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    Le jour et la nuit
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    55 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 septembre 2015
    Un film incompris car au-delà de son époque. Un film vérité sur le mysticisme de la création, inaudible chez certains, mais tellement vrai pour d'autres. BHL a réalisé avec ce film une ouvre majeure du cinéma moderne et soyez en sûrs, Le Jour et La nuit sera redécouvert dans quelques années.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 juillet 2015
    Voici "LE FILM", le chef-d'oeuvre du grand "BHL"!
    Comportant des acteurs très investit dans leurs rôles, une histoire qui vous prends aux tripes et la réputation de "plus mauvais film depuis 1945", mais restons positif, ça aurait put être pire.....NON!
    Phil MacGyver
    Phil MacGyver

    15 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juillet 2014
    Le Jour et la Nuit... C'est exactement en ces termes que l'on peut comparer ce que l'on pouvait attendre du film et ce que l'on peut voir! Etrange, très étrange film que voilà. Prétentieux, mégalomane, évidemment comme on pouvait s'y attendre de la part de son (co-)scénariste/réalisateur Bernard-Henri Lévy et de l'acteur principal Alain "il vous en prie" Delon... Mais confus, stupide, naïf dans le sens péjoratif du terme, ça c'est déjà plus étonnant !

    Que l'on apprécie ou non Bernard-Henri Lévy, on ne peut pas nier son intelligence, qu'elle soit mise à la disposition d'opinions auxquelles on adhère aveuglément, peu ou prou. Aussi, le voir nous offrir un spectacle aussi inabouti, superficiel et parfois ridicule et stupide, surprend beaucoup... Beaucoup !

    Certes ce film ne méritait pas la mémorable volée de bois vert à laquelle il a eu droit, de manière presque surréaliste tant cela ressemblait plus à des règlements de compte et de l'acharnement gratuit, que du journalisme impartial et argumenté. Rien ne méritait de le qualifier de "plus mauvais film de l'histoire du cinéma", même les films d'Ed Wood, bien plus mauvais encore, trouvent aisément leur maître en terme de médiocrité... chez nos amis les Turcs par exemple...

    Mais force est d'avouer que cette "oeuvre" qui se voulait novatrice et viscérale, laisse pensif quant à ce qui a bien pu parcourir l'esprit d'un homme habitué à pousser sa réflexion plus loin que ses contemporains. L'histoire pourrait être intéressante, mais se dilue et se perd souvent en séquences d'un mélange au goût amer de fausse humilité prétentieuse et de totale vacuité. Certaines sont très réussies, mais perdues dans un fatras de n'importe quoi à la psychologie improbable de lycéen à la recherche d'une identité.

    La direction d'acteur est d'ailleurs à l'image de l'écriture: totalement décalée, parfois en totale roue libre. Au sein du même film, des acteurs confirmés (Alain Delon, Jean-Pierre Kalfon, etc...) parviennent d'une scène à l'autre à être convaincants, ou incroyablement ridicules, surjouant comme des débutants compensant l'absence de profondeur par une gestuelle et des mimiques douteuses. Arielle Dombasle, qui est je n'en doute pas une femme délicieuse, sur-multiplie ici son défaut principal d'actrice: des minauderies à tout va et un faux naturel crispant. Karl Zéro est un choix étonnant ! Il est parfois juste, drôle même, mais trop souvent complètement à côté de la plaque...

    La musique (Maurice Jarre) est magnifique, les images superbes... BHL s'est entouré que de personnes chevronnées, mais la sauce prend mal, très mal, tant de bon ingrédients mélangés à un truc dégueu (ici le scénar) ne donnent au final que quelque chose de difficile à avaler...

    Je ne doute pas un instant que notre philosophe BHL a voulu y mettre beaucoup de lui-même, mais il n'y a mis en grande partie que la part détestable de sa personne qui le rend imbuvable pour certains: sa condescendance, sa déconnection du tout venant, et sa volonté de sacraliser l'extraordinaire en méprisant implicitement la vie courante. Le meilleur de lui-même, son esprit vif et complexe se faisant souvent terrasser par la partie honteuse de son hôte.

    Il y a une grande volonté de lyrisme, on n'a que de la musique et des images de cartes postales pour soutenir des sentiments de romans de gare. Il y a une grande volonté d'émotions exacerbées, on n'obtient que des gesticulations dans le vide et du brassement d'air. Il y a une grande volonté d'aventure humaine, on assiste simplement à des personnages qui se débattent dans des psychologies "clichées" par un voyeur prébubert.

    Quant à Arielle Dombasle, si ici elle ne vous en mettra pas plein la vue avec ses talents d'actrice, elle le fera en montrant son cul plus que nécessaire, comme les autres d'ailleurs, pour des scènes qui flattent les rétines mais malheureusement pas l'intellect tant elles sont longues et vaines...

    On peut comprendre la méchanceté de l'accueil du film, quand on se souvient de la pub hallucinante à laquelle il a eu droit, de l'attente incroyable suscitée, et de ce qu'on était en droit d'attendre de quelqu'un qui se veut un grand penseur... Mais il n'y a pas que le film qui est con finalement ! Les gens qui se sont acharnés dessus comme des vautours à l'époque, l'étaient tout autant. Aucune réelle analyse, aucune nuance, un film parfois descendu avant d'avoir été vu, le bouche à oreille et la mesquinerie ayant remplacé tout jugement professionnel et cohérent. Ce film certes raté, contient tout de même de bons moments, parmi d'autres "nanars" qui amusent ou consternent selon l'humeur, et il fallait quand même le souligner avant de se défouler plus sur l'homme que sur son oeuvre. Surtout sachant que beaucoup de ces "journalistes planqués" n'auraient certainement pas fait mieux, certains exemples déjà oubliés l'ayant déjà prouvé...

    Mon '4 étoiles' reflète évidemment ma note "nanarde", l'ensemble contenant des moments où l'on s'amuse bien aux dépends du film. Le reste étant quand même assez chiant... Artistiquement, cela vaut entre une ou deux, pas plus !

    Alors BHL, on ne se décourage pas! Un autre essai ?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 mai 2014
    Vu récemment. Ayant depuis sa sortie pris gout aux nanars, il fallait que je me confronte à la "chose".
    J étais prêt.C'est une pièce de choix, un os à ronger délectable, pour le critique amateur et une souffrance sans nom pour les cinéphiles.

    Autant que le film c'est BHL qui est fascinant. Voir ces interviews ou si c'etait a refaire il ne changerait rien, pas un plan, pas une ligne de dialogue. Karl zero ? "mais il est parfait". Des erreurs techniques ? "Mais pas du tout". etc..et puis le doute ..et si il avait raison. Si c'est nous qui n'étions pas prêt pour la réception d'une telle oeuvre. Apres tout l'histoire de l'art... Puis non un type qui considère "cineman" comme un chef d'oeuvre n'est définitivement pas crédible et je crois, se fout de la gueule du monde.

    Un exercice intéressant serait de le remonter complétement avec une resynchronisation, reecriture des dialogues. Il y a de la matiere: exotisme, belle photo, la musique de JM jarre, Delon et on devrait aboutir à un TV film érotique qualité HBO.
    Bardon de Kater
    Bardon de Kater

    12 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 avril 2014
    Claude Chabrol n'a pas toujours été un grand cinéaste, mais ces critiques acides furent souvent juste ! Alors qu'est ce qu'i la dit papa Chabrol ? Que était le plus mauvais film jamais réalisé. Et il a raison, parce que le Lac des Morts Vivants, c'est peut-être pas terrible mais on rigole bien.
    Ashtaka
    Ashtaka

    11 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 novembre 2014
    Bon alors un nanar c'est quasi-exclusivement le produit d'au moins un de ces trois éléments là chez le réalisateur : pas de talent, pas d'argent ou encore pas d'envie de filmer. L'envie de toute évidence BHL l'avait. L'argent aussi. En fait, surtout pour un premier film, il avait tout ce qu'on peut rêver : l'argent, les bons acteurs (enfin clairement pas tous), la promo médiatique au 20H de TF1 et même des femmes à poil. Seulement BHL n'a pas de talent. Mais alors VRAIMENT pas. Et orgueilleux comme tout il en est encore à expliquer que c'est un bon film injustement lynché par les critiques (même eux l'ont lâché). Et pourtant comment lui en vouloir ? C'est quand même pas rien de réaliser un nanar dans de pareilles conditions. Il en est sincèrement drôle. De plus grâce à ce navet humiliant celui qui l'avait injurié, Emir Kusturica décida alors de reprendre sa carrière. Non ce film à le mérite d'exister et d'exposer cinématographiquement à travers ses dialogues la niaiserie bouffonne de son auteur. Eh si vous hésitez encore à le regarder, contentez-vous sous forme de résumé de la scène de début avec l'incroyable prestation de Karl Zéro, puis allez directement à la fin admirer la toute aussi incroyable prouesse technique de l'explosion finale du dirigeable. De toute évidence le budget du film a été dérouté dans les conditions de vie de tournage plutôt que dans les effets spéciaux. Sacré Bernard !
    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    298 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 octobre 2013
    J'étais curieux de voir ce film considéré par Chabrol comme étant "le plus mauvais film jamais tourné". Et je n'ai pas été déçu. "Le jour et la nuit" est un chef-d'oeuvre de mauvais gout. Une véritable démonstration d'égo dans lequel BHL se prend pour Godard, Alain Delon se prend pour BHL et Karl Zero se prend pour... Je ne sais pas vraiment pour qui se prend vraiment Karl Zero, en fait. Probablement une sorte d'erzatz cocaïnomane de Louis De Funes. En tout cas, c'est incontestablement le personnage le plus drôle du film. Car oui, ce film est drôle. Ce n'est sans doute pas le but principal de Bernard Henry Levy qui voulait sans doute proposer une réflexion philosophique pertinente sur les sujets majeures de notre société consumériste. Le sexe, l'amour, la révolution, blablabla... Mais ça, on s'en fout pas mal, car "le jour et a nuit" est surtout une hilarante comédie, pour quiconque a une haine viscérale envers le leader en chemise blanche et pompe croco de la révolution Lybienne. C'est mal joué, mal réalisé, monté n'importe comment et incroyablement prétentieux. Et en plus, c'est plein de seins et de fesses ! Youpi !
    Max Rss
    Max Rss

    168 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 mars 2019
    Quand Bernard-Henry Lévy, philosophe de comptoir du dimanche matin et bon chienchien fidèle d'Israël décide de passer derrière la caméra, ça nous donne «Le jour et la nuit», l'un des plus formidables navets du cinéma français voire mondial et aussi l'un des plus formidables échecs critiques et commerciaux dans la carrière d'Alain Delon. L'ami Alain, quant à lui, a vu son égo démesuré prendre un sacré coup sur le pif. Durant le tournage celui ci a demandé à BHL de changer le scénario en prétextant je cite "qu'Alain Delon ne pouvait pas perdre un combat face à un gringalet comme Xavier Beauvois". Voila une preuve des plus concrètes pour ceux qui doutaient encore que Delon avait la tête aussi gonflée qu'une montgolfière. Il n'y a absolument rien à sauver dans ce film: aucun cadre, aucun talent, aucune direction d'acteurs, un montage à la truelle, des tonnes et des tonnes de clichés sur la mort, la création. Et bien sûr, des acteurs complètement aux fraises. Que ce soit Alain Delon qui se la joue à la Ernest Hemingway mais qui fait plus pitié qu'autre chose, une Lauren Bacall dont se demande pourquoi elle est venue s'embourber jusqu'au cou dans cette galère, cette espèce de neuneu d'Arielle Dombasle qui ne sait rien faire d'autre que se montrer dans son plus simple appareil. Sans oublier cette tronche de cake de Karl Zéro à qui l'on a envie de coller des poings sur la tronche ou des coups de pied au derche. C'est vous qui choisissez ! Tout ce formidable condensé de n'importe quoi s'est donc soldé par un véritable lynchage en règle bien mérité. Et BHL, ce pauvre petit chérubin a quand même eu le culot de dire qu'il était victime d'un complot organisé, que son film était incompris car trop en avance. Là j'ai envie de répondre: écoute Bernard-Henri, ton film c'est de la bouse et aies au moins les roupettes de le reconnaître. Comme l'a si bien dit le père Chabrol: "l'auteur de l'attaque des tomates tueuses pensait sûrement qu'il était un génie, mais il ne l'a jamais dit". Ce qui signifie, à mots très peu couverts que, BHL aurait mieux fait de la boucler et continuer à croire qu'il est intelligent ou se rendre à l'évidence en avouant ouvertement qu'il est le papa d'un des plus gros navets du cinoche.
    gnomos
    gnomos

    48 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 avril 2013
    J'ai eu l'idée de voir ce film, car il est longuement chroniqué sur Nanarland, et je pensais me payer une bonne tranche de fous rires, sachant pertinemment qu'il ne s'agissait pas d'un chef d'oeuvre. Mais, las, les chroniqueurs de ce site et moi ne devons pas avoir le même sens de l'humour, car pour moi, il ne s'agit de rien d'autre que d'un navet, et des pires. Il n'est pas drôle, même pas au dixième degré, il transpire la prétention la plus boursouflée, et il n'y a vraiment pas de quoi, car au fond, c'est très bête. C'est mal filmé, Arielle Dombasle en femme fatale, on n'y croit pas une seconde, Karl Zéro joue comme un pied, (en même temps, ce n'est pas son job), mais bon, cinéaste, e n'est pas le job de BHL non plus et ça se voit. Par moments, il y a une espèce de tremblement de terre ou éruption volcanique, du coup, on ne comprend plus les dialogues, mais on ne perd rien pour autant, tant ils sont creux. BHL fait du remplissage avec des scènes de cul, toutes ses actrices y ont droit, (enfin, les jeunes), on montre un homme nu, (pourquoi), la petite guérilla pour enlever le potentat local tourne à la farce, et puis ces montgolfières, saoulant. En bref, que vient faire la légende Bacall dans une telle daube, et Beauvois se débrouillera mieux derrière la caméra par la suite, (des hommes et des dieux). Une sacrée déculottée pour notre touriste engagé national, qui je l'espère, l'empêchera de récidiver.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 octobre 2012
    Une rencontre au sommet entre 2 monstres sacrés : Alain Delon et Lauren Bacall ! le résultat ? un film intelligent, brillamment interprété et aux couleurs sublimes, du beau cinéma !
    Frédéric L
    Frédéric L

    14 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 août 2013
    Ce n'est pas qu'un beau film de propagande sur les moustiquaires, le Jour et la Nuit surpasse aussi l'entendement cinématographique. L'histoire n'a absolument ni queue, ni tête. Alain Delon, Arielle Dombasle et Karl Zero nous font des numéros de cirque et la romance est gâtée comme un fruit flétri et visqueux qui serait resté trop longtemps au soleil.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 juin 2012
    Une véritable merde. A voir pour comprendre la médiocrité de son auteur.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 799 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 juin 2012
    Lorsque j'ai appris que le grand philosophie Bernard-Henri Lévy avait fait un film, forcément j'étais intrigué. Je ne savais pas encore que j'allais perdre mon innocence.
    Bon il faut être honnête j'en ai rien à foutre de BHL et de sa vie de merde, de ce qu'il peut bien penser, mais voir un nanar (parce qui oui c'est chroniqué sur nanarland) auteurisant avec Delon, Bacall (mais putain quoi elle sort de sa retraite pour ça !!!), Beauvois, Denicourt ça envoie du pâté en croûte !
    Je veux dire comment rater un film avec ces acteurs là ?
    Bon il y a bien Karl Zéro qui peut expliquer un échec ou bien Dombasle. Enfin Dombasle elle a beau avoir l'air d'une conne et être aussi excitante qu'un chevreuil mort, elle a joué avec Rohmer et n'était pas si mauvaise que ça.
    D'ailleurs on peut ironiser, Godard avec Karina, Welles avait Hayworth et BHL a Dombasle. On n'a que ce que l'on mérite on dirait.
    Déjà il faut parler du film, c'est un sujet qui honnêtement aurait pu être bien, je veux dire un vieil auteur qui fut longtemps un génie et qui n'a plus d'inspiration etc c'est pas mal, en plus Delon a son âge avait la tête de l'emploi, mais là c'est d'un navrant.
    Comment peut-on échouer aussi fort à un truc qui pouvait franchement être sympa.
    Bon déjà les dialogues sont nuls, tous les acteurs sont à chier, putain Bacall sert à que dalle (on a tous capté qui elle était vraiment dès le début mais bon), c'est triste à dire quoi. Heureusement qu'il y a Denicourt pour nous montrer ses seins et son sexe parce que sinon c'était la fin quoi. Parce que bon, à l'époque, elle était quand même pas mal.
    Franchement on a quand même BHL qui arrive à réunir cette brochette d'acteur et filmer la moitié d'entre eux à poil, c'est aberrant.
    Et putain mais Karl Zéro quoi, mais Karl Zéro quoi ! Si on se foutait de notre gueule on aurait pas fait mieux. Putain cherchez l'intrus dans le casting quoi.
    En plus j'ai l'impression que certains dialogues ont été très mal post synchronisés parce que le son est dégueulasse.
    Techniquement c'est très faible, et on se tape des plans aérien soit à l'hélico soit à la grue qui doivent coûter une fortune alors que ça ne sert à rien, rien ne le justifie, comment dépenser de la thune dans de la merde pour rien du tout.
    Le pire c'est que ça se prend joyeusement au sérieux, avec Delon qui surjoue faisant passer Dujardin pour un un acteur bressonien. Ce truc n'a aucune crédibilité.
    Franchement je pensais au début que ce film avait été quand même beaucoup décrié parce que c'était nul, mais surtout parce que BHL s'était planté et du coup on en rajouter un couche pour se foutre de sa gueule. Mais en fait, c'est vraiment aussi nul que ce qu'on disait de ce film. C'est aberrant de nullité.
    Néanmoins on assiste à plusieurs scènes d'une nanardise rare, Delon avec sa casquette (je ne sais pas comment ça s'appelle en vrai) et son perroquet mais le plan est juste immonde, on se croirait entrain de regarder Les Tuche, soirée chez les ploucs.
    C'est inconsistant tout en se croyant super profond c'est quand même assez surréaliste d'écouter les dialogues et voir la tronche à Karl Zéro !
    Heureusement qu'on voit les nichons à Denicourt !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 février 2012
    Peu de films atteindront ce sous-niveau... Ce film fera date, marquera à jamais l'histoire du cinéma, du navet au cinéma. Ce navet est cosmique, il est hors norme : c'est sans doute, par défaut, le plus grand film comique du cinéma français. Pourtant on n'arrive même pas à rire ! Tout dans ce film est pathétique de prétention car c'est bien sa prétention qui arrive à faire péter tous les compteurs. Car tout est nul dans ce film, on ne peut rien sauver, rien trouver qui rachète, ne serait qu'une minute, ce naufrage incommensurable...
    Mais il faut souligner que si la mise en scène fait pitié (on pourrait dire que c'est un premier film), le grand auteur, philosophe, a en outre écrit un scénario d'une bêtise et d'une pauvreté à pleurer, ainsi que des dialogues : quelle misère, quelle ridiculissime dialogues ! Minable directeur d'acteurs, minable metteur en scène et minable scénariste. On attend la suite, vite un autre film de BHL... Usurpateur de presse, faux philosophe, cinéaste moisi !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 décembre 2015
    "Il vaut mieux se taire et risquer de passer pour un con plutôt que de parler et de ne laisser aucun doute sur le sujet." Pierre Desproges

    Ce pauvre et pathétique M. Levy n'a fait que démontrer par ce film qu'il n'a rien d'un sage. Maintenant le doute n'est plus permis... Le formidable réseau d'influence qu'il a su se forger, qui lui a permis de produire cette immondice, d'en faire la propagande afin d'essayer de tromper les gens sur la qualité de la marchandise, ne l'aura pas aidé à convaincre les spectateurs. Le masque est tombé de nouveau. Si la richesse monétaire, issue de la captation du fruit du travail des autres rendait talentueux, ça se saurait!

    Du point du vue technique, nous sommes au niveau zéro. En ce qui concerne le scénario, nous sommes en-dessous du niveau zéro. Quant aux dialogues et au jeu des acteurs on atteint le paroxysme du ridicule. Un véritable néant, voila ce que m'inspire ce que j'ai vu. Le mot pitoyable n'a jamais eu autant de sens que durant ces 1h et 52 minutes.

    Dans la définition d'un nanar intervient une notion de plaisir lors du visionnage, dû au charme que le film opère malgré sa nullité. Là, il s'agit d'une véritable torture, on ne souhaite qu'une seule chose, que ça s'arrête! La mégalomanie d'une personne aura donné naissance à une chose qui n'a sa place qu'au fond de la cuvette des toilettes. Tirez la chasse...
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