Pourquoi voir le Parrain : - Le jeu de Marlon Brando a lui seul justifie de voir ce film, même si on apprécie pas la personne, son jeu est envoûtant. - Si on veut comprendre la réplique " je vais lui faire une offre qu'il ne pourra refuser" (# tête de cheval) - La musique et la scène de mariage du début qui montre comment le Godfather gère sa famille et les problème locaux
Dans ce genre, cette trilogie reste la référence. Les acteurs sont imprégnés par leurs rôles. Cette histoire de mafieux, transpire la vérité, ce veut bien plus morale que notre société actuelle malheureusement. A voir et revoir...
Décevant. Pour ma part, on m'a parlé du film comme étant un incontournable mais pour moi ce n'est pas le cas. Des transitions qui sortent de nulle part, des moments en manque de dynamisme mais malgré ça, j'ai bien aimé le jeu d'acteur de Marlon Brando.
The Godfather adopte une esthétique obéissant aux codes de l’âge d’or hollywoodien – retour des fondus enchaînés, importance accordée aux dialogues et aux acteurs, reconstitution d’une Amérique du premier XXe siècle avec ses voitures emblématiques – mais octroie une durée normalement réservée aux grandes fresques épiques ou mélodramatiques ; en effet, Underworld de Josef von Sternberg (1927), Scarface d’Howard Hawks (1932) ou encore Angels with Dirty Faces de Michael Curtiz (1937) dépassaient à peine quatre-vingt-dix minutes. C’est dire que l’ambition première de Francis Ford Coppola est de donner au film de gangster une ampleur tout autre et jusqu’alors interdite : investir la mafia comme une grande famille meurtrie et la représenter dans un format sacré, sur le même plan qu’un Gone with the Wind (Victor Fleming, 1939), de la même façon que Gustave Courbet scandalisait ses contemporains en peignant la banalité d’un enterrement populaire aux dimensions extraordinaires. Ce dialogue entre les âges de l’art se double d’un dialogue entre les générations, puisque l’enjeu central réside dans la succession de Don Vito, qui sera transmise à un fils a priori incapable d’en assurer la survivance dans la mesure où il est de prime abord tenu à l’écart du microcosme mafieux. La passation de flambeau, symbolisée par le séjour à Corleone, signifie pour Michael la perte d’une certaine forme d’innocence et l’exploitation d’un talent pour les affaires reçu par sa famille. Deux Hollywood, deux Corleone engagés dans un dialogue testamentaire, là se tient la prouesse véritable de The Godfather ; elle constitue sa force mais aussi sa faiblesse, puisque ces trois heures épuisent le spectateur et tendent à diluer la puissance de mise en scène dans une solution verbeuse, heureusement relevée de fulgurances mémorables – le cheval, la conduite, le baptême… Pourtant, cette dilution de la nervosité permet au cinéaste de rendre plus forts ses coups d’accélération, d’immortaliser une poignée de plans et de recentrer l’intérêt moins sur la réalisation en tant que telle que sur les personnages et sur les acteurs qui les interprètent. Marlon Brando et Al Pacino sont impériaux : les séquences qu’ils partagent en face-à-face comptent parmi les plus réussies et les plus captivantes du film. Voilà donc une œuvre qui humanise la mafia en la peignant sous les traits d’une grande famille unie par des liens sacrés, une œuvre qui relate la renaissance d’un homme à son sang et à celui des siens. Un petit monument du septième art.
Si quelques extra-terrestres parmi vous n’ont pas eu l’occasion de voir ce film (cette trilogie) je ne peux que vous conseiller vivement de réparer ce manque au plus vite.
On plonge dans l’univers de la mafia à 300%, une interprétation magistrale de Brando, sans oublier évidemment un de Niro impeccable !!!
Le + : une énorme mise en scène avec des scènes mémorables (le mariage, la demande en mariage en Sicile, le baptême), la musique et la direction d’acteurs, le – : la longueur interminable et le scénario à rebondissements redondants et intérêt limité.
un énième film imbuvable signé "Nouvel hollywood" ce pataud de brando nous rappelle à quel point toutes ces histoires de mafieux ne sont que des enfantillages film d'une lenteur , mollesse et laideur qui rend son succès incompréhensible
Bien difficile de résumer une telle saga en quelques mots, le Parrain présente dans 3 films fleuve (plus ou moins de 3h par film) la saga de la famille Corleone, une des cinq grandes familles de la mafia New Yorkaise, entre 1945 et 1985 au travers de la vie des deux patriarches : Don Vito Corleone (Marlon Brando) et son fils qui lui succèdera à la tête de l’empire familial, Michael Corleone (Al Pacino). Adapté des romans de Mario Puzzo, le Parrain est la saga référence sur le grand banditisme. Là où un Scarface se montre vulgaire dans son approche et son traitement, le Parrain transpire la classe sur tous les plans : la réalisation, le jeu d’acteurs, la photographie, la musique, nous sommes en présence d’un concerto macabre avec tous les éléments de la tragédie : des meurtres, des trahisons, des rivalités fratricides et des intrigues d’alcôve. Le rythme des films lent et posé, leur esthétisme et la qualité des acteurs de cette tragédie en trois actes saura vous emporter. Le plus stupéfiant quand on regarde le Parrain pour la première fois c’est de se demander si tout n’a pas été dit dans le premier volet et là on tombe de haut, le second volet est un chef d’œuvre de construction, sombre et mélancolique qui surpasse son ainé, la première fois que les deux légendes Robert De Niro (Vito jeune arrivant à New York) et Al Pacino partagent l’affiche sans toutefois se croiser dans le récit (ce ne sera le cas que dans Heat 20 ans plus tard !). Le troisième volet, concluant la saga, a déçu les spectateurs mais comment penser que la barre pouvait être encore réhaussée ? Le Parrain 3 est un film et une conclusion formidables d’une saga mythique ! Vous savez ce qu’il vous reste à faire désormais ! Allez hop direction Amazon Prime ou le coffret Blu Ray !
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Vu et revu, ce chef d'œuvre immense, qui n'a pas vieillit d'une seconde depuis 50 ans, ne peut être critiqué qu'en rendant honneur à chaque détail de sa perfection. Une mise en scène parfaite et realiste, une musique sublime, tout les jeux d'acteur sont parfait des grands Al Pacino et Marlon Brando jusqu'à la tête à claque de John Calaze. L'histoire est immense et puissante. Une scène d'ouverture longue qui passe en un éclair, tous ces personnages que l'on rencontre, le bonheur parfait du mariage où tous les invités rayonnent, et les affaires... Les événements s'enchaînent à la perfection. L'évolution de Michael est maîtrisée, Al Pacino évolue avec lui. Une Sicile qui ferait rêver un corse. Une sicilienne qui ferait rêver un français. Et la musique dans ce havre de paix... Tout est tellement beau et si réaliste, même dans les scènes insupportable de violence, de colère ou de tristesse. La mafia et la famille, la religion et la violence (paroxysme avec la scène du baptême qui est splendide). Michael qui doit tout sacrifier pour survivre et pour reigner. La scène final de ce premier film où l'on ressent toutes les émotions possible avec cette porte qui se referme. Chaque pierre de ce monument mérite une analyse, un commentaire ou une éloge, et le tout mérite d'être vu et admiré.
J'ai eu très peur que en 3 heures on s'ennuye vite mais fi akement non pas du tout il est relativement captivant et c'est impressionnant car on m'aurait dit il est sortie il y a deux ans j'y aurai cru. Un cinéma révolutionnaire pour l'époque et ceci transperse la camera
Premier opus d'une trilogie parfaite. On suit avec angoisse la famille Corleone une famille de la mafia sicilienne. Le casting est parfait et le scénario est magistral. La partie en Sicile est vraiment sublime et on pense que Michael Corleone va être heureux mais ce sera de courte durée. En tous cas un chef d œuvre du cinéma a avoir dans sa cinémathèque