Truffaut, en 1979, nécessite une connaissance d’ensemble. Tout en étant un prolongement des aventures sentimentales du héros, les multiples flashbacks utilisés en référence aux différents films (« Les quatre cents coups », « Baisers volés », « Domicile conjugal » ainsi que le court-métrage « Antoine et Colette ») sont omniprésents. Sa nouvelle relation amoureuse avec Sabine (Dorothée) lui permet enfin d’affirmer sa personnalité. Bref, une œuvre d’ensemblier et de synthèse à réserver aux inconditionnels d’Antoine Doinel.
    ferdinand75
    ferdinand75

    450 abonnés 3 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2021
    On est plus touché par la nostalgie des épisodes précédents , que par l'originalité du film. Tout cela est un peu répétitif, et les rappels et flash backs des Opus antérieurs est inutile. Le personnage de Doinel s'est bien construit . Claude Jade toujours charmante , mais par contre on comprend pourquoi Dorothée n'a pas fait une grande carrière d'actrice, calamiteuse. On retrouve avec plaisir MF Pisier , en femme libérée, Et on sourit à l'allusion au premier divorce "Giscard".
    Jérôme S
    Jérôme S

    1 abonné 66 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 novembre 2020
    Dernier volet des aventures d'Antoine Doinel et c'est avec un petit pincement au cœur qu'on quitte ce personnage qui malgré ses défauts et attachant. Le système de flashbacks et bien ficelé de la part de Truffaut. Il reste avec les 400 coups le meilleur de la série. Quel plaisir aussi de retrouver Marie-France Pisier.
    Shawn777
    Shawn777

    458 abonnés 3 325 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 septembre 2020
    Ce quatrième et dernier long-métrage de la série de films consacrés à Antoine Doinel, toujours réalisé par François Truffaut et sorti en 1979, n'est pas mal mais sans plus. Effectivement, comme avec le précédent film "Domicile conjugal", j'ai eu du mal à accrocher, ce qui est très dommage car j'apprécie beaucoup les deux premiers (je précise que je n'ai pas vu le court-métrage "Antoine et Colette"). Avec ce film, Truffaut nous fait comprendre que cette fois-ci, c'est vraiment le dernier avec notamment pas mal de flashbacks empruntés aux précédents films. Je trouve que c'est une bonne idée car cela permet de rappeler les moments importants de la saga et puis surtout de retracer le parcours du personnage principal, et notamment de ses aventures amoureuses. Mais d'un autre côté, je trouve le film moins inspiré. Les flashbacks occupent tout de même une bonne partie du film, si on les met bout à bout et je trouve que les bonnes idées se font plus rares. En même temps, je dirai qu'au bout de quatre films, le réalisateur a bien eu le temps de faire le tour de son personnage et, mis à part une nouvelle aventure amoureuse, il est vrai qu'il n'y a plus grand-chose à raconter sur lui. Bon, j'avoue que je suis un peu mauvaise langue et un peu sévère puisque nous avons tout de même ici le divorce d'Antoine et Christine et donc la finalité du couple qui commençait déjà bien à sombrer dans le précédent film. En ce qui concerne les acteurs, j'ai toujours un peu de mal avec le jeu de Jean-Pierre Léaud mais nous retrouvons également Claude Jade et Marie-France Pisier et puis nous avons également Dorothée qui fait ses premiers pas au cinéma ! "L'Amour en fuite" est donc, en ce qui me concerne du moins, le moins réussi de la série.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    73 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mai 2020
    Ultime opus de la saga Antoine Doinel, L’amour en fuite est un film d’une délicieuse paresse qui revient avec nostalgie – à travers de nombreux flashbacks sur Les 400 coups, Antoine et Colette, Baisers volés et Domicile conjugal – sur le parcours fictif de l’alter ego de François Truffaut. Malgré une construction un peu bancale, le long-métrage aborde avec finesse les thèmes de la création artistique et des liens entre fiction et réalité. L’amour en fuite est aussi un très beau témoignage sociologique sur l’évolution des mœurs, des comportements, du langage en France depuis le début des années 60 et jusqu’à la toute fin des années 70. C’est également l’occasion pour Truffaut de faire un aggiornamento sur Doinel quant à son comportement vis-à-vis des femmes, pas toujours très élégant. Le générique du début reprend la très belle chanson d’Alain Souchon qui donne son titre au film.
    Cyril G
    Cyril G

    1 abonné 32 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2020
    On s'attache à Antoine Foisnel envers et contre tout dans ce dernier opus très réussi. Les actrices sont sublimes
    andika
    andika

    93 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mai 2020
    L'Amour en fuite de Truffaut, c'est la nostalgie des amours passé, avortés, manqués, retrouvés et de la notion d'amour même. Dorothée qui se fait pécho par Antoine Doinel, ça a aussi été un instrument de la nostalgie pour moi (mais pour des raisons qui dépassent Truffaut et que ce dernier ne pouvait pas soupçonner). Et quelle belle chanson de Souchon !

    Fun fact, la référence à Rohmer lorsqu'on montre la conception des décors de son Perceval et qu'on voit un portrait de Luchini.
    Jonathan M
    Jonathan M

    111 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 décembre 2017
    J'ai enfin trouvé MON Truffaut. Celui dont lequel je pourrais me targuer d'être mon préféré - sans avoir vu à ce jour les 3 derniers films. Respectant scrupuleusement la chronologie du travail du cinéaste, je m'étais mis à douter sur ma véritable appétence à son cinéma. Le trouvant trop souvent scolaire dans la forme, très didactique et très peu émotionnel, j'ai fini par céder - comme tout le monde. Bien sur que sur les 17 premiers, il y en a de très bon, mais au point de me faire chavirer, il fallait attendre "L'amour en fuite". Parce que Doinel tire sa révérence - parce que la quintessence d'un personnage autant habité par son réalisateur s'exprime à l'écran. Il clôt une époque, à l'aube des années 80. Ce film est touchant car Truffaut a su faire simple. Son personnage le plus travaillé ce suffit aujourd'hui à lui-même. Jean-Pierre Léaud est un héros moderne. En démocratisant le divorce pour un meilleur amour, le film est encré dans une réalité de notre temps. C'est comme l'amertume qui nous envahit quand on quitte un personnage de roman. Quand on sait qu'on ne le reverra plus. Fini. Never again.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 janvier 2017
    Le film commence par nous raconter la suite des aventures d’Antoine Doinel. Truffaut ouvre son film par une magnifique chanson signée Alain Souchon. Cet épisode, est, en fait, inutile. Il retrace l’émouvant parcours d’Antoine Doinel. Il croise Colette. Il prend le train dans lequel elle s’apprête à partir. Il lui dit qu’il va écrire un nouveau livre. Puis, le passé revient. Des images des Quatre Cents Coups, de Baisers volés, de Antoine et Colette… François Truffaut écrit avec une plume fine (coécrit par Suzanne Schiffman, Marie-France Pisier et Jean Aurel), qui est plaisante. Au début, on n’a du mal à se faire à Jean-Pierre Léaud. Puis on s’y attache.
    Le talent de Truffaut brille ici partout : mise en scène millimétré, scénario d’une intelligence inimaginable, une photo parfaite, la musique d’Alain Souchon… L’Amour en fuite n’est certainement pas le meilleur film du cinéaste. Mais une fois de plus, le réalisateur est épatant. – Sandro Martinez, 9 ans et-demi
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