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    Bronson
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    739 critiques spectateurs

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    _Royal_
    _Royal_

    109 abonnés 1 600 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 juillet 2011
    Drôle de comédie bizarrement délirante, Tom Hardy complètement métamorphosé est absolument génial dans son rôle, et la mise en scène bien qu'un peu exubérante, n'en est pas moins très efficace pour dynamiser le tout.
    papapower
    papapower

    9 abonnés 301 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juillet 2011
    Je viens de regarder ce film. Il commençait plutôt bien, mais à force, il m'a vite lassé. La vie de cet homme est plutôt intéressante, mais je n'ai pas compris le but d'en faire un film. Le personnage est tellement difficile à cerner qu'on s'y ennuie. Je n'ai pas compris non plus cette violence. L'acteur principal par contre est très bon.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 juillet 2011
    L’appellation "orange mécanique du 21ème siècle" avait évidemment de quoi intriguer. Affabulation marketing où réelle ressemblance avec l'œuvre cinématographique majeure du 20ème siècle? Il n'y avait qu'une seule façon d'en avoir le cœur net : le voir de mes propres yeux. Sur un fond d'histoire vraie, le film raconte l'aventure de Michael Peterson, dit Charles Bronson, en prison. Une aventure racontée sous forme de one-man-show, au ton caustique et à l'humour noir, omniprésent. Une aventure qui retrace la métamorphose de Peterson, un gars paumé dans la vie, en Bronson, le prisonnier le plus dangereux et le plus ingérable d'Angleterre. Et pour répondre à la question ci-dessus, je dirais que oui et non. Oui, la ressemblance avec Orange mécanique est indéniable et on peu relever quelques ressemblances notables dans la mise en scène. Tant par le choix des musiques qui esthétisent les scènes de violences et qui leurs donnent un côté horriblement festifs. Que par le choix d'accentuer le côté malsain et viscéral de la situation plutôt que la violence visuelle. Et, j'aurais envi de dire non, car l’œuvre de Kubrick est aussi une critique acerbe et pertinente, de la société moderne, de l'hypocrisie et de l'immoralisme qui l'anime. Disons que les deux films ne visaient pas le même objectif. C'est certain que sur la forme, on retrouve des influences kubrickiennes mais peut être un peu moins dans le fond. Il n'empêche que Bronson reste un excellent film, mêlant humour et tragédie et qui a ce qu'il faut pour devenir culte !!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 juillet 2011
    Excellent film à tous points de vues, Tom Hardy est impressionnant dans le rôle de Bronson.
    WardStradlater
    WardStradlater

    46 abonnés 469 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juin 2011
    Dans la lignée de Pusher, et bénéficiant d'un réalisme à la Pusher, Nicolas Winding Refn vient encore de signer un chef d’œuvre cinématographique. Tom Hardy dans le rôle de Bronson est tout simplement magistral. Nageant entre musiques classiques et techno, mélangeant des personnages grotesques et fabuleux, avec parfois quelques touches de surréalisme, Bronson est un film à ne pas rater.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 août 2012
    Du potentiel,

    Voila pour la conclusion.
    Sinon le film inspirée d'une histoire vrai, on y découvre un homme peu banal qui ne rentrera jamais dans le moule et que la société va rendre encore plus anti conforme.

    Vous aller découvrir comment la société en voulant casser un homme va en faire une arme contre elle même.

    L'acteur principal Tom Hardy y est magistral, on se demande même si il est pas vraiment atteint, il ma convaincu.

    Décalé, violent, drole, et pathétique.

    A voir vraiment.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 juin 2011
    Tout simplement une oeuvre sublime! Un tom hardy magnifique avec des superbes images signées Nicolas Winding Refn cet énorme réalisateur!
    lorenzo fly
    lorenzo fly

    17 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mai 2011
    "Bronson" est un film original ou le personnage principal narre son histoire. Très bonne mise en scène avec une bande son soignée. Le film est assez décalé et étrange par moment. Ce n'est pas le meilleur du réalisateur mais il ne faut pas passer à coté.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 mai 2011
    D'ordinaire, les films inspirés de faits réels, même s'ils sont d'un niveau correct (les films, pas les faits), ont tendance à m'énerver car je trouve ça un peu facile. Ici, ce n'est pas le cas, car Nicolas Winding Refn raconte l'histoire de Bronson d'une manière très peu académique, si bien que l'on n'a pas vraiment affaire à un biopic. La filiation avec "Orange mécanique" est évidente, et pas seulement pour le personnage d'Alex, mais aussi pour l'esthétisme (le travelling dans la grande salle de l'asile) et l'usage de musiques pop et classique. Tom Hardy est évidemment épatant dans son rôle. Film violent, arty et bourré d'humour noir, cela ne m'étonne pas tellement que le grand public n'ait pas tellement accroché à "Bronson", alors même que Refn est un des cinéastes les plus intéressants, audacieux et talentueux des 15 dernières années, à l'image de "Valhalla Rising", qui est presque un "Bronson" médiéval en encore plus réussi...
    Julien T
    Julien T

    22 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 avril 2011
    Excellent film, où tout semble maitrisé parfaitement. Inspiré d'une histoire vraie, l'histoire mérite d'être racontée (ce qui n'est pas toujours le cas dans ce genre de film ("the fighter" par exemple)). La réalisation est très bonne, avec alternance d'action, de calme, d'humour, de sérieux. Le tout porté par un Tom Hardy au top de sa forme (non seulement physiquement (plus 40kg pour le film, il joue avec Christian Bale), mais aussi au niveau du jeu d'acteur). Il arrive à jouer toutes les facettes de son personnage de manière extrêmement crédible, et à changer rapidement (notamment quand il est sur la scène du théâtre et qu'il fait un dialogue en changeant de face). Bref très bon film!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 avril 2011
    Très bon film de Nicolas Winding Refn en mode biographie, ''biopic'' pour se la jouer anglophone ; seulement tout son talent de réalisateur consiste ici à transfigurer ce qui aurait pu être une plate fidélité à la vie ou plutôt à la genèse de Bronson, connu comme le prisonnier le plus violent d'Angleterre. Je ne connaissais pas le "cas", le "phénomène", peut-être seulement de nom... Mais c'est assez extraordinaire (je ne résiste pas à reproduire une scène qui présente le personnage : à la suite d'une prise d'otages en prison, il demande par exemple, à titre de rançon : une poupée gonflable, un hélicoptère et une tasse de thé...) : Bronson a inventé le surréalisme criminel, ou en tous les cas a hissé le crime à une forme d'art, de spectacle, de publicité qui déborde la zone d'ombres et de silence que la prison ne peut manquer de créer. Bronson donc tente de redessiner le "masque" de Charles Bronson ; il s'agit non pas d'un documentaire soumis à la vérité et aux codes froids du réalisme, mais de l'exploitation réussie, je trouve, du dédoublement médiatico-scénique de Bronson à partir de Michael Peterson, "l'individu" d'origine. Ce qu'on voit, c'est moins un homme qu'une pièce de théâtre, qu'un homme de spectacle, qu'un grand acteur du crime artistique.
    La presse l'a présenté comme l'Orange mécanique du XXIème siècle ; c'est bien parce que ça fait vendre des places, mais il n'en est rien (cela rend vraiment inquiétant l'appareil critique de la presse spécialisée, parce que si on ne comprend rien à ses classiques, franchement...). On en est même à l'opposé : alors que Kubrick tentait d'anticiper sur une société niant à sa racine la liberté des hommes, Winding Refn traite d'une fulgurance de liberté, d'un choix absolument premier et fondamental, que rien ne peut limiter ou contraindre ; Alex était la victime paradigmatique d'une société attentive à la dangerosité de ses membres, Bronson est le noyau de dangerosité inaliénable, le repère de forces et de résistances à toute captation du pouvoir pénitentiaire ; le héros d'Orange Mécanique était, malgré une violence initiale indéniable, broyé, ployé par la prison et ses moyens de dressement/redressement ; Bronson, malgré un bon fond (le bon petit Mickey), est l'étoile filante que l'institution carcérale ne peut contenir, ne peut complètement stopper, ou anéantir. D'un côté, on vise la société disciplinaire et carcérale au nom d'une liberté humaine inaliénable en droit ; de l'autre on montre cette liberté dans toute sa violence, dans toute sa matérialité et son efficacité, comme irréductibilité absolue. Alors oui, les deux films parlent de prison et de liberté humaine (mais alors il y aurait beaucoup d'Orange mécanique...) ; mais les trajectoires sont diamétralement antipodiques, opposées, inverses.
    Bronson n'est pas Alex, le jeune criminel brisé par la prison et son système totalisant ; il n'est pas non plus Vidocq, le criminel en connivence avec la police, ni Lacenaire, le criminel des complicités loué par la bourgeoisie et utilisé par elle ; il n'est pas davantage Jean Valjean, le faux-criminel prouvant finalement la bonté inhérente à tout être humain ; Bronson est un artiste en quête de reconnaissance, dont le terrain de jeu, dont la scène d'exposition est la prison. Dans sa folie et son exagération, Bronson est une figure absolument transgressive et critique : à contre-courant de toutes les critiques qui fusent depuis 40 ans sur la prison moderne, il n'est pas un discours, il n'est pas une théorie ni même une position stratégique vis-à-vis de la prison. Bronson ne veut pas dénoncer la prison, comme inhumanité, comme insalubrité, comme intolérable, comme lieu de production et de création de délinquance ou de criminels : Bronson aime la prison, elle est pour lui un multiplicateur de possibilités, un moyen fantastique pour créer, un lieu pour construire son image, son rêve et son mythe, l'instrument de son art. Mais évidemment, cela ne se fait pas dans l'amour sensuel : si Bronson aime la prison (scène merveilleuse où à sa première incarcération, on voit le tout jeune Bronson, le germe de Bronson presque, pleurer de dos - seulement ces pleurs sont une ironie : Bronson rit en fait aux éclats, de pouvoir enfin réaliser son oeuvre, son chef-d'oeuvre de criminalité...), il va être plus violent, plus froid, plus méchant, plus sanguinaire qu'elle. Bronson transcende la prison en en accomplissant la noirceur, en faisant imploser ses bornes, ses limites - comme la fausse cordialité-complicité entre gardiens ou personnel de prison et prisonniers - par l'excès, le surplus, le trop. Alors oui, la prison a tendance à rappeler à elle ceux que la justice lui a confiés ; mais Bronson n'est pas dans ce cas-là : c'est lui qui rappelle à lui la prison, c'est lui qui l'oblige à se tenir sur ses gardes, qui la contraint à la vigilance, à la peur, à l'effroi.

    La critique complète sur le Tching's Ciné bien sûr (note 17/20) :
    http://tchingscine.over-blog.com/
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 avril 2011
    La vie du prisonnier le plus dangereux d'Angleterre. Voilà une promesse bien alléchante... Malheureusement, le prisonnier le plus dangereux d'Angleterre a une vie des plus plates et sans intérêt : Cogner, cogner, cogner... Pourquoi? On ne sait pas... Quelles leçons en tire-t'il? Aucune. Evolue-t'il au moins? Que dalle! Même les longues tirades des catcheurs body-buildés de la WWE sont plus intéressantes... On est balancés de cellules de prisons miteuses en salles de jeu d'hôpital psy glauques en cellules de haute sécurités de cauchemar avec toujours le même spectacle : une baston sauvage, saignante, mais mal chorégraphiée. En grattant assez (trop) loin on trouve quelques qualités à ce film : La forme d'Orange Mécanique (mais pas le fond), une superbe photographie et le jeu troublant de Tom Hardy... Malheureusement, ça ne mérite que deux étoiles.
    max b.
    max b.

    5 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 avril 2011
    Ca faisait longtemps que j'avais pas vu un film aussi dejanté et violent, c'est bien sur la prestation de hardy qui donne du volume a ce personnage tres decalé a nous autres non violent ! mais le film est bien loin de nous coller un uppercut tel que le realisateur semblait vouloir nous infliger.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 avril 2011
    Un biopic à la mise en scène fabuleuse et pour le moins poignant, car le propre des grands films et c'est le cas ici c'est de nous délivré bien plus qu'un histoire, c'est de nous délivré une réflexion et qui ne s'arrête pas simplement une fois le film terminé. Car croyez moi Bronson n'est pas que le prisonnier le plus violent d’Angleterre, Bronson c'est la lutte sans concession, jusqu’où peut on aller pour ses idées, les limites de la société face à l'amoral et le désordre. De plus on a le droit à un Hardy qui vit son personnage et lui donne toute la profondeur possible. Alors croyez moi, sa comparaison à Orange mécanique n'est pas prétentieuse !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 avril 2011
    Film ridicule sur un homme plus que stupide. Le scénario est linéaire et notre anti-héro n'évolue guerre. La réalisation bien que correcte ne suffit pas à meubler un contenu cohérent. Néanmoins on pourra réfléchir après coup sur le sens de l'expression artistique. Un film ennuyant qui demande à creuser loin pour lui trouver des qualités. J'ai adoré les autres films de Nicolas Winding Refn comme la trilogie des Pusher et Valhala Rising mais ce film n'a rien à voir. C'est globalement assez raté et maladroit.
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