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    Fargo
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    4,2
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    693 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 octobre 2017
    Un chef d’œuvre grandiose et magnifique de Joel Coen et Ethan Coen avec un excellent scénario, des scènes d'anthologies, une photographie splendide, une intrigue particulièrement prenante, une réalisation soignée et un casting de qualité.
    le cinétologue
    le cinétologue

    34 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2017
    Fargo est un très bon film policier et comique (humour noir) qui nous donne envie de regarder tous les autres films des frères Coen et de regarder tous les autres films/series avec Steve Buscemi (il était géniale dans son rôle). Fargo donne aussi envie de regarder la série qui porte le même nom.
    dragoyo
    dragoyo

    92 abonnés 709 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 septembre 2017
    3,5/5 Bien. C'est bien, bien décalé et assez dingue. Depuis la sortie du film une série qui s'inspire du film est sortie et elle est excellente, on comprend pourquoi en partie. Atypique comme film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 septembre 2017
    Un grand moment de tragédie comique. Comment un plan devient un enfer pour celui qui l'avait mis au point. Pour moi ce film est l'un des meilleurs des frères Cohen.
    Max Rss
    Max Rss

    168 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 août 2017
    Il y a de cela quelques mois, la télé proposait un cycle permettant de (re)découvrir les films les plus connus des frères Cohen. Intéressé ? Bien sûr que je l'étais étant donné que des deux frangins, je n'avais vu que « Barton Fink » qui m'avait sacrément bien branché d'ailleurs ! Le cycle commençait donc par « Fargo », considéré généralement comme l'un des grands chefs d'oeuvre des Cohen. Avec ce que j'ai vu, j'en viens à me demander si ce film n'est, au final, pas fortement surestimé. « Fargo » est un peu comme un volcan que l'on soupçonnerait de prochainement rentrer un éruption, mais l'échéance se fait attendre. Le film des frères Cohen, c'est un peu ça. Ça sent la mort dans tous les coins, tu sais qu'il y a un magma en fusion qui prêt à gicler, mais jamais la catastrophe n'arrive. Et c'est encore plus frustrant quand cela arrive à un film alors que ce dernier a tout ce qu'il faut pour dégager une puissance de feu. Au final, « Fargo » » ne laisse pas énormément de souvenirs et ne captive réellement que lorsque l'on voit Steve Buscemi à l'écran. Un pétard mouillé, hélas...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 mai 2017
    Pas mal du tout, très bien interprété. On a envie de tous leur mettre des claques, mais c'est le but de l'ambiance qui est très bien recréée et très tendue. Les dialogues rendent à merveille la stupidité de la situation et des personnages. Seul reproche : assez lent à démarrer. Pour le reste, très bien réalisé et très cynique. En bref : à voir si l'on en a envie, mais pas d'attente de rire à perdre haleine.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 avril 2017
    Franchement, énorme. Et étrangement : c'est le personnage de la femme flic qui m'a le plus dérangé !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 février 2017
    les dialogues ne sont pas très recherché, parfois un personnage se répète plusieurs fois dans une conversation. De plus le ton du doublage français est extrêmement plat.
    Fabien S.
    Fabien S.

    452 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 février 2017
    Un chef d'œuvre des Frères Coen. Un très belle enquête teintée d'humour noir. Un très beau film. Steve Buscemi incarne un cynique personnage. William H. Macy interprète un antihéros atypique. Frances McDormand tient le rôle d'une policière. La mise en scène est flamboyante.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 163 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 février 2017
    Jerry dirige une concession automobile dans le Minnesota. Proche de la faillite, il a l’ingénieuse idée de faire enlever sa femme par deux tocards et de se faire verser une rançon par son beau-père. Sorti en 1996, Fargo est un thriller dont seuls les frères Coen connaissent les ingrédients parfaits pour y apposer un humour noir subtile et une imagination débordante. Récompensé au Festival de Cannes, aux Oscars ou encore aux BAFTA Awards, le film montre la bêtise humaine face à l’argent mais se joue également du spectateur en lui faisant croire que tout cela est vrai. Fargo vaut également pour les performances exceptionnelles de Frances McDormand, William H. Macy ou encore Steve Buscemi et Peter Stormare, alors qu’ils apparaissent pourtant comme des personnages simples. Teinté de faits violents dans une neige glaciale, Joel et Ethan Coen expose une société intéressée et corrompue au travers de cette enquête aux apparences désopilantes.
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    FeetLover
    FeetLover

    25 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 janvier 2017
    Nullissime, je ne vois pas en quoi c'est un chef d'oeuvre, l'agent blonde qui joue les nuche nuche surjoue à fond, l'histoire n'a rien d'originale, c'est une accumulation de clichés ridicules. La série est un vrai chef d'oeuvre, en cela surtout pour l'énorme prestation de BBT !
    py314159
    py314159

    2 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 janvier 2017
    Thriller violent et un peu barge des frères Cohen. On suit ce fait divers du début à la fin, du plan initial au grand dérapage. Rien ne se passe comme prévu, le froid et la neige semblent avoir annihiler toute forme d'intelligence et de compassion...
    Inglorious_Ben
    Inglorious_Ben

    47 abonnés 1 423 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 novembre 2016
    Suite à la récente série sortie sur nos écrans, impossible de passer à côté de ce film des Frères Coen. Fargo c'est avant tout une ambiance quasi surréaliste (je ne sais pas comment se déroule la vie dans le Minnesota mais ça fait flipper!!) et une enquête policière teintée de second degré qui ne fait pas dans la dentelle. Si l'on ajoute à ça des interprètes excellents, Fargo constitue une petite perle de comédie/thriller qui pêche seulement par un rythme parfois inégal et une fin assez convenue...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 novembre 2016
    Je trouve que l'on ne s'attache pas aux personnages et je trouve le scénario biscornu. Une grosse déception vis à vis de la réputation des frères Cohen.
    overlook2
    overlook2

    19 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2016
    Plus que jamais, les frères Coen nous livrent ici un monde déserté par le sens. Dans l’univers glacé de « Fargo », les corps retrouvent d'emblée une maladresse et une lourdeur animale qui leur interdisent toute synchronie avec l’univers alentour, tandis que la parole, qui bégaie, se perd ou tourne à vide, est la marque d'une totale incommunicabilité. Cette défaite, cette impossibilité à entrer en contact avec l'autre, le plan fixe en aggrave simultanément le ridicule et la douleur. Il ne peut être question ici d'unité puisque tous les personnages sont affectés d'une même paralysie, qu'on croirait invincible, celle de leur regard : ils voient comme ils parlent, pour eux-mêmes et en inadéquation absolue avec le monde. Un moment du film synthétise merveilleusement (et cruellement) cette suspension quasi métaphysique du sens : vers la fin, le personnage de Buscemi enterre dans la neige la mallette qui contient la rançon ; il regarde à droite puis à gauche, et constate l'alignement parfait et à perte vue des poteaux et des barbelés qui clôturent un champ. Cette répétition à l'infini et sans faille du même ne lui faisant pas signe, Buscemi est contraint à un acte stupide : planter un outil pour marquer l'emplacement de sa cachette. Pour s'y retrouver, l'homme doit faire tache mais, faisant tache, il se condamne.Fargo, tout comme Miller's Crossing propose une version primitive et silencieuse d'un monde insensé : cette absence de sens est le fait d'un ordre pur, d'une souveraineté du monde dont la mise en scène est l'imperturbable respiration. Bornés, entêtés, gelés par une idée fixe : tels sont les humains, presque tous. L'obstination des choses accompagne celle des hommes : un paysage enneigé, indécis et lugubre, passe aux fenêtres des voitures, indifférent, tandis qu'un tueur bavard disserte sur le silence. La circulation des idées, l'échange, sont impossibles. Comme dirait Pascal, nous sommes perdus dans un espace qui nous effare, mais on tient à notre idée. Dans Fargo, l'homme est ainsi tout entier dans sa propre affirmation, calme, net, opiniâtre. Suffisant - mais son insuffisance ne tarde pas à éclater. L'automatisme exprime la manière dont l'obstination réponde, avec ponctualité, à la glaciale exigence du monde. Idée fixe, la réaction paraît toujours prête d'avance. La préméditation n'y est pour rien, ni le calcul. C'est l'irréflexion même : une spontanéité stupide, mais fertile, engage l'acte, le précipité, l'exagère. Ce n'est pas que le ridicule défigure les personnages ; mais la part de réalité que prend leur action, la manière dont elle s'inscrit dans le monde les réduit à rien. Vanité des actions humaines. Le premier plan du film, inoubliable, forme un autre blason de cette dérision métaphysique : sur une route toute droite, dans la neige, une auto peine à se rendre visible ; à peine a-t-elle émergé qu'elle disparaît dans un creux que la perspective ne permettait pas de deviner ; mais voici qu'elle réapparaît, soutenue par une musique insistante. Ce même entêtement à être, à agir, à se manifester, rend les personnages à la fois absurdes et pathétiques. Cette trivialité de l'existence dénonce évidemment les valeurs de l'American way of life, profondément mortifère par l'ennui qu'il suscite. Les Américains, semblent nous dire les frères Cohen, évoluent dans une Amérique standardisée et démultipliée à l'infini, comme dans un gigantesque tableau d'Andy Warhol. On dira que les auteurs louent la médiocrité ou qu'il se moquent. Ce n'est pas si simple. Car, à observer l'enquêteuse, on découvrira que son génie ne tient pas à de brillantes déductions, mais à une attention méthodique, toujours en éveil. Ce regard franc sur la nature qu'incarne aussi son mari, peintre animalier qui n'a pas inventé la poudre, suppose une acceptation du réel tel qu'il est, mais avec la certitude qu'il se prête à l'intelligence. Voilà ce qui nous change de l'entêtement et de l'outrance des autres personnages. L'humilité, vertu peu américaine, fonde la connaissance, tandis que l'ambition aveugle…
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