Avis : Cloud Atlas - Page 5

Cloud Atlas est un chef d'œuvre percutant de par son scénario, son découpage et surtout sa capacité à faire un tri intellectuel dans le genre humain.

Incontestablement hors de portée d'un grand nombre de spectateur, ces derniers n'y verront qu'un "Qui est Qui?" juste suffisant pour satisfaire le peu de connexions nerveuses que mère Nature leur a attribué.

L'œuvre nous transporte à travers six histoires, chacune se situant à une époque différente et avec pour fil conducteur : l'Amour!

Les réalisateurs ont pris leur temps pour poser chaque scène et décomposer les émotions de leurs acteurs. En découle un panel de rictus chez le spectateur, ce dernier passera aisément du rire aux larmes, ponctué de quelques frissons lors de belles scènes d'actions.

N'est-ce donc pas ce que nous venons chercher aux cinéma? Des émotions, de la réflexion et surtout de l'originalité afin de ressortir de la salle chamboulé?

Je conçois qu'on ne puisse pas apprécier quelques composantes du film, mais n'allez pas crier sur les toits : "Cay tro nul, jay rien compry, on diray "Où é Charly". Vous ne ferez que confirmer votre incapacité intellectuelle à avoir la moindre réflexion, et donc, à émettre une critique sur un film.

Après l'Ancien testament et le nouveau testament, voici venu le bobo testament! Eh oui, le bobo ricain, quand il a 100 millions de dollars à claquer, il pond çà !!! Une succession de petites scènes niaises dont certaines bourrées d'effets spéciaux médiocres, pour terminer à Jésus sur la croix.... Heu, non plutôt une jolie coréenne porteuse d'un message divin écrit par un enfant de sept ans et qui finit sur la chaise.... ! Daube cracra, pleine de bons sentiments, où il faut que chacun porte sa croix par le biais de la souffrance pour mériter le Paradis!!! Ennuyant, pompant, soporifique..... Les p'tits vieux dans le pub, c'est le seul passage drôle, le reste n'est ni émouvant, ni prenant!
Pas un seul des personnages n'est attachant, Hugh Grant atteint des sommets de médiocrité et je me demande ce que Tom Hanks est allé faire dans cette galère si ce n'est par pur mercantilisme...
Mais comme cette "chose" évoque pleins de sujets sérieux ( Abolition de l'esclavage, homosexualité, droit à la différence, multiculturalisme, etc etc ) Il s'en trouvera toujours pour s'extasier, mettant complètement de côté un scénario brouillon, une mise en scène et un jeu d'acteurs à la limite du je-m'en-foutisme !
100 millions de dollars gaspillé dans ce qui se veut une fresque et qui, au bout ne ressemble à rien...

C'est çà le cinéma actuel, sitôt vendu, sitôt jeté...... La "pellicule" Kleenex.....
D'ici demain, j'aurai déjà oublié, et c'est très bien comme çà.....

Un chef d'oeuvre!!! tout ce en quoi je crois, ainsi que les valeurs, les morales et tout ce que j'aime sont regroupés dans ce film! Frisson, pleure et exaltation étaient présent en moi! Bravo au réalisateur pour ce sénarios magnifique!!!

Critique Retirée ? Pourquoi ? y a-t-il un seul spoiler là dedans ?

Où est Charlie ?

Je peux résumer le film à ça. Déjà parce que c'est une sacrée merde, mais en plus c'est vraiment la seule qualité du film. Le seul moment où on peut être diverti : essayer de trouver qui se cache sous la couche de plastique dégueulasse qui sert de maquillage.

D'ailleurs ne vous en faites pas, le film est tellement fait pour ça que la solution est donnée dans le générique. Ils sont fiers de leur adaptation live d'où est Charlie.

Oh mais ne serait-ce pas Tom Hanks ? monsieur j'ai deux expressions et je suis chiant comme la pluie ? Ah mais si.
Putain pourquoi ce mec tourne encore. Qui l'aime sérieusement ? Si il a fait un bon film il n'a pas dû le faire exprès.

Bon on a fait le tour du film je crois.
C'est juste n'importe quoi, une honte. Limite j'ai tenu plus de temps devant les misérables avant de tenter de m'immoler.

Sans déconner, c'est quoi ces histoires ? Putain faut faire simple. Faut pas s'amuser à tout alambiquer comme ça et faire genre d'entuber tout le monde et prétendre dire des choses sur l'amour ou je ne sais quoi.

Non mais tu le sens le concept tu mecs qui se touche en écrivant son script ? C'est le genre de projet qui ne devrait même pas voir le jour.

Au moins matrix à l'époque c'était un peu cool, ça apportait une dose de cinéma asiatique (films d'actions Hong Kongais) à Hollywood (mais on voit ce que cette mode de merde a donné), bien que ça soit un tantinet débile et tape à l'oeil.

Speed Racer ça avait l'avantage d'assumer d'être un truc assez simple, ça ne pétait pas plus haut que son cul.

Mais alors là, Cloud Atlas c'est un festival.

Déjà outre le fait que le film par peur d'ennuyer évite de faire durer une scène plus de 2 minutes (ce qui est déjà maxi pénible en soi) se paye le luxe de tenter de noyer tout ce maelström de conneries toutes plus grosses les unes que les autres. Entre les lieux communs, les fausses révélations, les trucs gnangnans, on n'a pas fini.

Pour dire la vérité. J'ai tenu 30 minutes avant de m'endormir, de suivre sans intérêt pendant 30 minutes de plus et finir par faire autre chose en même temps.

C'est la réaction logique face à une telle connerie.

Et en plus ce n'est pas comme si ça proposait une mise en scène innovante ou autre, c'est plat. Tout est plat. Les rares scènes où ça bouge un peu cassent les oreilles.
Et ce montage marabout bout de ficelle est juste insupportable.

Comment ne pas avoir l'impression d'être pris pour un gogol lorsque le montage toutes les 20s te souligne : tout est lié mwahahahha, je fais un film trop profond !!!

Bon je retourne regarder des films érotiques avec des bonnes soeurs qui se violent entre elles, au moins on sait ce qu'on va voir.

Non parce que les dialogues putain, les dialogues. Propos de comptoirs quand tu nous tiens.

Une perte de temps.

Ce film nous plonge dès le départ dans un tourbillon d'images et de scènes très intrigantes puisque nous ne savons pas encore à qui on a affaire.
Le découpage et le montage sont très réussis et nous permet de nous repérer dans les différentes époques.
Les scènes futuristes à Néo Séoul sont visuellement impressionnantes; bref on ne s'ennuie pas une seconde et on s'amuse à deviner qui se cache derrière ces personnages au maquillage improbable et certaines fois on n'y arrive pas.... C'est parfois drôle( dans la maison de retraite) ,inquiétant ( dans la zone inhabitée où est le diable ? ) tous les genres se mélangent et on attend un dénouement qui nous expliquerait le lien entre les protagonistes ( la réincarnation ?) hélas aucune explication ne viendra et on a l'impression de s'être fait avoir...

je n'ai pas adhéré du tout à ce film
par contre je dit un grand bravo aux maquilleurs, effets spéciaux, décors et aux acteurs qui ont su se diversifier, se travestir tout le long de ce film qui m'a paru interminable
on saute d'un siècle à l'autre avec un fil conducteur
nos actes ont des conséquences sur notre avenir
film trop philosophique pour moi

grâce à ce film, j'ai pu découvrir la différence entre un navet et un poireau; résultat, je préfère les carottes.
le film est à cette image: sans aucun sens et incompréhensible du début à la fin. mais bon, du moment que le (les) héros battent leurs démons intérieurs, quelle importance!
non, sans blagues, juste une question: POURQUOI?
mais peut être qu'il y a une explication spirituelle, au fond?
amateur de film en tous genres, abstenez vous.
et en plus, il est super long.
Tom Hanks a mis son réveil?

Quelle bouse intersidéral. Ce film pseudo "new-age" pour babas-cool attardés alligne sans vergogne, les plus mauvais clichés du cinéma soit disant "branchouille". Cette merde est au cinéma ce que Philippe Latterine, ou Brigitte-femme-Fontaine sont à la musique: du foutage de gueule (que tous les bobos font semblant d'adorer de peur de passer pour des débiles). Sauf que là, c'est TROP ! Le frère wachosky (nautique) devenu la soeur, doit tellement regretter son opération qu'elle nous punit en réalisant une immonde soupe totalement indigeste avant (peut-être) d'aller chanter "1000 colombes" chez Michou, grimée en Mireille Matthieu ! Ce (sous) film a même le culot (en plus d'être très mauvais) de mélanger des idées, des images et des situations piquées à de nombreux (vrais) films de ces 20 dernières années. De plus, comme ils devaient manquer de Fric pour réaliser leur daube, les époux "Vaches qu'au ski" ré-utilisent presque à l'identique des images de synthèse de Matrix: notamment les mobylettes et les véhicules volants des vilains policiers qui veulent attraper le gentil couple formé par la (future déesse) chinoise et le gentil rebelle en plastique des années 2030 ou 2300. Mélangez "Matrix", "le Mahabaratha", "le 5e Element", "Contact", "l'odyssée de Py", "Les visiteurs (mais qui parlent Ch'ti), Cannibale holaucoste", "les révoltés du bounty", "Django unchained", et tout ce que vous voulez (puisque la connerie de "cloud atlas" est sans limite et vous aurez une idée de ce que vous allez subir pendant 2h40 !!! C'est un suplice, alors de grâce, épargnez-vous ça (il y a plein de bon films en ce moment) !
Berk, Berk, Berk, re-Berk et re-re-Berk. POUAH !!!!

2h45 a ce demander ou va le film ou comprendre au final qu'il ne va nul part... A ne regarder sous aucun prétexte ....

Certes, c'est bien photographié, bien décoré, bien maquillé, bien habillé, mais j'ai rien compris !
C'est long, très long, comme j'imagine bien entendu qu'à la fin je comprendrai tout, j'attends, j'attends encore… Finalement ça se termine sans que je n'ai trop compris ce à
quoi le réalisateur voulait arriver. Je ne peux pas dire que j'ai passé 2h45 de mauvais moment, non, mais tout de même, j'ai rien compris ! Quelle frustration…

Cloud Atlas est un monument, une création d’une ambition vertigineuse et d’une maîtrise absolue. Une œuvre au propos universel et subversif, finalement assez simple, mais d’une sincérité et d’une puissance désarmantes. Un condensé thématique hallucinant, sur la mythologie, la religion et l’art de raconter une histoire. Un récit sur l’humanité, ses démons (de l’égoïsme à la barbarie) et ses valeurs (du courage à l’amour), sur la vie, ses choix et leurs conséquences.

Inventifs, généreux et tout sauf cyniques, les Wachowski et Tykwer nous offrent ici un film éblouissant, de ceux qui nous rappellent pourquoi on aime le cinéma.

Je n'ai strictement rien compris... Il faut dire que j'ai décroché au bout de 10min
Le pire film que j'ai jamais vu au cinéma, un supplice, j'ai regardé ma montre pendant 2h40...

En plus de reposer sur un scénario incompréhensible et sur un vieux message moral, d'un point de vue technique ce film est totalement cheap ! le maquillage est amateur, l'image est loin d'être exceptionnelle, et il suffirait apparemment d'avoir les yeux bridés pour ressembler à un asiatique ?

En plus le film fait référence à des oeuvres qui ont excessivement mal vieilli.
Pourquoi autant de bonnes critiques ???!!!

Quel film compliqué à suivre... On voit plusieurs personnages dans plusieurs espace temps (sur 5 siècles) avec des personnes qui se croisent d'une vie à l'autre... Des actes, des décisions, des répercussions, une révolution !
Mais pour comprendre, il faut s'accrocher. J'ai vraiment du mal à comprendre ce qu'ont recherché les soeurs dans ce film...
Peut être que la note est sévère et qu'après plusieurs visionnages, celle-ci remonte !
Bref : Notre vie n'est pas la nôtre. Du berceau au tombeau, nous sommes liés les uns aux autres.

Tout bon film a une dimension hypnotique. Cloud Atlas excelle dans l'exercice. On voyage dans l'espace et le temps d'une manière rarement vue au cinéma. 6 films dévoilent 6 époques et histoires avec à chaque fois un style propre (du fantastique à la comédie) et une parfaite cohérence d'ensemble. Le travail scénaristique et de mise en scène sont aboutis et impressionnants. Une très belle réussite à ne point rater.

Je mets 0 à ce film et je dis ainsi qu'il est nul mais pas pour l'insulter,
car son auteur a fait preuve de bonne volonté.

Je lui mets 0, car il aurait pu avoir 20 mais que 0x20=0.

En fait, ce n'est pas un film. C'en est 6.

Le 20, ça aurait été si les 6 courts-métrages avaient été mis en synergie pour former un film magnifique, comme semblaient le promettre le synopsis, l'affiche et la bande annonce.

Le 0, c'est parce que cette promesse tacite n'a pas été tenue.

On a payé pour voir un film, pas 6. Et sans scénario uni on ne peut pas parler d'un film.

Enfin, on peut dire que les auteurs ont même échoué dans leur quête de créativité puisqu'ils n'ont pas réussi à assembler 6 films "classiques" pour créer quelque chose de nouveau.
Ces 6 films sont juste ... parallèles.