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BerD
4 abonnés
20 critiques
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5,0
Publiée le 8 mai 2024
Il y a tout dans ce film, tout. Comédie grandiose, drame intime, dialogues, scénario, mise en scène, image, tout est impeccable. Un chef-d’œuvre absolu porté par des géants, devant comme derrière la caméra. A voir, revoir, et revoir encore toute sa vie.
Un bon film très tendre sur l amitié et les choses de la vie . Je ne m'attendais pas à cette poésie. Le duo de comédiens est parfait et les dialogues savoureux.
Un film remarquable ! Joué de façon incomparable, les dialogues sont délicieux et la réalisation est au poil, on n'en fait plus des films comme cela...
Un parfait Gabin , verneuil , Audiard avec Belmondo , un duo qui donne le sourire. Une histoire pleine d'humour et de tendresse avec 2 grands du cinéma.
Cela fait environ 10 ans que je n'avais pas vu ce film, un drame avec des pointes d'humours à la "Audiard" qui vraiment pimente le film, le sujet est clairement exposé, l'humour est maîtrisé, les dialogues sont excellents. Néanmoins le rythme est trop lent, un rythme un peu plus rapide aurait été parfait. Mais il reste l'un des meilleurs films français du début de l'ère moderne. 4,5/5
Deux acteurs cultes pour un film pas mal Disons que j'ai pas accroché tout du long mais sur certaines scènes. Un peu long à démarrer puis ouf belmondo arrive. Le film qui souffle un peu d'ennui est relevé heureusement par le jeu de grands acteurs
Je viens de le terminer et je prends à nouveau conscience du talent incroyable de Jean Gabin. Jean-Paul Belmondo lui donne bien le change mais ce n'est pas pareil. Chez Jean Gabin ça semble tellement naturel. Concernant l'histoire il ne se passe finalement pas grand chose mais les dialogues et les comédiens font preuve de tant de maestria qu'il serait dommage de passer à côté de ce film.
Un film magnifique, où deux rêveurs haut en couleurs voyagent ensemble au gré de leurs cuites : pour Gabin, c'est le Yang-Tsé-Kyang, pour Belmondo, c'est Madrid et la corrida. C'est en insultant les gens de son village normand que Gabin, gérant d'hôtel, se prend d'amitié pour son hôte : le film, c'est une longue série de répliques cultes signées Michel Audiard ("vous avez le vin petit et la cuite mesquine"), de cul secs et de rêves d'aventures, qui finit en feu d'artifice sur la plage. Belmondo et Gabin en "princes de la cuite", c'est mémorable !
De très bons dialogues ( Michel Audiard ). Deux très bons acteurs ( Gabin et Belmondo ). Des bons plans et de belles musiques ( ps: la scène du feu d'artifice est excellente ). Ce film plonge le spectateur dans ce petit village normand, dans ses rues, dans ses bars, dans ses maisons, dans son passé, dans sa vie et celles de ses habitants. Un singe en hiver est un bon film qui parle de nostalgie, d'alcool ( avec et sans modération ), d'amitiés et de rancœurs ou de famille.
La connexion entre Gabin et Belmondo est évidente, la belle réalisation de Verneuil saute aussi aux yeux. A travers ce film, Verneuil évoque l'alcool heureux, quelques verres qui permettent de se rendre plus festif. Une histoire familiale passe sous le reste, quasiment inutile, si ce n'est pour 2-3 scènes dans le film. Mais cela confirme surtout mon incapacité à apprécier à sa juste valeur un film français des années 50-60. Les acteurs, hormis Gabin, sont tantôt en surjeu, tantôt à côté de la plaque et même si les répliques sont bien écrites et que certains sont devenues cultes, elles sont entachées par les acteurs et par leur jeu plus que moyen.
Un film très touchant, qui aborde avec une justesse les rêves, l'amour, la solitude, la vieillesse et l'amitié.
Les dialogues sont très bien écrit ce qui fait que l'on ne se trouve jamais ennuyé, les répliques sont d'une justesse et nous permette de mieux comprendre les personnages, leurs intentions, leurs visions simplement en quelques phrases. Ce qui, in fine, nous les rends encore plus attachants et humain. Le duo Gabin/Belmondo nous offre une rivalité/amitié en or, entre un ancien militaire désabusé et un jeune matador plein d'énergie et de peine. A ce duo s'ajoute une poignée de personnage qui permettent de faire évolué l'intrigue et nous montre une facette différente des protagonistes. Sans oublier les rues et les plages normandes qui donnent un cadre parfait pour le film, on a l'impression d'être cloisonné dans cette belle et morne ville comme le personnage incarné par Jean Gabin l'est dans sa vie. L'histoire du singe, qui résume parfaitement le film, nous offre une très belle fin.
Genre: pas de deux au picon bière Malgré un manque de tension dramatique dû aux faiblesses du scénario, on est emporté par l’imaginaire de Blondin mis en musique par Audiard et sublimé par un Gabin gigantesque et un Belmondo virevoltant.