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    Ben-Hur
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    312 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 mars 2008
    Oui je rentre dans le classicisme du "je mets 4 étoiles parce qu'on nous a rabaché que c'était un chef d'oeuvre" et pourtant je cautionne totalement les 4 étoiles ! La course de char qui vaut à elle seule les 2h30 d'attente du film vaut plus que le détour ... on en reste pantois ! Terrible scène encore aujourd'hui dont j'étonne de la réalisation au vu des moyens de l'époque ! Ce film répond à tous les schémas d'un péplum, donc oui c'est vrai les acteurs surjoue plus qu'interprètent, les temps morts sont pesants mais l'ambiance est là, la trame tortureuse, les références bibliques mignonettes, l'action est là ... bref que peut on demander de plus ??? Ce film est à replacer dans son contexte mais même sans être consensuel à son sujet, il faut admettre qu'il a bien remporté d'être dans le panthéon des classiques cinématographique !
    Antony
    Antony

    21 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2010
    Les mots ne peuvent que manquer pour qualifier "Ben-Hur" mais en cinquante ans, bien peu de film ont atteint ce niveau de dramaturgie. Oui il y a la musique, mais il n'y a pas que cela. Chef d'oeuvre absolu du cinéma, j'aimerais me lever chaque matin dans l'idée de voir encore un "Ben-Hur". Force est de constater que malheureusement cette ode c'est arrêter auprès des studios, il y a justement cinquante ans.
    Redzing
    Redzing

    946 abonnés 4 307 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mars 2010
    Mètre-étalon du péplum, "Ben-Hur" est l'un des blockbusters les plus imposants de tout les temps. Sur fond de début du christianisme, cette fresque sur l'odyssée d'un Judéen trahi par son ami Romain n'a rien perdu de sa force, et contient nombre de morceaux d'anthologie impressionnants : la célèbre course de char, les galères, la bataille navale, etc. Et tout ceci grâce à la mise en scène inspirée de William Wyler, qui utilise à merveilles les décors grandioses, les milliers de figurants mis à sa disposition, et bien sûr l'excellent Charlton Heston. Prenant de bout en bout malgré ses 3h30, ce film demeure finalement un incontestable must, à voir et à revoir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 février 2008
    Une super production hollywoodienne comme on n’en fait plus de nos jours. Un péplum mythique et incontournable.
    Cannaghan
    Cannaghan

    15 abonnés 451 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2008
    Un trés bon film, une fresque magnifique qui ne vieillit pas.A voir et à revoir
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 janvier 2008
    Colossal, gigantesque, démesuré, titanesque : c'est le classique des classiques en matière de péplums. Le film exalte les forces du film à grand spectacle (décors immenses, mise en scène grandiose, musique prestigieuse, beauté formelle...), mais en souligne également les limites et les faiblesses (scénario lourdement démonstratif, ton emphatique, interprétation très théâtrale, manichéisme des personnages, longueurs...). Certes imparfait et un peu affadi par le temps, "Ben-Hur" reste pourtant un monument du 7ème art, à voir au moins une fois dans sa vie.
    NeoLain
    NeoLain

    4 327 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 janvier 2008
    La superproduction hollywoodienne dans toute sa splendeur. On reste sans voix devant la somptuosité, la grandeur de certaines scènes. Malgré ses 3h20, le film se regarde sans problème d’une seule traite car le scénario est fertile en rebondissements et les lieux sont nombreux. La notoriété du film doit beaucoup à deux scènes à grand spectacle : la bataille navale et (bien entendu) la course de chars. Cette dernière nécessita 3 mois de tournage à elle seule. Le film dans son ensemble utilisa 100.000 figurants. Il est étonnant de voir comment un tel film de 1959 ne pâlit aucunement face à ses équivalents actuels, équivalents qui sont fort peu nombreux d’ailleurs et bourrés de trucages. L’une de ses forces est d’avoir une construction sans faille et un contenu fort qui ne se limite pas aux scènes spectaculaires.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 janvier 2008
    Ben-Hur est un grand film, voir même classique.
    Des scénes grandioses, des acteurs pas mal du tout pour l'époque.
    Le film culte pour les gays
    14caen
    14caen

    40 abonnés 1 087 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 décembre 2007
    BEN-HUR est le film le plus spectaculaire de toute l'histoire du cinema.
    yoyoseb
    yoyoseb

    3 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 février 2008
    Que dire de plus d'un des films les plus célèbres de l'histoire du cinéma ?
    Du grand spectacle épique de bout en bout ponctué de quelques scènes mythiques : la bataille navale, la course de char...
    Un récit qui prend beaucoup de libertés avec l'Histoire mais là n'est pas le plus important. Du cinéma comme on n'en fait plus mais qui se voit toujours avec autant de plaisir malgré sa durée exceptionnellement longue.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 novembre 2007
    tout simplement géniale un des meilleur film au monde tout est bien il mérite tout les oscar. pour l'époque génialisimes et chapeau. avoir le plus vite possible un grand classique
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 novembre 2007
    Le grand classique aux 11 oscars: Ben Hur... Quel film! Bien qu'il ai bien sur un peu vieillit et que certaines scènes soit longues, il n'en reste pas moins l'un des piliers du 7eme art. Les décors sont incroyables, les costumes, les acteurs, les musiques, bref tout est maitrisé de main de maitre. De plus, chapeau pour la réalistion de William Wyler. Rendez vous compte: devoir diriger 80 000 figurants dans un colisée et des galères taille standard, je trouve ça époustouflant. Par contre je trouve l'affiche pourrie...
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 165 abonnés 12 158 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 octobre 2014
    Un monument du 7ème art et le terme n'est pas usurpè tant le film de William Wyler demeure encore très impressionnant aujourd'hui! C'est en 1958 que Wyler s'installe à Cinecitta pour rèaliser une nouvelle version de "Ben-Hur". Son projet ètait de surpasser les adaptations prècèdentes, en particulier celle de Fred Niblo, qui avait fait date dans l'histoire du cinèma! De cette entreprise particulièrement ambitieuse, on se souviendra pour l'èternitè des fameuses sèquences de la bataille navale, et surtout de la titanesque course de chars qui exigea trois mois de tournage et qui, en fait, n'aurait pas ètè dirigèe par Wyler lui-même, mais par l'un de ses adjoints, Andrew Marton, un spècialiste du western! En incarnant Judah Ben-Hur, Charlton Heston trouve le rôle de sa vie et sera rècompensè à juste titre par l'Oscar du meilleur acteur! il est entourè des excellents Stephen Boyd / Messala ; Jack Hawkins / Quintus Arrius ; Sam Jaffe / Simonides, ; Hugh Griffith / Cheik Ilderim et Haya Harareet / Esther qui n'eut plus par la suite qu'une carrière obscure! Ajoutez à cela la technique particulière de la Panavision et du format peu usitè du 65 mm et vous obtenez un film lègendaire du 7ème art qui reçut pas moins de 11 Oscars à Hollywood! Du jamais vu à l'èpoque pour une superproduction de 3h30 qui ècrase tout sur son passage...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 novembre 2007
    Bénie soit cette époque révolue où l'on savait prendre le temps de faire des films. Ben Hur fut l'un de ces films qui lorsque j'étais môme, m'ont fait aimer le cinéma. Oh bien sûr, il y en aura toujours certains pour railler le trop de solanélité dans les dialogues, les roulements de tambours à chaque phrase prononcée, style pompeux d'un autre âge. Mais dieu que ce film est grand! La mise en scène est remarquable, les images magnifiques. Charlton Heston ne cesse d'attirer l'attention, et je demeure fasciné par le sens du détail dont a fait preuve William Wyler pour élever son oeuvre au rang supérieur du 7ème art. "Ben Hur", c'est également le pari audacieux d'avoir choisi de mettre en lumière la destiné d'un homme rongé par la haine et la soif de vengeance, plutôt que celle du Christ dont il croisera le chemin, bien que l'histoire des origines de la bible soit ici largement évoquée. Quand à la scène mythique de la course de chars à laquelle on songe dès lors que l'on parle de ce film, elle est intemporelle. D'une maîtrise technique proprement impressionnante pour l'époque, que ce soit en termes de cascades ou de prises de vues (hallucinantes), je pense que George Lucas s'en est inspiré pour sa course de modules de "la menace fantôme". Il serait bon que vous regardiez au moins une fois cet incontournable du grand écran, histoire de vous faire votre propre opinion. Et songez à le regarder d'une traite pour mieux l'apprécier. A cet effet, mettez-vous en conditions de confort optimales, le film est long, très long, près de trois heures trente, et je me risque même à avouer que la dernière demie-heure demande un effort de concentration. Malgré cela, vous devriez ressentir une certaine fierté à parvenir au générique de fin.
    dougray
    dougray

    213 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 juin 2014
    Superproduction hollywoodienne comme on n’en fait plus et, surtout, incontestable classique du 7e art, "Ben-Hur" est, pour autant, un film qui peut effrayer le spectateur d’aujourd’hui, et ce pour plusieurs raisons. Sa durée de 3h30, tout d’abord, qui n’est plus du tout adaptée aux habitudes du public. Sa mise en scène, en suite, qui ne brille pas forcément par son efficacité mais qui, surtout, collectionne les effets sans doute très tendance à l’époque, mais qui vieillissent terriblement le film aujourd’hui. On a, ainsi, droit, à une interminable introduction (avec un plan sur les doigts de la fresque bien connue de Michel-Ange) qu’on retrouve à mi-bobine au moment de l’entracte (ce qui est encore plus désuet !), un rythme très incertain plombé par des scènes qui s’allongent de façon particulièrement déraisonnable, une surexploitation de la musique (signée Miklos Rosza) d’un style tellement "pompier" qu’elle réussit l’exploit de ne pas marquer les esprits (il manque un thème reconnaissable) ainsi qu’à des effets spéciaux particulièrement datées qui trouvent leur apogée lors de la bataille navale (les maquettes y sont assez ridicules). Quant à la direction d’acteurs, on ne peut qu’être amusé devant certains tics de jeu typiques de l’époque (ah le mouvement de tête sur le côté pour mimer le désarroi). Pour autant, on ne pouvait guère imaginer qu’une superproduction du calibre de ce "Ben-Hur" puisse faire l’économie de ces défauts, si représentatifs du cinéma à grand spectacle de l’époque. Dès lors, il convient d’être indulgent et de regarder le spectacle proposé avec un œil bienveillant sur le plan formel. Et force est de reconnaître que, sur un plan purement scénaristique, "Ben-Hur" est une réussite tant il brasse des thèmes au potentiel terriblement évocateur. La première grande idée réside dans la confrontation entre le Juif Ben-Hur (Charlton Heston, très bien dès lors qu’on excuse ses débordements théâtraux) et le Romain Messala (excellent Stephen Boyd), amis d’enfance devenus adversaires en raison des circonstances et du climat politique en Judée. Leur opposition inéluctable (et ses conséquences) est l’un des moteurs du film… au moins dans son premier tiers. En effet, on ne peut que regretter que le réalisateur William Wyler n’ait pas davantage creusé la relation entre ces deux personnages et ait préféré radicaliser sans grande nuance le méchant Messala, plutôt que d’exploiter ses motivations politiciennes ou le passé des deux anciens amis. Résultat, après une entame prometteuse (les retrouvailles, la rupture puis l’exil), Wyler s’intéresse quasi-exclusivement au parcours de Ben-Hur pour ne lui faire retrouver son ennemi que tardivement et, surtout, sans grand sentiment. Il faut dire que ce brave Ben-Hur a fort à faire pour se relever après son exil forcé (avec un parcours initiatique qui n’est pas sans rappeler "Gladiator") et son aventure est, incontestablement un autre point fort du film. Les scènes dans les galères, le sauvetage de son futur père adoptif Quintus Arrius (Jack Hawkins), sa rencontre avec l’affable Cheik Ilderim (amusant Hugh Griffiths) et, bien évidemment, la légendaire course de chars comptent parmi les grands moments du film. Enfin, "Ben-Hur" a su se distinguer par une grandiose idée de mise en scène, à savoir la représentation du Christ sur grand écran. En effet, il est rappelé que le film est adapté du roman "Ben-Hur : a tale of the Christ", de sorte que Wyler ne pouvait pas faire l’impasse sur les nombreuses scènes mettant en scène Jésus, distribuant la bonne parole en Judée sous l’œil inquiet des Romains. Et le risque était grand que le Christ fasse pâle figure, surtout à côté d’une star comme Charlton Heston. C’est sans doute la raison pour laquelle Wyler a fait le choix de le filmer toujours de dos et de lui faire adopter une gestuelle très iconographique, ce qui renforce la figure christique. Malheureusement, aussi audacieuse soit-elle, cette touche religieuse s’avère être le principal défaut de la fin du film qui se perd un peu dans une ambiance mystique au les longueurs se multiplient à mesure que l’intérêt du scénario vacille. En effet, si on a pu s’enthousiasmer pour sa rivalité avec Messala et les épreuves qu’il a dû affronter pour revenir auprès des siens, difficile de se passionner autant pour ses retrouvailles contrariées avec sa mère et sa sœur, devenues lépreuses, tant les personnages semblent, alors, tous habités par une foi béate envers le prophète qui prêche sur la colline… surtout après 3 heures de film ! Plus que le rythme bien trop lent de cette conclusion (les allers-retours dans la vallée des lépreux, le calvaire du Christ, la crucifixion…), c’est bien le prosélytisme ambiant et, surtout, la façon dont les scénaristes résolvent tous les problèmes du héros, en un orage miraculeux, qui ne manquera pas d’interloquer tant ce final était attendu. D’ailleurs, comment douter, dès lors que Jésus fait partie intégrante de l’intrigue, que les lépreuses vont succomber ? Cette dernière partie manque, donc, de surprise mais, également, de souffle… et ce n’est pas la bien molle histoire d’amour entre Ben-Hur et Esther (Haya Harareet un peu monolithique) qui vient arranger l’affaire. Néanmoins, pour peu qu’on ne soit pas rebuter par les péplums de années 50-60, il me parait difficile de na pas apprécier ce "Ben-Hur" qui, malgré ses défauts de productions, évoque un passé hollywoodien glorieux.
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